Lendemain de rencontre entre team

Je me levai cette fois-ci aux aurores. Je n'avais strictement aucune idée de ce qui se passerai ce midi, mais j'avais donné rendez-vous à ma chef de Team, Kazami. Notre rencontre d'hier c'était très mal passée. J'avais perdu les plombs et avais décidé de ne pas l'accepter. J'avais peur qu'elle prenne la place de Nakatsu, mais j'ai été horriblement affreux avec elle. Je m'en rendais compte à présent et j'étais prêt à m'excuser lors de notre rendez-vous.

Je pris un déjeuner et allai m'habiller rapidement. Je partis faire quelques emplettes histoire de préparer le repas. Effectivement, je me permettrais de l'inviter à manger ce soir si tout se passais bien. Même si je n'avais pas souvent l'occasion de mettre ce talent en pratique, je cuisinais plutôt bien et étais décidé à le mettre en pratique. Quoi de mieux pour ce réconcilier qu'un bon repas ? Quand il fut midi, je me préparais un bol de nouilles instantanés et une glace à la vanille. Il faisait un temps doux et chaleureux.

Je me mis à préparer le repas de ce soir. Je m'étais décidé à cuisiner une spécialité qui devait mariner : un poulet tendre à la sauce Qazea. Enfin, une sauce inventée quoi. Quand j'eus finis tout les préparatifs, je me dirigeai en direction du centre-ville ou j'avais donner rendez-vous à Kazami.

Le premier entrainement de l'équipe Ruyketsu no poni n'avait pas été comme Kazami l'avait imaginé. Désastreux elle l'avait nommé. Elle était rentrée à la fois fâchée et déçue. Ses coéquipiers étaient loin de lui faire confiance ou même de la considéré comme leur chef. Peut-être avaient-ils raisons, peut-être n'était-elle pas à la hauteur ? Non. Elle avait trop travaillé pour baisser les bras aujourd'hui.

Qazea, qui avait péter un câble pendant l'entrainement, lui avait proposé de manger avec lui aujourd'hui. Il voulait probablement la questionner, lui prouver qu'elle était nulle voir lui faire du mal. Kazami n'avait pas bon espoir en ce rendez-vous étrange mais elle ne se laissa pas démonter. Elle soigna ses cheveux, tiré en arrière, et après ces rapides préparations, elle se dirigea vers le centre ville pour rejoindre Qazea.

Elle arriva en première au point de rendez-vous et ne cessa de regarder autour d'elle afin de voir par où il arrivait. Finalement, peu de temps après, elle le vit arriver. Lorsqu'il fut à sa hauteur elle le salua poliment :



La jeune femme n'en dit pas plus. Après tout, c'était lui qui avait voulut la voir et elle n'allait pas se lancer dans les futilités d'usages.

L'entraînement d'hier ne c'était pas réellement bien passer. Catastrophique n'était même pas assez fort pour le décrire. Pour être honnête, il s'agissait encore de la puissance qui m'avait envahit. Si le rendez-vous de ce soir ce passait bien, je compterai parler de ce petit problème à Kazami.

J'avais donc proposer à Kazami de manger un repas avec elle, et je me doutai que Kazami pensait que je lui voulais du mal. J'avais donné un rendez-vous avec Kazami en début de soirée. J'aurai bien besoin de toute la nuit pour la convaincre de mes excuses. La belle jeune femme me lançait un regard perçant ainsi qu'un vague bonsoir.

Après quelques plates excuses, Qazea lui proposa rapidement de manger avec lui. D'après ce qu'elle avait compris, il voulait même l'inviter à manger chez lui. L'inviter dans sa demeure ? Manger ce que lui avait préparé ? Kazami ne put retenir sa surprise et fit :



Elle lui emboita le pas, direction elle-ne-savait quoi pour chercher elle-ne-savait quel ingrédient dont il voulait parler. Voulant un peu détendre la situation, elle demanda, curieuse :



Kazami se demandait quand est-ce qu'il allait déballer son sac. Elle espérait que ce soit après ce repas s'il était bon. Ou pendant s'il était mauvais. En tout cas elle respecta son choix d'attendre qu'ils soient seuls.

Kazami eut l'air extrêmement surprise quand je l'invitais à venir chez moi, et valida mes doutes quand elle prit la parole. Ne se laissant pas destabilisée, elle m'emboita la pas en direction du magasin, et me demanda si je savais cuisiner.

Je fus pris à la gorge et me tus quelques instants : cette jeune femme était belle et avait un caractère en or. Malgré les vacheries que je lui avais balancé, elle s'inquiétait de moi et de mon passé.



Je me dirigeai vers une épicerie chic vendant des ingrédients hors de prix et achetai une herbe très rare faisant ressortir le goût de la viande. Toutes mes économies risquait d'y passer. J'ouvris ma bourse et je fus surpris de voir qu'elle était plus pleine que ce que je pensais, donnant environ la moitié de mon salaire.