Ainsi ce gamin était peut-être moins crétin qu'il ne semblait l'être. Son utilisation du bois suivait une logique... Certes, non aboutit, mais une logique malgré tout. Malgré cela, je ne pu m'empêcher de rigoler lorsqu'il m'annonça être allergique aux métaux. Ceci semblait être le comble pour un enfant qui semblait vouloir s'entraîner aux kunais. Je rigolais encore et encore. M'étouffant presque, je réussis à me calmer après un court moment. Mon visage était rougie par la situation.
« Tu m'excuseras, mais il est peu commun qu'une personne allergique tente malgré cela de manier des armes ! »
« Toujours est-il, n'a tu jamais réfléchis à recouvrir le manche d'un véritable kunai et laisser la lame en métal, ainsi tu gardes sa véritable létalité et te protège de ton allergie ! »
Avançant d'un pas lent en direction de la sortie du parc, le garçon m'insulta ouvertement. Mamie et peu de succès. Qu'est-ce qu'il en savait lui ? Il devait avoir vu pousser son premier poils aux niveaux des couilles il y avait seulement quelques jours et il estimait savoir si j'avais du succès ou non ? Idiot, des hommes, je pouvais en avoir autant que je le souhaitait, près à ramper à mes pieds, me suppliant de coucher avec eux... Mais non, moi ce que je voulais c'était un homme maniant le fouet à la perfection...
« Gamin, le jour où tu seras en âge de bander nous pourrons reparler de cela, hein ! C'est pas trop "lâchée" pour toi, ça ? Ah ah ah ! Allez, je t'emmène chez Itsuo, et crois moi, on va se faire un sacré festin pour fêter tes premiers poils aux couilles ! »
Alors, nous traversâmes seulement deux rues après le parc pour nous retrouver chez le fameux Itsuo. Ce restaurant était loin d'être le plus chic de Kumo, pour tout dire, il était même quelques peu crasseux et la nourriture était moyennement bonne, mais il ne fallait pas non plus déconner, je n'allais pas offrir un repas de luxe à ce petit merdeux.
Alors, a peine venions nous de franchir la porte que je criai à l'assembler:
« Aujourd'hui, nous fêtons les premiers poils aux couille du jeune Law ! Tu es un homme aujourd'hui ! »
Alors, l'assemblé cria de joie et les phrases les plus saugrenue fut lancé par-ci et par-là. Des verres teintèrent sur les tables et une vague d'applaudissement résonnait dans le restaurant. J'étais fière de moi...