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Cela faisait un an. Un an s’était écoulé depuis que le Shinayaka avait libéré « la vipère de Kumo ». Depuis qu’il avait livré cette femme aux hommes masqués il n’avait plus eu de nouvelles d’elles. A vrai dire, il s’en moquait et il ne recevait que peu de nouvelles de la surface. Maeda passait le plus clair de son temps sous terre, dans la prison à surveiller les prisonniers. C’était la seule chose qu’il connaissait, c’était un guerrier d’élite et il son rôle était de veiller à ce que les ninjas les plus dangereux retenus par Kumo ne quittent pas leur cellule.

L’année passée avait été des plus ennuyantes pour lui. Bien entendu quelques prisonniers avaient essayé de s’évader ou encore de créer des révoltes mais à chaque fois le Shinayaka et les membres de son équipe avaient réussi à mater les velléités de ceux-ci. Il y avait toujours un problème à régler : une fuite d’eau, une invasion de rats, un prisonnier malade … Mais rien à la mesure d’un guerrier de sa trempe.

Au final il tournait en rond et en revenait toujours à Kazuna. La vipère avait été l’évènement le plus intéressant depuis la fin de son entraînement avec les autres garçons du clan. L’homme ne savait pas grand-chose de ce qu’il se passait à la surface. Il ne quittait que rarement les sombres cachots de Kumo …

Mais un jour il eut une permission. Peu habitué à la lueur du soleil il quitta son trou de nuit et décida de faire un tour en ville. Il erra un moment sans réel but … A un moment il s’arrêta dans un restaurant pour manger des ramens, un plaisir auquel il n’avait droit que très rarement. Ce fut le premier des plaisirs de cette soirée-là.

Une fois son bol fini et la note réglée il continua à déambuler dans la ville. Ici il n’y avait rien de semblable aux cachots qu’il connaissait bien. A l’air libre il y avait beaucoup de monde, les gens étaient libres et allaient où bon leur semblaient en prenant du bon temps. Le Kumojin se demanda comment pourrait être sa vie s’il la vivait ici, à l’air libre …

Enfin, ses pas le menèrent au quartier des plaisirs … Le jeune homme avait 23 ans et n’avait encore que peu d’expérience, il décida donc de profiter de sa permission pour prendre du bon temps. Il choisit une maison close au hasard, ou peut-être pas tant que ça finalement, les filles d’ici semblaient plus belles que dans les autres bordels.

Publié le 20 Mai 2020 vers 17h

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Un an que Kazuna avait prit le contrôle du bordel de Kumo. Un an qu'elle vivait sous des montagne d'argent et de plaisirs en tous genre. Elle pourrait même quitter la vie de Shinobi, mais à Kumo "Shinobi un jour shinobi toujours." Mais le pouvoir ne l'intéressait plus, en tout car plus le poste de Raikage, c'était le rêve de sa mère pas le sien. Trop de contraintes, trop de responsabilités. Ici elle était là reine et n'en tirait que des avantages.

Sa soirée la jeune femme l'avait passé à prendre du bon temps avec une de ses ouvrières, des femmes de tous les horizons, mais également des hommes de tous les horizons travaillaient pour elle. Des heures et des heures de plaisir sans avoir à faire la cours ou à séduire. Après de long moment de bonheur avec une magnifique Miwaku, la vipère sorti de son repaire entièrement nue et recouverte de sueur et autres fluides, et tomba face à face avec Maeda.

Dialogue de personnage
« Crâne d'oeuf ! Tu es sorti de ton trou ? Tu es venu ici pour en visiter d'autres ? »


Kazuna avait un réel talent pour mettre les gens mal à l'aise avec des paroles. Lentement la jeune femme enfila un kimono de soie sans l'attacher, ce qui cachait que très partiellement son corps. Sa mains d'or avec ses ongles incrusté de rubis à là où autrefois elle avait une mains faite de chair et d'os, la jeune femme dit.

Dialogue de personnage
« Combien tu as sur toi ? Voyons quelle plaisir tu peu avoir ? Opium ? Alcool ? Femme ? Homme ? Je peu tout t'avoir, en souvenir du bon vieux temps je te fais moitié prix. »


La jeune femme sortie son sourire le plus carnassier au jeune homme, il savait qu'elle n'hésiterait pas à le balancer au Raikage s'il lui manquait de respect.

Publié le 20 Mai 2020 vers 18h

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Maeda était à peine entré dans le bordel qu’il tombait sur une Kazuna à moitié nue. Enfin … C’était plutôt elle qui lui était tombé dessus. Quelle ironie, il n’arrêtait pas de repenser à la libération de la vipère de Kumo et la première fois qu’il quittait la prison il la retrouvait. Il n’avait eu aucune nouvelle d’elle et il la retrouvait dans un bordel. Ça ne l’étonnait même pas …

Il n’eut même pas le temps d’apprécier le corps de son ancienne prisonnière, il se souvenait encore de quand son bras élastique s'était enroulé autour du corps de Kazuna, qu’elle parlait déjà. Ses paroles le firent rire de bon cœur. « Crâne d’œuf », ils étaient peu au village de la foudre à pouvoir se vanter de l’avoir appelé comme ça et d’avoir survécu.
Dialogue de personnage
« -A ce que je vois, tu as toujours la langue bien pendue … »


Kazuna avait parlé sans filtre mais fond c’était bien pour ça qu’il était venu. N’est-ce pas ? Puis, la vipère en vint aux choses sérieuses. Il était temps de parler affaires. Combien il avait sur lui ? Le Shinayaka ne savait pas précisément combien mais il ne dépensait rien de sa solde, à la prison il était logé et nourrit. Comme il ne sortait pas et qu’il n’avait pas de proches à sa charge il n’avait pas de frais. Il sortit une bourse bien replète et dit :
Dialogue de personnage
« -Je pense que j’ai suffisamment pour m’amuser cette nuit. Je peux bien me permettre ça. Les cachots sont d’un ennui mortel … »


Peu importait ce que Kazuna lui proposerait il se jura par avance qu’il ne prendrait rien qui pourrait lui faire perdre le contrôle : ni drogue, ni alcool, ni rien de ce genre. Il voulait pouvoir rester maître de ses actes, c’était un guerrier d’élite avant tout, il voulait pouvoir réagir dans n’importe quelle circonstance et il n’était pas non plus question de livrer à Kazuna les secrets de son clan.

Dialogue de personnage
« -Je suis touché par l’attention, mais il est hors de question que je touche à tes substances bizarres. »

Publié le 20 Mai 2020 vers 23h

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Kazuna eu un sourire, l'homme était bien là pour prendre du bon temps. Cela aurait étonné la vipère que ce soit pour affaire, le Raikage avait l'habitude de la contacter directement, bien, qu'est-ce qu'elle pouvait lui proposer, surtout qu'il n'avait pas précisé homme ou femme. La jeune femme claqua des doigts de sa main restante, et six personnes arrivèrent, trois hommes et trois femmes. Le jeune homme allait pouvoir faire son choix.

Dialogue de personnage
« Le choix t'appartient, vous prendrez la chambre du rez de chaussée. Pour le paiement tu passes dans mon bureau Uand tu as fini ton affaire. »


La jeune femme le fixa de ses yeux jaunes perçants. Elle avait se regard particulier, sans sentiments, comme un serpent prêt à dévorer sa proix sans éprouver le moindre sentiments.

Dialogue de personnage
« C'est la pièce au dernier étage. Pas plus de trente minutes par personnes, tu n'es pas mon seul client. »


La vipère parti alors doucement jusqu'à son bureau, laissant à Maeda le choix pour sa soirée. Kazuna avait une idée derrière la tête, c'est pour ça qu'il n'avait pas payé d'avance.

Publié le 20 Mai 2020 vers 23h

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Maeda acquiesça de la tête aux paroles de son ancienne prisonnière. Puis il examina rapidement les gens que Kazuna avait fait venir. Enfin ... il regarda à peine les femmes et ne considéra même pas les hommes. Il choisit simplement la femme qui était le plus à son goût et la suivit dans la pièce que la vipère avait désignée ...

Une fois qu’il eut fini il prit la direction du bureau de Kazuna comme il le lui avait promis. L’ambiance de ce lieu était particulière. Il y avait beaucoup de bruits, les clients et les prestataires semblaient prendre du plaisir. La lumière aussi était différente. Ici point de torches dans de sombres couloirs de pierre mais des couloirs en bois élcairés par des lanternes et des bougies. Ça lui changeait bien de l’ambiance lugubre des cachots ...

Enfin il pénétra dans la pièce que Kazuna lui avait désigné comme étant son bureau. Il sortit sobrement sa bourse et demanda :
Dialogue de personnage
« -J’ai pris la brune. Combien j’te dois ? »

Publié le 20 Mai 2020 vers 23h

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Kazuna était dos à la porte, regardant le quartier du plaisir de Kumo par sa fenêtre. Toujours vêtu de son Kimono non attaché, la jeune femme se retourna pour faire face à Maeda. Elle tenait contre elle un python blanc et jaune serré contre sa poitrine volumineuse. Doucement, le reptile s'enroula autour du corps de la vipère de Kumo.

Dialogue de personnage
« Rien, tu as bien mérité un peu de plaisir, tu n'as aucune liberté. »


La jeune femme se câline contre le serpent, elle avait tout un tas de vivarium de son bureau, rempli de reptiles, d'insectes en tout genre. La jeune femme avait comme une passion pour le danger et ce qui pouvait rapidement devenir létal.

Dialogue de personnage
« Tu pourrais être utile dans un endroit comme celui-là. Bien sûr rien d'officiels, mais tu pourrais venir ici gratuitement autant que tu le veux. »


La jeune femme alla lentement reposer le serpent dans son vivarium avant de le refermer, puis elle avança jusqu'au Shinayaka, elle arrêta à quelque centimètres de lui et lui dit.

Dialogue de personnage
« J'ai besoin d'un bras droit, une sorte de garde du corps qui réglerait quelques affaires pour moi. Je pourrais te rémunérer de la manière que tu le souhaites. »

Publié le 21 Mai 2020 vers 00h

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En entrant Maeda vit que Kazuna était toujours aussi dénudée, à l’exception prête d’un serpent jaune et blanc. Un frisson parcouru le dos du jeune homme, il savait que ce genre de créatures était redoutables ...

Quand la vipère lui annonça que le prix de sa soirée était nul il se douta que quelque chose n’allait pas. Autant il était assez à l’aise depuis le début autant là il se sentait comme pris au piège. Avait-il marchandé quelques instants de plaisir contre son âme à un démon ? Si ce n’était pas le cas pour Maeda c’était tout comme. Un jour Kazuna l’avait appelé « le rat de Kumo ». Le rat était acculé par la vipère ...

Puis Kazuna lui proposa de travailler pour elle. Perspective intéressante, d’autant plus qu’il reprit ses aises en voyant la créature reposée dans sa cage, comme tout bon serpent devrait l’être. La proposition devenait encore meilleure lorsqu’elle lui proposa de devenir son bras armé. La baston il connaissait et il était en manque d’action dans les cachots.

Seulement, Maeda était un Shinayaka et en tant que tel il ne pouvait pas se permettre de démissionner. Son clan était lié au Raikage.

Dialogue de personnage
« -Et à propos de mon poste actuel ? Je ne peux pas me permettre de le quitter comme ça. J’ai peut-être passé trop de temps sous terre mais mon cerveau ne s’est pas ramolli au point de vouloir défier le Raikage. »

Publié le 21 Mai 2020 vers 00h

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La jeune femme rigolait intérieurement. Il n'y avait plus âme qui vivent dans les cachots du village. Depuis la fuite des Kirijin, il n'y avait plus que quelques clochard dans les geôles du village, et personne ne verrait qu'il y a un garde moins.

Dialogue de personnage
« Tu ne sers plus à rien là-bas, il n'y a plus rien à garder. Tu n'as rien à dire à personne, personne ne remarquera ton absence. »


La jeune femme transperçait Madea de son regard d'ambre. Pourquoi faisait elle ça ? Parce qu'elle avait un don pour remarquer les esprit facile à tordre, et celui-ci semblait être comme de la pâte à modeler pour Kazuna, elle allait pouvoir le sculpter selon ses désirs.

Dialogue de personnage
« Je ne te demande que quelques nuit par semaine, et je ferais de toi un homme riche d'argent et de femme. »


La jeune femme se recula quelques seconde, laissant de nouveau la vue sur son corps au Shinayaka, avant de refermer son Kimino convenablement et lui dire.

Dialogue de personnage
« Tu n'es pas obligé de répondre ce soir, retourne en bas et prend du bon temps comme tu le souhaites, tous les services que la maison à à offrir son gratuit. La salle de l'opium, le bar, ainsi que toutes les filles. Considère ça comme un avant goût de ce que notre collaboration pourrait te rapporter. »


La jeune femme se retourna et se remis à la fenêtre tournant le dos au Shinayaka, attendant de voir sa réaction.

Publié le 21 Mai 2020 vers 00h

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Personne ne remarquerait sa disparition ? Qu’elle aille dire ça à son équipe. Comment réagiraient-ils en s’apercevant que leur chef n’était pas rentré ? Ils allaient certainement en alerter la hiérarchie pensant qu’il lui était arrivé quelque chose. Là il aurait des ennuis ...

Ils savait que s’il acceptait il s’exposait à de gros risques mais la proposition était alléchante. De plus Kazuna avait raison, il n’y avait plus de prisonnier de valeur, ses talents martiaux n’étaient pas utilisés. En plus, elle avait promis de le rémunérer avec ce qu’il voulait ...

Après tout il n’aurait aucun mal à faire disparaître son équipe. Dans les cachots les différentes équipes communiquaient peu entre elles, en somme elles ne se connaissaient pas vraiment. Avec ses pouvoirs il pourrait facilement les éliminer ainsi que quelques détenus de moindre importance pour faire passer ça pour une tentative d’évasion. En découvrant les cadavres on les brûlerait simplement et il n’y aurait plus aucune trace de son existence. Alors il serait libre de faire ce qu’il lui plairait.

Sa décision était prise.
Dialogue de personnage
« -Pas besoin de réfléchir plus. J’accepte ton offre. Quand je reviendrai demain soir il n’y aura plus personne pour se souvenir de moi dans les cachots. Maintenant abordons le sujet de ma rémunération ... »


Le jeune homme contempla le corps de Kazuna. Celui-ci lui avait laissé un souvenir impérissable un an plus tôt lorsqu’il l’avait reconduite en dehors de la prison.
Dialogue de personnage
« -Les filles en bas et tes substances bizarres m’importent peu. Ce que je veux c’est ça ... »


Il venait de désigner le corps de Kazuna. Maeda savait qu’il jouait avec le feu mais il avait l’occasion d’assouvir son fantasme et celle-ci ne se reproduirait peut-être pas. Autant la saisir maintenant qu’il en avait l’opportunité ...

Publié le 21 Mai 2020 vers 01h

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Le jeune homme fantasmait donc sur la vipère. C'était devenu une habitude pour la belle Kazuna. Seiko, Soma, Gareki, Boaru. Ils étaient nombreux à avoir eu le même fantasme à un moment de leurs vies. La jeune femme le fixa un long moment sans rien dire, elle était en train de mettre une pression importante sur le jeune homme, juste par son regard.

Dialogue de personnage
« Ok, mais je tue pas de Kumojin, mes relations avec le Raikage se sont grandement améliorées, je ne conspire plus contre lui. Tu devras en faire autant. »


La jeune femme fit alors glisser le Kimono le long de son corps, puis passa de l'autre côté de son bureau et se pencha sur celui-ci, tendant sa croupe nu en direction de Madea. Le jeune homme devait ne pas en croire ses yeux, elle s'offrait complètement à lui avec une telle aisance. Alors qu'elle entendit le jeune homme qui s'approchait, la jeune femme fit très discrètement des signes avec sa main et siffla.

Le jeune homme avait forcément entendu les sifflement, et il allait maintenant ressentir une énorme tristesse, une immense solitude. Il n'allait plus avoir envie de quoi que ce soit avec elle. Il allait avoir le sentiments que rien n'a de sens dans sa vie, et d'avoir échoué face à la pression, le pire souvenir de sa vie qui prend possession de son être, face au corps de la jeune femme offert sur un plateau pour lui. Au bout de quelques seconde, la jeune femme se redressa et se retourna pour lui faire face. Elle se contenta de lui dire.

Dialogue de personnage
« Ne tue personne, débrouille toi autrement... Et ne réclame plus jamais quelque chose que tu n'as pas les épaules d'avoirs. Maintenant dégage de mon bureau, tu commences demain. »


La jeune femme, retourna alors mettre son Kimono, bien ajusté cette fois, masquant totalement son corps au jeune homme. La vipère était l'un des êtres les plus dangereux du Yukan, capable de détruire l'esprit des gens avec toute sorte de venins.

Publié le 21 Mai 2020 vers 09h

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Maeda n’en croyait pas ses yeux. Kazuna acceptait de s’offrir à lui. C’était plus qu’inattendu. Mais cette illusion là fut vite remplacée par une autre ...

Bien vite la contemplation du derrière proéminent de la vipère le mit mal à l’aise. Sans trop savoir pour quoi ça lui rappelait la dureté de son maître lorsqu’il était petit ainsi que ses cruels châtiments que les jeunes Shinayaka recevaient en guise de punition. Toutes celles-ci s’étaient déroulées à l’air libre pourtant c’étaient les heures les plus sombres de sa vie ...

Puis la vipère mit fin à tout ceci et le sermona en lui disant qu’il ne fallait pas qu’il tue de Kuomijins et qu’il ne fallait pas qu’il demande des choses comme ça. Blablabla ... malgré ce qu’elle venait de lui faire subir le Shinayaka pensait toujours qu’elle parlait trop.

Quand elle eut fini Maeda lâcha un soupir, se retourna et partit en claquant la porte. En quittant le bordel et en se dirigeant vers les tunnels qui menaient aux cachots il se dit qu’il était dans le pétrin ... en quelques minutes il avait balayé tous les principes qu’on lui avait bourré dans le crâne quand il était plus jeune : ne pas se rebeller, ne pas céder à ses désirs ... et tout ça pour quoi ? Pour rien. Toutefois il savait que dès la nuit suivante il retournerait au bordel. Pas parce qu’il se doutait que Kazuna avait le bras long et que même caché au fin fond des cachots elle pourrait l’atteindre. Non c’était autre chose. Tout au fond de lui, même si elle l’avait humilié ce soir, il avait envie de devenir ce bras armé dont elle parlait. Il moisissait au fond des cachots alors qu’il mourrait d’envie de combattre.

Arrivant enfin dans les cachots il tomba rapidement sur les hommes de son unité. L’un deux fumait. Maeda lui demanda une cigarette. C’était la première fois qu’il fumerait. Son subordonné était un peu surpris mais il ne pouvait rien refuser à son chef. Maeda s’assit, écoutant leurs conversations de loin, réfléchissant, tout comme ses prisonniers, à un plan pour sortir d’ici. Ses hommes ne le savaient pas mais ils devaient la vie à Kazuna. Le regard perdu dans la pénombre d’un couloir Maeda décida qu’il falsifierait demain un ordre de mission le réaffectant loin d’eux. Après le leur avoir annoncé il retournerait au bordel ...

Publié le 21 Mai 2020 vers 11h