Une nouvelle année académique

C’était une très belle journée, pas par son temps, ni l’ambiance de Kiri. C’était le moment de continuer ma formation à l’art de l’iroujutsu. J’adorais ce que je faisais et j’étais enthousiaste de pouvoir sauver des vies... je marchais vivement vers le bâtiment ou les cours se faisait et nous allions commencer par un cours sur l’autopsie d’un vrai corps.

J’entrais tout excité à l’idée de voir un vrai cadavre et de pouvoir le découper... raaa pensée sadique, mais pour faire la médecine, ne fallait il pas avoir quelque penchant psychopathe après tout ?

Je pénétrais dans le bâtiment, assez désertique, il fallait avouer que peut de monde s’intéressait à cela, préférant des entraînements au combat au lieu de vouloir sauver des vies. Sans vous, les combattants ne survivraient pas longtemps. J’arrivais devant le laboratoire d’autopsie, notre sensei était déjà là et je pouvais y voir quelques élèves. Je m’installais en avant, je voulais être en premier loge. Je regardais un peu les élèves présent, que des abrutis qui ne voyait en rien. Je m’adressais alors au sensei.



Hm il ignorait ma question et j’entendais un petit rire non loin de moi... il s’agissait de Kaguya Inoya. Elle était assez bizarre mais sympathique à regarder.

Inoiya avait commencé les cours de médecine, elle n'était pas très douée, et elle était une des seules Kaguya dans la classe. La plupart des Kaguya de son âge n'étaient intéressés que parle fait de boire, baiser et combattre. La jeune femme était différente, folle amoureuse de Dokho, et voulant se sortir de ce cycle de violence, elle avait décidé de se mettre à l'irou, mais il fallait l'avouer la génétique était une chose étrange. Elle était doué pour le combat avec les armes, pour le Suiton, mais pas pour la médecine. Les Kaguya sont fait pour tuer, pas pour soigner.

Dans le cours, il y avait ce mec, Gaikotsu Konton, il était tellement bizarre, la jeune femme était sur qu'il finirait par devenir fou et mal tourner. Il avait ce genre de regard particulièrement inquiétant. Elle ne pu retenir un petit rire lorsqu'il demanda à disséquer les corps. Serieusement il avait un problème ce type... Et en plus il était agressifs.



La belle Kaguya qui à l'époque n'avait pas encore le visage brûlé défiguré qu'elle devait au Raikage, n'était pas du genre à ce faire marcher sur les pieds. Il avait posé une question il avait la réponse.



Le sensei fit taire Inoiya, le cours allait pouvoir commencer. Sauf si Konton repondait et les faisaient virer du cours...

Susceptible, on voyait très bien les origines barbares de son clan ressortir en elle. Je la regardais d’un air sadique... je pourrais faire gros de chose si son corps était sur la table hehe.



Je n’étais pas étrange, os plus que les autres abrutis qui se trouvaient ici.. d’ailleurs, il en a un qui quitte la salle pour aller vomir à l’extérieur... totalement pathétique et pitoyable.



J’éclatais de rire mais le sensei me disait clairement de me calmer surtout qu’il allait commencer. J’observais alors son art avec attention. Il utilisait la technique du scalpel de chakra afin d’ouvrir le thorax et d’ecarter le tout afin de voir la mort en face. Il expliquait alors la technique qu’il avait utilisé en nous disant qu’elle était primordiale pour devenir un bon médecin... si il le dit, mais il y avait bien plus important à apprendre.

Ce Gaikotsu était dans aucun doute un raciste et un idiot. Et la jeune femme n'était pas du genre à ce laisser insulter, surtout par un moins que rien. Cet homme semblait bien plus obnubilé par les cadavres que la jeune Kaguya, mais il se permettait de faire ce genre de remarque désobligeante envers elle.



Le professeur réprimanda la belle Kaguya, et continuabson cours, sauf que le Gaikotsu ne semblait pas lâcher l'affaire. Il continuait avec les insultes et les remarques désobligeantes envers elle. Le professeur n'en pouvait plus, et il les renvoya tous les eux, privant Konton d'une dissection, chose qu'il semblait attendre avec impatience. Une fois dans le couloir, Inoiya le prit à parti.



La belle jeune femme lança quelques aiguilles à côté de lui, elle allait se planter à quelques centimètres de sa tête.

J’éclatais de rire mais ce fut de courte durée le sensei nous renvoyait tout les deux du cours... ce bouffon n’avait aucun humour. Je me débrouillerai de moi même pour trouver un cadavre et le disséquer... je pourrais peut être faire ça avec la Kaguya en la maintenant en vie... mais ça risquerait de couper court à ma formation et à la vie sans doute. La pauvre fille m’attaquer sur des pseudos déviance sexuelle, tort ou pas, ça ne la regardait pas du tout.



Bam envoyé celle là! Mais c’est une tarée, elle m’envoyait des aiguilles non loin de moi. Je lui jetais un regard noir et sadique... je devais contenir mes pulsions.



Je m’approchais tout près d’elle.

Il venait vraiment de lui dire qu'il allait violer son squelettes après avoir demande si elle glissait ses propres os dans son intimité ? Quand Dokho allait apprendre ça, il allait tuer Konton, cela ne faisait aucun doute. Mais l'avenir allait malheureusement être fait autrement.



Cet homme était malade et malsain, Inoiya était mal à l'aise à son contact. Une chose était certaine, il allait garder un très mauvais souvenir d'elle, et il allait le garder toute sa vie. Il s'approchait d'elle, il était agressifs, elle n'avait pas beaucoup de solution face à ça. Une aiguille logée dans sa gorge, la jeune femme déglutit pour se préparer à la cracher. Elle allait lui laisser un souvenir d'elle. Alors qu'il était juste en face d'elle, elle cracha une aiguille qui irait se planter dans son cou si il ne faisait rien pour éviter. Un endroit où il serait paralysé de douleur, mais elle avait fait exprès de ne pas toucher la carotides. Les médecins le prendrait rapidement en charge ici.

La médecine était une passion, pour percer les secrets de la vie mais aussi de la mort. Elle ne comprenait pas l’importance de tout cela et ça m’énervait au plus au point. Elle n’était d’ailleurs pas la seule, ils étaient tous ainsi avec leur charabia d’aider les autres... tellement risible.

J’étais tout proche d’elle, si près que je pouvais presque sentir son parfum... je l’aurai bien prit dans ma collection... et sans faire attention, une fine aiguille venait se planter au niveau de la gorge et je m’écroulais au sol de douleur... un point d’acuponcture me paralysant dans d’atroces souffrance... la connasse, elle savait manier son art en visant un point précis... elle n’était peut être pas si ringarde que ça... dans tout les cas je me tordais de douleur, je n’allais pas la supplier de m’aider... mais dans tout les cas, je me vengerai de cet affront !