La première menace du Shinobi [End]

        Ce jour-là, Seitô était de permission. Et comme tous les garçons de son âge en permission, il s’en alla dès le début de l’après-midi pour jouer avec ses camarades. Fanfaronnant comme à son habitude, le sujet du jour était sa fraîche promotion en tant que Genin, et surtout, en tant qu’élève DE l’ex-régent de Konoha, j’ai nommé : Kitto Keisan !

Et comme d’habitude, les jeunes élèves naïfs de l’académie (où plutôt, son groupe d’ami proche) admiraient l’Uzumaki. Il fallait dire qu’ils avaient la même vision de la classe, et la même vision du ninja. C’était là où les gens cools étaient réunis (pour la plupart) et c’était là, ou Seitô comptait bien se faire un nom. Comme le meilleur épéiste du monde… (Je sais, la même rengaine. Mais il faut dire que vous allez l’avoir pendant longtemps !)

Riant avec ses amis, et se vantant d’avoir le meilleur sensei, et d’être donc, parmi l’élite de l’académie, un de ses camarades le défia au lancé de Shuriken. Dans un rire moqueur, il annonça fièrement.



Et il ramassa une pierre, qu’il balança le plus loin et le plus fort possible. Si bien qu’on ne la distinguât plus… Et, sous les yeux ébahis de ses camarades, on entendit un bruit distinctif… De vitre brisée.



Il en sorti le tenancier d’une taverne du coin, qui repéra très rapidement le jeune Uzumaki, les mains encore pleines de terre. Regardant quelques instants le tavernier, il se retourna pour découvrir que… Tous ses amis avaient pris la fuite ! Filer à l’Anglaise comme ça, c'est vraiment pas cool ! Et seul face au danger, l’Uzumaki cria.



Avant de commencer à courir à son tour, pour échapper à la première menace de sa vie de shinobi : un tavernier furax avec son balai.

Saeki regardait attentivement le jeune Uzumaki, en fait... Qui aurait pu le rater ? A ouvrir son clapet partout pour un rien ? Il l'observait, bien plus que les autres jeunes présents. Il savait qu'il faisait parti d'un clan avec lequel le sien était en froid, mais ça lui était égal, tout ce qu'il voulait c'était l'observer. Il le vit se baisser, poser une main au sol et se munir d'une pierre. Ayant vu son caractère un peu fou juste avant, Saeki comprit de suite que ça tournerait au vinaigre pour le jeune rouquin.

Il ne s'était pas trompé...A peine sa pensée terminée que ça s'avérait juste. Le jeune idiot jeta une pierre et comme l'avait prédis Saeki, il ne fallu que très peu de temps pour que l'Uzumaki sois dans la panade. On entendis un bruit aigu au loin et le groupe détaler sauf une seul qui n'avais pas encore compris dans quelle mouise il s'était mis. Par ailleurs, on ne tardais pas non plus à entendre arriver un homme furieux, balai à la main en direction de Seitô.

Saeki s'approcha du jeune Uzumaki et lui dit.
Il attrapa le gamin par la main, laissa un clone au préalable créé pour parlementer avec l'homme quant à au surplus de confiance et d'énergie du jeunot et l’emmena loin de la vision de l'homme au balai. Ça faisait un moment qu'il n'avait pas tenté d'échapper à quoi que se soit ou qui que se soit, ça ne lui était même jamais arrivé, mais il ne pu s'empêcher de l'arroser de questions.

Saeki regarda une dernière fois le jeune homme, plissant légèrement les yeux, laissant lire sur son visage une sorte de jalousie quant à ce qu'il venait de se passer.

        Tu ferais un bon... L’Uzumaki savait qu’il ferait un bon ninja, un bon épéiste. Que dis-je, le meilleur épéiste n’ayant jamais foulé cette terre ! Avant d’entendre la suite. Un boulet ?



Malgré lui, l’Uzumaki se fit prendre la main et tiré loin du tavernier. Mais l’homme était bien plus grand que lui, et ses pas allaient donc naturellement plus loin que celui du garçon à la chevelure flamboyante. Si bien qu’il lâchât sa main et se mit au même rythme que lui. L’homme ne cessait de l’assaillir de questions. Bon, il savait à quel point, il était fascinant tant il était exceptionnel, mais quand même, il ne fallait pas abuser. Après quelques minutes de courses, et voyant que tavernier ne le poursuivait plus (et surtout, n’étant plus dans son champ de vision) l’Uzumaki s’arrêta pour répondre au jeune homme.



Il avait un ton un peu moralisateur, comme si c’était le Chikara qui était stupide, et pas sa propre personne. Et, comme si cela ne suffisait pas, lever à chacune de ses interventions un doigt, comme pour aider l’homme en face de lui à compter.



Puis, il marqua un silence, avant de continuer et… De prendre sa pause légendaire : la pause de la cool attitude, dégainant sa lame.



Avant de se remettre droit.



L’homme affichait un regard jaloux, mais c’était normal pour Seitô. Après tout, qui ne serais pas jaloux face à autant de classe ?

Saeki se mit à rigoler. Lorsqu'il vit la réaction du jeune homme. Cependant, il ne pouvait pas rester insensible à son surplus d'énergie. Il le regardait toujours avec un air jalousé mais il s'arrêta après qu'il eu ses réponses. Il semblait que l'enfant ai des soucis de mémoires, il ne semblait plus se souvenir de son cri de détresse.

Le jeune adulte espérait faire entendre la raison au garnement, qu'il allait arrêter tôt ou tard d'être aussi agité et qu'il saurait se canaliser.

Il le vit prendre une position absurde... Il se reteint de rigoler et repris.

Saeki s'accroupi devant l'Uzumaki, plissa les yeux tout en souriant.

Il se releva puis continua de le regarder, comme il le faisait depuis le premier instant, baissa la tête en posant au creux de sa main d'un air dépité. Saeki venait de rejoindre le statut des ninjas et dit d'un air dépité.

Malgré son jeune âge, le jeune adulte espérait que le gamin comprendrait et qu'il finirait par se calmer à un moment ou un autre, car il est sûr que se sera source d'ennuis un de ses jours, mais allez faire comprendre ça à un gosse, qui pourrait ? Peu de gens. Seul vivre ne serait-ce qu'une partie des mots de Saeki ferait prendre conscience de l'importance de la discipline pour ninja au jeune Uzumaki. Tout en s'ayant, le Chikara prévient qu'il devra éviter le coin où il a fait des conneries car l'homme veut absolument lui faire payer les réparations de la vitre, ce qu'il lui annonça avec un sourire moqueur.

Saeki s'allongea attendant les nouvelles répliques du jeunots, il savait déjà à quoi s'attendre, et que ça ne serait pas forcément constructif, mais il restait plein d'espoir quant à ça.

        Cette fois-ci, l’Uzumaki perdit son sourire qu’il affichait généralement sur son visage. Il regardait et écoutait avec un calme quasi-olympien le Ninja de la feuille en face de lui. Il observait simplement. S’il débordait d’énergie comme à son habitude, Seitô savait aussi être sérieux. Une chose bien moins cool, mais parfois utile, son légendaire et extrêmement rare mode : serious-buisness.

Il voulait tirer la situation à son avantage ? Qu’espérait-il ? De la reconnaissance ? Une soumission de la part de notre protagoniste ? Que nenni ! Le jeune adolescent à la chevelure flamboyante était loin d’être aussi compliant face à l’adversité. Pour être le meilleur, il fallait être têtu ! Et ce genre de caractéristique, et bien… Collait parfaitement à l’Uzumaki. Alors, d’une voix calme, il répondit.



Et passa son regard dans les yeux du Shinobi en face de lui.



Il prit une pause, avant de continuer.



Son regard était intense, brûlant d’une volonté sans faille.



Puis, il commença à s’avancer vers l’endroit où était le tavernier.



Avant de se mettre à marcher d’un pas décidé jusqu’au tavernier. On pouvait dire qu’il était jeune, têtu, fanfaron, mais il fallait avouer une chose : il était malin, et en avait de la suite dans les idées. Il rejoignit donc le lieu du tavernier, non sans regarder que l’autre shinobi le suivait. S’avançant humblement, sous le regard tantôt furieux, tantôt surpris du tenancier, Seitô s’inclina, et demanda avec tout autant de sérieux pardon pour son erreur. Après une brève discussion avec le tavernier, et quelques remontrances, la sentence fut relativement légère : travailler le temps de rembourser la fenêtre brisée. Deux ou trois jours, tout au plus.

Après quoi, il se retourna vers le Saeki, avec son habituel sourire de bon vivant.



Même si cela lui coûtait deux ou trois jours de travail, Seitô était plutôt content du résultat… Et surtout de pouvoir boucler le clapet de ce Chikara mal-luné.

Saeki était content de voir enfin le sourire du gamin s'effacer, c'est tout ce qu'il voulait: voir un peu de sérieux dans ses mots. Sa stratégie pour déceler plusieurs facettes de Seitô était payante, bien que ça lui plaise. Contrairement à ce qu'on pouvait penser, Saeki n'attendais rien de bien fou quant à se gamin mais a finalement été surpris par ses réponses. Il comprit alors qu'il allait devoir répondre droitement avec un franc parler, mais tout aussi calmement que lui à fin qu'il comprenne qu'il n'était pas prit de haut par le Chikara.

Saeki regardait Seitô en espérant qu'il comprendrait ce qu'il veut lui faire comprendre, et non pas seulement qu'il pense qu'il n'est qu'un enfant à problèmes du à son agitation.

Saeki était, malgré tout, content d'avoir une discussion pareil avec le jeune Uzumaki, ça lui plaisait de parler avec un gamin plein d'entrain et aussi ambitieux que lui, à son jeune âge, c'est rare d'en voir aussi déterminé.

Saeki le regarda partir en direction de la taverne, d'un pas décidé. Il sourit. La fausse image qu'il avait du Chikara le rendait presque content. Cependant, suite aux réponses de Seitô, Saeki ne pouvait s'empêcher de rester sur place sans intervenir au-près du tavernier, il suivit donc le jeunot.

Il prit donc le même chemin, s'excusant tout en expliquant la raison de ses actes concernant le gamin. Il proposa ses services également au tavernier.

Saeki sourit, regarda autour de lui puis, dans un coin du bâtiment retrouve l'objet de l'accident; la fameuse pierre. Elle n'était pas bien grosse mais avait tout même réussit à traverser une vitre et la briser totalement. Il se retourna vers Seitô et lui montra.

Il regarda le jeune homme d'un air sérieux en attendant sa réaction.

        Sa saquoi ? Enfin bref, de ce qu’il comprenait, maintenant, le shinobi en face de lui retournait sa veste. Ou alors changeait-il simplement d’avis ? Dans tous les cas, Seitô n’avait nul besoin de se demander pourquoi ! Pour sa part, il savait que c’était sa classe légendaire, même dans son mode Serious buisness, qui avait fait changer d’avis le Saeki en face de lui. Après tout, ils étaient partis du mauvais pied ! Mais maintenant qu’il avait vu à quel point il était un ninja super-cool, nul besoin de dire qu’il se rendait, enfin compte, de sa valeur ! Maintenant, lui aussi ne doutait pas du potentiel de Seitô à devenir la plus grande fine lame du monde !



Il secouait sa main d’une manière caricaturale, reprenant son sourire naturel de bon vivant (et d’imbécile heureux) sur son visage. Puis, Saeki s’excusa à son tour et proposa son aide à Seitô, qu’il accepta bien sûr volontiers !



Le plus beau des compliments de la part du garçon à la chevelure flamboyante, assurément ! Bien qu’il correspondait, à peu près, à la description des Ninjas qu’il détestait tant, la nuance importante était dans la pensée de fond. Seitô ne se pensait pas supérieur, il souhaitait simplement être le meilleur, et faire partie de l’élite. Or, n’étant pas véritablement un génie, il lui fallait travailler dur chaque jour pour le devenir. Ce qu’il faisait, avec une rigueur certaine ! Enfin, à sa manière…



Puis, ils entrèrent dans le bâtiment, avant de voir la scène du crime. Saeki ramassa la pierre, avant de complimenter une nouvelle fois Seitô. Très fier de lui, il prit de nouveau une pose fanfaronne… Décidément, il ne changerait pas de sitôt.



Avant de revenir normal.



Il commença à réfléchir quelques secondes, avant d’avoir un éclair de génie !



Seitô commença à effectuer des mundras à une vitesse respectable pour un Genin. Puis, après quelques sceaux, il s’écria.

Et répéta l’opération deux fois, effectuant ainsi deux clones de terre. Bien qu’ils n’étaient pas capables de parler, ils étaient néanmoins capables de travailler ! Et de faire de l’huile de coude !



La motivation de Seitô avait atteint de nouveau un summum, si bien qu’il ressemblait de nouveau à un… Petit excité.

Saeki était loin de penser ça possible au tout début de leur rencontre, mais Seitô était finalement un jeune homme responsable quand il le voulait, n'en déplaise au Chikara. Il faisait attention au moindre détail concernent le rouquin, mais n'arrivait pas vraiment à se faire une réelle opinion à son sujet, bien qu'il penchait pour un jeune homme très prometteur. Il était également content de savoir qu'il ne s'arrêtait pas à leur premier différent, lui n'aimant pas les conflits, celui-ci n'aura duré qu'un court instant. La seule question qui turlupinait Saeki, était de voir Seitô à l'oeuvre avec sa lame. Mais la priorité était pour le moment à aider le responsable du bâtiment endommagé et de lui faire revenir sa clientèle. Il s'inspira des conseil du gamin, et fit donc appel à un clone, lui aussi.


Saeki alla devant la taverne et usa de son jutsu pour refaire une déco', quelques mudras plus tard.


Saeki resta dehors et commença à venter les avantages de la taverne à fin d’appâter le client. Après quelques clients rentrés, Saeki rentra à l'intérieur constater le boulot effectué à l'intérieur, et il ne fût pas déçu.


Saeki n'était pas mécontent de voir une autre utilité à l'hyperactivité du jeune Uzumaki, ce qui le faisait sourire une fois de plus. Il le regarda un instant et lui demanda quelque chose.


IL savait que le jeunot allait encore se venter, mais ça lui était égal, il voulait le voir à l'oeuvre, même s'il devait le supporter une fois de plus pour ça !

        Il était l’heure. Sans perdre un instant, le jeune Uzumaki mit à profit son énergie débordante. Ses deux clones aidant dans l’arrière-salle, lui aidant au service. Et il fallait dire une chose, la bonne humeur et l’énergie qu’il dégageait était revitalisant, permettant de satisfaire les clients. Après tout, quoi de mieux pour eux que de voir un jeune homme débordant de motivation et de bonne humeur les servir ?

Passant de table en table, de commande en commande, on aurait dit de loin que le jeune adolescent à la chevelure flamboyante ne se fatiguait pas avec l’effort. Au contraire, c’était même assez impressionnant de le voir jongler entre les différentes commandes. Et bien que cela demandait une agilité mentale très particulière, il ne se débrouillait pas trop mal pour un véritable débutant dans ce domaine-là.

Puis, lorsque la période du rush fut terminée, et sous les compliments de son nouveau compagnon, il passa ses mains sur sa taille, bomba le torse, avant d’annoncer un fier (et très classe -pour lui-) :



Chose importante, il avait utilisé le « on » pour désigner les deux acteurs de la réparation. Une preuve de remerciement. Ne pas s’attribuer tout le mérite, et rester humble, c’était la cerise sur le gâteau de la classe pour Seitô, il fallait bien le dire. Il admirait, des étoiles pleins les yeux, ces héros qui restaient humbles en toutes circonstances. Et bien, s’il souhaitait ressembler à ce genre de personne, ce n’est pas qu’en maîtrise du sabre qu’il y allait y avoir du boulot.

Mais la suite illumina plus encore (difficilement imaginable, me direz-vous) le regard de l’Uzumaki. Il prit de nouveau sa légendaire pose fanfaronne, qui fit sourire, voir rigoler, l’ensemble de la taverne, avant d’annoncer fièrement.



À vrai dire, moi-même écrivant ces lignes, j’ai peur de voir le résultat. S’il n’était pas déjà à fond ici, qu’est-ce qu’il avait en réserve ? Même si son affinité n’était pas le Raiton, on avait là une véritable pile électrique que c’était tout comme. Voir plus.



De plus, le soleil commençait déjà à se coucher. Et il allait sûrement prendre un savon par sa mère s’il ne rentrait pas suffisamment rapidement. La raison dirait qu’il fallait mieux remettre la démonstration à demain. Et même si on pouvait dire que Seitô avait de nombreuses qualités, le fait d’être raisonnable n’en faisait pas vraiment partie.

Saeki était très réceptif à l’enthousiasme de Seitô et il appréciait de plus en plus cette journée passée à ses côtés. Il commençait à ressentir une sorte de fascination pour sa bonne humeur constante et ses élans de bienfaisance. Il n'était pas si idiot bête que le Chikara pouvait le penser au début, vraiment pas. Au fond de cette personne réside certainement une multitude de qualités en tout genre et qui sait, peut être que son but sera atteint un jour ? En tout cas, il lui n'hésiterait pas à lui apporter tout son soutien si besoin.

Le jeune homme était tout excité à l'idée de faire sa démonstration... Saeki lui était tout simplement préssé, sans forcément parler d'excitation, c'est sa curiosité qui le possédait. La nuit commençait déjà tomber et le sabreur proposa d'y aller de suite, de se rejoindre aux terrains et de procéder à sa démonstration, Saeki réagit alors.

Le Chikara voyait bien que dans l'excitation de l'Uzumaki, se trouvait également une pointe de fierté et qu'il avait l'air plutôt content qu'on lui demande une démonstration.

C'est sur ces paroles que le Chikara pris sa retraite en direction des terrains d'entraînement en attendant le jeune homme, il était pressé, bien plus qu'au début.

        Rapide retour à la réalité lorsque le Chikara évoqua l’heure. Soudainement, la tête de Seitô se tourna vers le soleil couchant, alors qu’il perdit son sourire et devint blême, se rappelant le sourire diabolique de sa mère lorsqu’elle lui annonçait, le poing levé, que si Seitô n’était pas rentré pour le dîner, elle viendrait le poursuivre dans tout le village pour lui faire, je cite, regretter d’être un « sale gosse turbulent ». Ce à quoi il répondait… En fait, non, il ne répondait rien. Les fureurs de sa mère étant probablement la chose la plus effrayante pour le jeune Genin.



Il était plutôt blême. En vérité, il affichait un visage presque terrorisé. Avant de se retourner vers son camarade du jour.



Avant d’ajouter, fièrement.



Puis, voyant les derniers rayons de soleil disparaître.



Avant de se mettre à sprinter comme jamais on avait vu un gosse faire, à l'instar d'un hyperactif, jusqu’à sa maison. Avec de la chance, il n’aurait pas un trop grand sermon ce soir.