Une soif impossible à étancher

Un temps conséquent c'était écoulé depuis que la belle Sayuri avait assassiné les brigand, qui avait voulu détruire le temple. Elle avait agit avec sang froid et détermination, et rapidement les hommes avaient trouvé la mort, pour se retrouvé enterré sous le potager de la secte. La vie est fait de moment qui marque l’existence pour toujours, la jeune femme en avait vécu un ce jour là, mais cela ne l'avait pas marqué comme on aurait pu le penser. Quand elle avait senti la vie quitter le corps de la première victime, la jeune femme avait ressenti un énorme soulagement, et un plaisir presque orgasmique. Et depuis elle ne cessé de recherché ce genre de sensation, mais rien ne pouvait vraiment calmer son état de manque. La nuit était tombé depuis de longue heure, comme toute les nuits, Sayuri dormait au coté de Nagisa, blotti contre elle, la tête contre sa poitrine, la jeune Uzumaki ne trouvait pas le sommeil. Elle sentait se feu bouillir au fond de ses tripes, cette envie irrépressible de sentir la vie s'échapper du corps de quelqu'un sous ses mains. Après de longue heure les yeux rivé sur le mur de la chambre, la jeune femme se glissa discrètement hors du lit, s'habilla et quitta le temple pour aller en forêt.

Dehors, la jeune femme passa devant le potager, et cela lui offrit un frisson le long de l'échine, elle avait envie de recommencer. La nuit était sombre, et la femme à la chevelure doré n'était pas dérangé par cela, bien qu'enfant de la lumière, la jeune femme était une descendante de Yaoke, et ne craignait pas Warui. le vent soufflé dans les arbres, on pouvait entendre les renards, les chouettes et les hiboux, toute une vie sauvage qui s'éveillé lorsque le soleil se couché. Endoctriné depuis longtemps, la jeune femme commençait à remettre en cause certain précepte, la lumière offrait la vie ? Alors pourquoi les animaux chassé principalement la nuit pour survivre ? Elle aussi allait suivre son instinct, et elle chasserait de nuit également.

Après une longue marché à travers la forêt, la jeune femme arriva jusqu'au village, ici rien n'était en sommeil. Les hommes et les femmes faisait la fête, buvait, mangeait, rigolait et pour la plupart cherché à s'accoupler les uns aux autres. C'est là qu'une très sombre idée germa dans l'esprit de la jeune femme.

Doucement la belle marcha dans la foule, recherchant une âme en perdition, et ses yeux se posèrent sur une jeune homme seul dans un bar. La jeune femme alla l'aborder et rapidement quelque chose sembla se passer entre les deux. Sayuri l'invita alors à prendre un dernier verre chez elle, en lui signalant qu'elle habitait à l'extérieur du village dans une petite maison. Sans doute aveuglé par ses hormones, le jeune homme la suivit sans poser de question. De longue minutes de marches, où la jeune femme guida le jeune homme jusqu'au plus profond de la forêt. Une fois à l'abri des regards indiscret, elle avança vers lui comme une louve et l'embrassa langoureusement. L'homme lui rendit son baisé, et quand il se laissa totalement aller, la jeune femme enfonça son couteau dans la poitrine du jeune homme tout en lâchant un gémissement de plaisir. Elle venait d'assassiner quelqu'un, et elle ne s'était jamais senti aussi bien. Elle laissa le corps sur place, il faudrait des jours pour que quelqu'un ne le trouve, et elle était trop loin du temple pour que quelqu'un fasse le raprochement, tout le monde savait que la forêt était dangereuse. La belle défigura le jeune homme à l'aide de son couteau pour qu'il ne soit pas identifiable, puis elle lui reparti.

Une fois au temple, la jeune femme s'allongea vers Nagisa et put enfin trouver le sommeil.

Je fis réveillée par les mouvements dans le lit. Je me retourna fasse à Sayuri dans un grognement endormit. Bien que les yeux de ma douce était clôt, j'étais persuadé que celle-ci n'était pas plongé dans un sommeil profond. Sa respiration trahissait son éveillent. Je désirai me montrer taquine afin de la ramener auprès de moi, mais également car une idée me courait dans la tête depuis quelques temps désormais.

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Je lui mordilla légèrement l'oreille *****************************************************************************************



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Sayuri revenait de son escapade nocturne, elle avait réellement passé du bon temps dehors. C'était une nouvelle sources de bonheur, une sorte d'addiction à la mort qu'elle venait de découvrir. Elle pensait être entré de manière discrète dans le lit, mais Nagisa s'empara rapidement d'elle. Le bonheur était intense, mais incomparable avec ce qu'elle avait vécu dehors. Cependant elle n'allait pas arrêter Nagisa, et profita du moment tout en l'écoutant. La jeune femme était d'accord avec tout. Et elle ne voulait de personne entre elles.



Le petit moment intime terminé, Sayuri s'approcha de Nagisa, et mis la main sur ce voile qui cachait son visage. Elle n'avait plus de raison de porter maintenant.



Sayuri fit un doux sourire à son amante et lui dit.



La jeune femme de leva sans se rhabiller et sorti en direction de la chambre de Bok.

Je ressentis un élan de bonheur lorsque j'entendis Sayuri accepter ma requête. Je n'avais nullement douté de sa fidélité, puisque j'avais totalement conscience qu'elle m'était soumise. Mais, je n'avais nullement réussis à barricader complètement son esprit pour faire d'elle mon objet. Le terme objet pouvait sembler péjoratif pour quiconque se verrai nommé de la sorte, mais pour moi, je ne savais aimé autrement que dans la domination. Certes, je dominais mes amours, mais, je veillais sur eux, faisant tout le nécéssaire pour les rendre heureux dans leurs servitudes. Sayuri était la première que je conservais auprès de moi, alors qu'une partie d'elle conservait son libre arbitre. Mais je l'aimais d'autant plus pour cela. Chacune de ces initiatives étaient bonne et porter par l'intention de me plaire. Finalement, Sayuri était plus qu'un objet, mais probablement l'âme soeur que je recherchais. Ceci ne me priverait nullement de m'amuser avec d'autre personne, mais mon amour lui était dédié, j'en était certain. Puis, il fallait admettre que cette fille portait en elle une partie intriguante, une partie qui ne pouvait que me rappeler les concepts de Yaoke.



Lorsque la rouquine vint apposer sa main sur mon voile, et l'agrippa pour le retirer, je ne pu que ressentir un frisson me parcourir l'échine. Cela faisais bien longtemps qu'aucun être vivant avait eu le luxe de voir mon visage. Je ne pouvais vraiment dire que j'étais belle. Mon nez se montrait trop crochu à mon goût, ma peau était d'une blancheur marmoréenne puisqu'elle ne voyait que rarement le soleil. Finalement, je me trouvais d'une banalité étonnante. Mais ce n'était pas pour cela que j'avais accepté de le cacher. C'était simplement pour le réserver à mon Dieu. Mais je ne me recula point devant son acte. Je laissai le doux tissu glisser sur ma peau. Me retrouvant entièrement nue devant la femme que j'aimais. Je lui souriait et lui offrait mon regard de séductrice. J'espérai que mon sourire atténuerai les banalités de mes traits.



Je passai doucement ma main dans ma longue chevelure, lui faisant ainsi goûter le luxe de la liberté.



Je venais de lui prononcer cela avec un regard taquin, emplit de malice avant de venir rattacher doucement mon voile à l'arrière de mon crâne. Si j'autorisais Sayuri à voir mon identité, il n'en serait pas le cas de Bokyoku, même si je me doutais fortement que lorsque Sayuri exprimait son désire de le renvoyer dans les ténèbres, elle parlait en réalité de l'occire.

Nous quittions ainsi notre chambre afin de rejoindre dans la noirceur de la nuit celle de Bokyoku. Alors que nous pénétrions dans la pièce, j'utilisai ma voix charmeuse pour interpeler Bokyoku.



J'observai Bok se redresser doucement dans son lit, se demandant s'il était plongé en plein rêve ou si les deux femmes se trouvait bel et bien devant lui. Les esprits lui revint vite, lorsqu'il aperçut ma nudité dans les rayons de la lune qui transperçait la fenêtre. Je n'avais pas prit le temps d'enfiler la moindre tenu, totalement alaise dans ma nudité.
Il garda le silence, lorsque je me glissa dans son dos, laissant mes mains parcourir son torse dévêtue. Mon regard était tout entier sur Sayuri. Je la dévorais des yeux. Impatiente de savoir ce qui lui trottait exactement dans la tête alors que Bok se laissait caresser en silence.

Sayuri retira le voile de Nagisa tout en douceur, elle l'aimait, et peu importe le niveau de sa beauté, cela ne changerais rien. Mais lorsqu'elle la vit, son cœur se sera, elle eu un coup de foudre total, elle tombait amoureuse pour la deuxième fois. Elle était magnifique, parfaite, elle complexait presque Sayuri par sa beauté.



Sayuri vint alors partager un doux et langoureux baisé avec Miko. C'était leur véritable premier baisé, la première fois qu'elles le faisait sans bandeau sur les yeux.



Puis les deux jeunes femmes se levèrent entierement nue, Nagisa remit son voile, et elle se rendirent dans la chambre de Bok. Le jeune homme semblait en plein rêve quand il se réveilla. Il pensait qu'il allait passer la nuit entre ses deux magnifiques femmes. Et alors que Nagisa se postait derrière lui, Sayuri le chevaucha sans lui demander l'autorisation. Leurs deux corps maintenant en fusion, elle vint lui caresser tendrement le visage alors que Nagisa lui tenait fermement les bras au dessus de la tête.

Le regard fixe dans celui de Nagisa, Sayuri enfonça d'abord très tendrement son majeur et son annulaire dans la bouche de Bok avec sa main droite. De sa mains gauche, elle vint doucement serrer son cou. Jusque là tout semblait bien aller pour le jeune homme. Après quelques seconde à profiter du moment, la belle Uzumaki enfonça fermement ses doigts au fond de la trachée du jeune homme, et sera très fort la main sur son cou. On pouvait lire une incompréhension totale dans les yeux de l'homme, mais Sayuri ne quittait pas Nagisa du regard.



C'était la première fois qu'elle lui disait ainsi, la première fois qu'elle pensait à la prêtresse comme à sa petite amie, comme à son âme sœur. Il fallut quelques minutes pour que toute vie disparaissent du corps de Bok. Pas un dernier mot, pas une dernière volonté, juste mort dans le corps de Sayuri. La jeune femme se retira alors, et vint arracher le voile de Nagisa. Elle l'embrassa avec une passion non dissimulée, terminant ce qu'elle avait commencé avec Bon, par terre dans les bras de Nagisa. Après de longues minutes d'amour, les deux se décolèrent enfin.



Sayuri sorti, laissant Nagisa tremblante de plaisir au sol, et le corp de Bok sur le lit. Elles allait partir tout de suite, la belle Uzumaki avait hâte de voir le monde.

Nagisa dévorait du regard Sayuri alors qu'elle s’enfonçait avec délicatesse sur Bokyoku. Je n'avais jamais été jalouse. Je distinguais totalement l'acte sexuel de l'amour. Certain aurait ressentit une certaine jalousie en voyant l'être aimé s’accoupler avec autrui, mais moi, je me délectait simplement de la vue. Je ressenti un élan de désire lorsque je vis ma douce rouquine introduire ses doigts dans la bouche du Konohajin. Et je craquai littéralement lorsque cette femme me dit avec sincérité quelle m'aimait !
Mais, je ne pouvais qu'avouer que je n'étais pas prêt à ce qui allait se produire par la suite. Sayuri enfonça profondément ses doigts dans la trachée de celui qui avait été notre compagnon de la lumière. Elle reserra également la prise qu'elle avait sur sa gorge. Jusqu'à ce que nous n'entendions plus qu'un simple gargouillis d'étouffement émané de l'homme. Ses yeux écarquillé montrait son incrédulité. Aucun doute qu'il ne s'imaginait mourir aujourd'hui et encore moins de la sorte. A vrai dire, j'étais également incapable de l'imaginé il y avais encore quelques instants. Cela dit, je me rassurais en songeant qu'il y avait pire mort que de périr durant un acte sexuel accompagné de deux femmes.
Les yeux de Sayuri brillait de plaisir, mais une joie bien plus profonde que charnel, celle du meurtre, celle du pouvoir sur la vie ou la mort. Peut-être aurais-je du m'en inquiéter, mais je savais pertinemment que cette lueur ne se retournerai jamais contre moi mais qu'au contraire, elle me servirait !
Exciter par tout ce que je venais de voir, bien qu'une partie de moi était encore sous le choque de cette mort. Je ne pouvais calmer la pulsion que je ressentais, celle qui me donnait envie de m'agripper au coups de cette femme et de lui faire l'amour. Alors, c'est ce que nous avons fait. prenant notre pied l'un et l'autre à seulement quelques centimètre du corps refroidissant de Bokyoku.

Lorsque l'excitation redescendit, une douce vague de culpabilité m'emporta, avais-je bien fait de cautionner cela ? Avais-je réellement compris ce que les Dieux me disait, avais-je réellement compris quoi que ce soit ? Et pendant un instant, je ne me demanda tout simplement si je n'étais pas une simple folle, aux désires étranges et avec celle folle nécessité de dominer et d'être adoré par les autres ? Et il ne me fallut guère de temps pour oublié toutes mes questions et comprendre que l'essentiel c'était le plaisir, l'amusement et le contrôle !



Toutes deux rassemblèrent quelques unes de leurs affaires, une quantité d'argent importantes que Nagisa avait su récolter au cours des dernières années et avant de partir de ce lieu de rêve. Lanca un jolie feu à l'intérieur de la maison, dont il ne faudrait guère de temps pour que celui ci se propage à toute la demeure qui était faite de bois.

Sayuri et Nagisa venait de commettre des actes abjectes et bercé par les plus profonde ténèbres, elles pouvaient se consoler en pensant agir au nom de Yaoke, mais elles faisaient belle et bien la volonté de Warui. La jeune Uzumaki enfila rapidement des habits, et remis le voleur ses cheveux, elle qui pensait l'avoir définitivement quitté en quittant Suna pour Konoha, la voilà de nouveau dans le monde. Mais cette fois elle était puissante, elle n'avait pas peur, et Miko était à ses côtés.



Sayuri vint se blottir tendrement le dos contre le corps de Nagisa, alors que le feu s'emparait de leur demeure. Les deux disparurent alors dans la forêt afin de commencer une nouvelle vie. Une vie de plaisir et de décadence, la vie dont elles rêvent secrètement l'une pour l'autre depuis ce soir où elle s'était rencontré. Sans aucun doute le monde Shinobi allait bientôt avoir connaissance des maîtresses du crépuscule.



Sayuri saisit tendrement la main de Nagisa sur ces mots alors qu'elles quittaient le village de Konoha.

Il fallut un certain temps pour que l'incendie de ce qui fût un temple, ou habitait Chikara Nagisa, Uzumaki Sayuri et Bokyoku, soit maîtriser et que ce qui en resta fût sécuriser. La construction étant situé à proximité du village s'en y être accolé, il n'en restait pas moins qu'elle restait sous la juridiction de Konoha. De ce fait, c'est la Police de Konoha qui dût mener l'enquête.

Le chef de la police de Konoha se déplaça d’ailleurs en personne, accompagné de la jeune Chikara Eri. Les deux shinobis ayant déjà mener une enquête, au sujet de la disparition de 3 habitant du village qui ne cachait pas leurs opposition à leurs cultes, qui avait malheureusement mais choux blanc et fût classé sans suite. les villageois ne furent jamais retrouver et rien ne sembler laisser suspecter que ces dernier furent éliminer ici. Pour autant, Kotaro avait toujours quelque léger doute sur cette affaire, mais n'avait pas eu l'occasion de fouiller plus que cela.

L'intervention avait réussi à épargner suffisamment la bâtisse pour que les ruines conservent en partie la structure de l'ancien temple. Certaine partie c'était malheureusement effondré et la bâtisse était destiné à la destruction. Le hasard faisant bien les chose, les zones réservaient au habitation furent les première défendu contre les flammes, les préservant de la destruction.

Les deux policier aurait normalement du enquêter sur un simple incendie accidentelle si les habitant du temple c'était manifester. Cependant, aucun signe ne fût relever et un corps avait était retrouver dans l'une des chambre. Malheureusement, le cadavre de Bok ne fût pas épargner par les flammes. Rendant l'identification du cadavres difficile.



Les deux Konohaj-jin avait inspectait tout ce qui était sans danger. Certain gravât restait à déblayé. Mais il était préférable de laisser des spécialiste s'en occuper. Les ruines n'étant pas tout à fait stable.



Des trois résident, bok était le plus grand des trois. le corps calciné devait sans doute lui appartenir. Ce pauvre homme n'avait pas eu une vie facile avant de trouver refuge à Konoha. Ancien esclave de Kiri, il n'avait sans doute pas imaginer périrent par les flammes ici.



L’hypothèse de la Chikara était plausible. Mais la chaleur des flammes les auraient sans doute réveiller? De plus, deux corps manquait à l'appelle. Sayuri et Nagisa aurait échapper au flammes? Dans ce cas, pourquoi ne se serait-elle pas manifester ?

***

Il fallut encore attendre que les ruines soit totalement sûr et les gravât déblayer pour confirmer l'absence du corps des deux femmes. Dans ce cas, ou était t'elle passer? L’hypothèse d'Eri ne semblait plus correspondre au fait. Personne au village n'avait aperçus le signalement des deux femmes. Ou était t'elle passait? Il y avait alors 2 théorie. Soit l'incendie était l'oeuvre de bandit qui avait enlever les femmes qui avait fuis l'incendie, soit c'était ces dernières qui avait tué l'Uzumaki avant de mettre le feu à leur demeure pour ce débarrasser du corps. Ce fût cette dernière qui fût retenue. L'autopsie du cadavre ayant révéler que ce dernier était déjà morts.

Les deux femmes avait donc tuer l'Uzumaki pendant son sommeil avant d’incendié le temple et de prendre la fuite. Pourquoi? C'était un mystère. il faudrait probablement retrouver les fuyarde pour avoir le fin mots de cette histoire. Etant des civiles, l'information fût retransmise et un avis de recherche les concernant fut envoyer au Hokage. Il y aurait sans doute des ninja qui serait envoyé à leur recherche. Mais il était très probables que ce ne soit pas une priorité. Après tout, bokyoku n'avait pas de famille à Konoha pour faire pression