Retour chez soi

Le soleil brillait déjà haut dans le ciel lorsque le jeune shinobi s'approcher des porte du village caché de la feuille, un petit de cahier à la main. Il avait passer plusieurs minute à dessiner la grande porte de Konoha qu'il n'avait pas revue depuis 1 ans. Ah que de souvenir.

Franchissant le seuil du village, il resta immobile un petit moment. Admirant son foyer, il ne pût s’empêcher de se demander ce qui avait bien pus changer pendant cette longue absence. La paix régner telle toujours à Konoha? Les Hokage avait t'il changer? Tant de question qu'il s'empressa se ressortir son carnet de sa tunique pour noter toute celle qui lui passait par la tête. Il ne voulait pas en oublier une seul.

De loin, n'importe qui devait se méfier de cette personne qui semblait prendre des notes. Surtout qu'il n'arborait pas le bandeau de Konoha...

Kazami était encore de garde aux portes aujourd'hui. Elle n'aimait pas ce poste. Les gardes devaient toujours être attentifs, ils n'ont jamais de répit. Chaque inconnu peut être un ennemi. Parfois même les Konoha-jin pouvaient être des ennemis.

Un homme étrange s'approchait. Des cheveux mi-long brun, assez grand et mince, d'allure un peu nonchalante. Mais ce qui était étrange c'était ce petit carnet où l'inconnu ne cessait de griffonner. Avec cette allure un peu suspecte, Kazami fut obligée de lui barrer le passage.



Elle détailla l'inconnu de haut en bas afin de repérer le moindre signe de danger. Il était hors de question qu'un autre incident n'arrive à Konoha.

Toujours occupée à prendre note de ces interrogation, le Kitto ne vit pas arriver la kunoichi Uzumaki qui le questionna sur sa venue à Konoha.
Une réponse normal aurait voulut qu'il se présente en tant que konoha-jin mais ce boulet avait laisser son bandeau dans son sac. Il
aurait pu simplement le sortir mais s'il faisait sa, la shinobi prendrai peut-être cela comme un acte hostile. Rah pourquoi ne l'avait t'il pas mis avant d'arriver.



Puis comme pour confirmer ses dire, il jeta le petit sac qui l'accompagnait et le jeta au pids de la rousse.

L'homme n'était pas des plus cordial. C'est sûr que se faire contrôler à l'entrée de son propre village n'est pas très agréable mais bon. Elle ignora son arrogance et fouilla dans le sac pour trouver le bandeau.
Lorsqu'il posa la question du Hokage, Kazami fut encore plus suspicieuse.



Elle fit un signe à un garde de vérifier le dossier de Kotaro pour vérifier la véracité de ses dires. Si ça se trouve, il avait été banni.



Kazami ne cèda donc toujours pas le passage au jeune homme. Elle était curieuse d'en savoir plus. Vraiment très curieuse.

Le ninja se demandait si la sécurité avait bien était renforcer ou si ce n'était qu'un impression. Malgré la présence du bandeau et tandis que le garde partit vérifier la véracité de ces dire dans un potentiel dossier dont il ignorait carrément l'existence.
En tout cas, le principal fait le plus vexant, c'est qu'elle venait de le comparer à un "détails". C'était franchement quelque chose qui ne se disait pas du tout. Prenant un air blasée, il lui répondit.



Bien sur, la kunoichi ne semblait pas décider à le laisser passer. Pourquoi, il ne le savait pas mais il allait bien répondre à ses question. Il n'avait pas mieux a faire de toute façon.



Le ninja avait mimée des guillemet pendant son dialogue avant de poser sa question a ce qui ressemblait à un petit jeu finalement.



Le shinobi prit se prépara alors à prendre note de leurs petite discussion.

Kazami l'écouta avec un sourcil levé. Ce ninja était vraiment étrange à bouger ses bras de la sorte en parlant. Finalement, le garde qui était avec elle lui signala que tout était en ordre et elle n'avait donc aucune raison de le garder à la frontière. Elle fit une moue un peu déçue.

Il lui demanda alors les relations entre les Uzumaki et Chiraka. Kazami fit une grimace. Il voulait vraiment l'énerver ? Elle se contenta de dire avec la plus grande ironie possible dans sa voix :



Elle reprit alors d'une voix plus grave, en faisait signe à Kotaro de passer son chemin :



Elle s'écarta de son chemin pour le laisser passer. C'était bien une blague des Kitto ça. Se moquer de la rivaliter Chikara-Uzumaki. C'était navrant !

Bah finalement on le laisser passer? Faudrait savoir ce qu'il voulait à konoha. L'Uzumaki semblait un peu déçu de ne rien avoir à lui reprocher et ses réponse semblait aller égalent dans son sens. C'était t'il passer quelque chose? Que les Uzumaki et les chikaras se portent ensemble à merveilles c'était vraiment trop beau à voir. Notant les réponses, il dévisagea rapidement l'Uzumaki qui lui cédait maintenant le passage.



Le shinobi récupéra son sac, commença à avancer avant de se retourner vers la Kunoichi.



Kotaro repris dés lors son gribouillage sur son carnet, dessinant un croquis de la jeune femmes.

Ca y est, maintenant qu'il pouvait partir, il avait choisit de venir titiller Kazami. Il semblait savoir l'origine de son ironie. Elle voulut mentir et lui dire "Rien n'a changé" mais celle-ci fronça plutôt les sourcils et fit :



Il se mis alors à griffonner encore dans con carnet. Kazami ne put s'empêcher de s'avancer pour regarder par-dessus pour voir ce qu'il trafiquait. Elle vit alors une sorte de visage. Etait-il entrain de la dessiner ? C'est ce qu'il faisait donc dans son bouquin ? Dessiner ? Bien étrange !



Cette histoire l'interloquait. La curiosité l'amena à oublier qu'elle voulait se débarrasser de cet homme qui lui posait tant de questions.

Tandis que le dessin commencer à prendre forme, il fût gêner par le fait que sont actuel modèle, Uzumaki Kazami, fût pris de mouvement et vint regarder l'oeuvre in-achever.



Ce que le jeune homme n'avait pas dît, c'est que c'était presque vital à ses yeux. C'était une façon d'immortalisait chaque rencontre, chaque visite de sa vie.
Puis il recula de quelque pas pour se retrouver face à Kazami et repris son dessin.



Il fit encore quelque coup de crayons et s’arrêta. Le Dessin était encore un peu schématique et brouillon mais sa lui suffirait pour le moment. Il le terminerai plus tard. Il tandis alors le carnet vers la femmes.

Kotaro ne voulait pas qu'elle regarde avant qu'il n'ai finit. La jeune femme resta donc là, à poser avec un sourire un peu maladroit sans vraiment savoir quoi faire. Puis finalement, il lui montra son portrait. Kazami reconnu son petit nez au dessus de sa petite bouche caractérielle. Elle fit un petit sourire en lui disant :



Kazami n'avait jamais entendu parler d'un tel ninja. S'il était aussi doué au combat qu'avec un crayon, ça devait être un ennemi redoutable.

Il avait probablement appris ça de son père chez qui il semblait avoir passé beaucoup de temps.

Le : portrait semblait satisfaire la jeune Uzumaki a telle point qu'elle continua à faire preuve de curiosité à son égard lui demandant ou il avait appris à faire cela. Elle ne semblait plus presser de partir d'ailleurs. Ce qui était loin de déplaire au jeune Kitto. Ils n'avait pas eu l’occasion de parler à beaucoup de personne avec son père qui préférait la solitude, alors si elle voulait faire la discussion pourquoi pas.



Ils préférait taire le fait que c'était son père qui lui avait donner les base ce qui d'ailleurs les arranger tout les deux. L'un trouver qu'il dessiner trop tandis que l'autre préférer s'attribuer tout le mérite.
Le ninja repris sont carnet et le rangea.



Ce n'est pas l'envie de discuter qui lui manquait mais il ne voulait pas nuire au travaille. Puis il avait envie de faire le tour du village, voir ce qui avait changer en son absence.

Alors que Kazami dévisageait le jeune ninja, so co-équipier l'appela pour un petit soucis. Kotaro lui fit également la remarque. C'est vrai qu'elle avait peut-être perdu un peu de temps avec cet homme. Elle ne put que lui faire un sourire gêné en acquiesçant :



Elle agita la main pour le saluer et tourna les talons pour aller aider son co-équipier en difficulté. Ca ne semblait pas bien compliqué mais ce dernier n'était pas une lumière ...

Elle jeta un coup d'oeil par dessus l'épaule pour voir s'éloigner le Kitto, ce dessinateur qu'elle pensait recroiser un jour, peut-être bien plus tôt qu'elle ne s'y attendait..