Convocation de l’anbu

Il n’avait pas fallu longtemps pour que les autorités de Konoha soient mise au courant sur le mort Kirishitan. Ça avait fait du bruit, surtout qu’il y avait eu des blessés léger à cause de sa folie et il avait détruit mon jardin... ça passait vraiment mal ça. Cependant, je n’avais eu d’autre choix que de le neutraliser et le tuer... c’était inacceptable qu’un genin se comporte ainsi, heureusement que ça bêtise a était vu rapidement, ça aurait pu causer de bien plus grave catastrophe.

J’avais prit la peine de recouvrir le corps d’un draps blanc et ficelé. J’allais le rendre à Mère, mais il fallait mieux l’amener aux autorités, surtout que c’était le détenteur d’un dojutsu. Je tentais de passer inaperçu, on avait l’habitude de me voir transporter tout un tas de choses, les gens n’y prêtaient pas spécialement attention. En attendant, je me trouvais convoqué devant cette nouvelle unité qu’est l’anbu, je n’avais rien à me reprocher et j’avais même rendu service sur ce coup là.

J’étais devant ce bâtiments imposant pour la seconde fois. La première n’était pas plus joyeuse avec l’affaire de Kumojins. Je me présentais à l’accueil avec la convocation. On me dirigeait vers une salle de taille moyenne et tres sommaire. Je déposais le corps contre un mur, on me demandait de patienter... l’interrogatoire risque d’être amusant...

Whisky. Un bon grand verre de Whisky sec. Voilà ce qu’il avait fallu à la Quadragénaire, lorsque le dossier du matin tomba dans son bureau. Un genin assassiné par un Chûnin. Enfin « tué », « neutralisé ». Le qualificatif dépendait en fonction du prisme dans lequel on regardait la situation, mais les mots qui étaient sortis de la bouche de la dame était les mêmes « Putain de merde ».

Après le Hokage qui avait faillis tuer son fils, c’était le tour d’un chûnin ? Mais qu’arrivait-il à Konoha ? Qu’est-ce qui ne tournait pas rond dans ce village ? Comment allait-elle pouvoir rattraper cette catastrophe ? Les questions se succédait dans la tête de la dame de fer, qui avait véritablement peur des conséquences au court et long terme de cet incident. C’était pourquoi elle avait immédiatement court-circuité le chef de la Police, en plaçant un simple tampon « Secret défense » sur le dossier, et en informant les différents personnels administratifs de lui apporter toutes les preuves dans son bureau. La raison ? Un possible lien entre l’assassin et Gekido, ou l’inverse. C’était une piste non-négligeable.

Peu de temps après, Kuma Kirishitan fut amené dans une salle d’interrogatoire. Avec une vitre sans teint, et des membres de l’ANBU posté à l’arrière. Peu de temps après, la Dame de fer entra, faisant claquer ses talons au sol, et déposant deux tasses de thé, ainsi qu’un dossier, non sans le claquer lui aussi contre la table. Son visage affichait pourtant un sourire de velours agréable et amical.

Après quoi, elle se posa sur le siège en face du suspect.



Elle posa ses mains jointes sur la table, et surtout, sur le dossier. Elle le connaissait visiblement par cœur. Deux membres de l’Anbu entrèrent dans la pièce, et récupérèrent le cadavre, avant de faire porte close à leur départ. Ils étaient seuls.



Son regard devint d’acier. Sévère, froid, et autoritaire.



Elle le fixait, sans le lâcher de regard, avant d’annoncer froidement.



Puis, elle fit un silence. Le jeune chûnin devait comprendre les conséquences de ses actes.



Elle fit un sourire, qui apparaissait comme terrible dans la situation actuelle.



Elle se leva, et apposa sa marque sur son front, avant de reprendre place.

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Puis, elle écouta les explications du Kirishitan, le surveillant attentivement.

J’avais peu patienté. Uzumaki Mako, je la connaissais de nom mais je ne l’avais jamais rencontré. Elle déposait une tasse de thé avant de s’asseoir face à moi et deux membres de l’a vu en profité pour emmener le corps. Je souriais à la dame tout en buvant un peu de mon thé. J’avais un peu la gorge sèche, je préférais le nectar de mes plantes... mais ça n’allait peut être pas être bien vu si je m’amusais à faire fleurir la salle d’interrogatoire.

J’écoutais la dame, attentivement même si je n’aimais pas spécialement les sermons m. De plus, cette histoire était interne à notre clan, elle aurait pu le rester et cela aurait été rapidement de l’histoire ancienne, c’était ça de vivre dans un village sous différentes autorités.

Tout comme elle, je ne la lâchais pas du regard tout en gardant mon sourire et mon calme légendaire. Il en fallait bien plus pour me déstabiliser avec des mots comme exécutions, que j’étais dans de sale draps et j’en passe. Je finissais ma tasse de thé avant de soupirer pour le sceau qu’elle imposait sur mon front... tant de précaution pour rien.



Je reprenais.



Mon visage devenait plus sévère.



Je souriais de nouveau à la dame.