Kazami fit un petit sourire suite au compliments de Qazea. Cet homme était vraiment la gentillesse incarnée. Mais ses questions suivantes devinrent plus fâcheuses.
« Je ne sais pas ... Peut-être ne sont-ils même pas partit ensemble, peut-être est-ce une coïncidence ... Peut-être que Jin savait des choses et Yasuo n'arrivait pas à le tuer et l'à emmener avec lui ? Je n'en sais pas plus que toi Qazea-kun ... Mais je sais qu'on saura tout cela une fois qu'on les auras retrouvés. »
Elle fit un sourire désolé. Ces paroles n'était pas très convaincante, mais que dire de plus ? Elle ne savait rien de plus que Qazea sur cette affaire. Finalement la jeune femme rangea sa gourde et lança, un peu gênée :
« Bon, je m'éloigne un peu le temps d'éliminer toute cette eau que je viens d'ingurgiter ahah ! »
Oui, Kazami devait faire pipi. La rouquine s'en alla avant d'être encore plus mal à l'aise et s'enfonça dans la forêt. Lorsqu'elle fut assez loin, elle put se soulager, enfin.
Alors qu'elle revenait vers Qazea, quelque chose la titilla. Elle agita la tête pour s'en débarrasser mais cela revenait. Impossible de dire d'où cela venait. Finalement elle s'arrêta, encore assez loin de Qazea, et regarda autour d'elle. Personne. Mais soudain une voix surgit. Une voix qu'elle connaissait que trop bien. Une voix que seule elle pouvait entendre.
« Alors on pars en promenade ? »
Tout le corps de Kazami se figea. Pourquoi là, pourquoi maintenant ? La dernière fois, c'était déjà passé de justesse, il ne fallait pas que cela se reproduise ....
Flash back, Chambre de Qazea, Konoha
Tout son chakra était partit. Tout était dans le sceau qu'elle venait de poser sur Qazea. Le lit moelleux de ce dernier l'accueillait à présent. D'une douceur sans égal. Elle sentait Qazea près de lui ...
« Tu es plus bête que je ne le pensais. Tu vide volontairement ton chakra à côté de ton ami. Tu veux sa mort c'est ça ? Tu me tend une perche là, ou un piège ce n'est pas possible que tu sois aussi bête. »
Cette voix ... Cela faisait longtemps qu'elle ne l'avait pas entendu. Si longtemps qu'elle pensait s'en être débarrassée. Elle voulut la repousser ma sa faiblesse ne lui permettait pas de lui donner plus qu'une pichenette. La voix se mis à glousser, à se moquer. Kazami se sentit désarmée. Elle voulut crier à Qazea de s'en aller mais rien ne sortit de sa bouche. Mais par miracle, celui-ci se leva et quitta la chambre.
Il lui fallait quitter cet endroit, et vite.
« Dégage de mon chemin. »
Claquante, sa voix fit l'effet d'un coup de fouet. Kazami était devenu forte, et l'autre faiblissait de jour en jour. Un petit sourire de satisfaction naquit sur les lèvres de la jeune femme. Facile.
Kazami rejoignit Qazea rapidement et fit :