Discussion de raison.

Tu étais de retour depuis peu au village et tu avais déjà entendu des rumeurs selon laquelle un Hattori serait venu chercher 2 soeurs de manière assez brutale et elle semblait consentante. Tu pensais plus que c’était contre leurs grès, surtout venant des Hattori. Tu ne pouvais rien y faire mais tu pouvais aller te renseigner à la source afin de savoir si ces jeunes filles se portaient bien et comment elles étaient traités. Tu n’avais que très peu d’empathie mais tu voulais le bien de ceux de ton clan, il ne le méritait pas pour la majorité et tu savais qu’une purge serait plus que nécessaire alors que nous n’étions plus très nombreux. Il fallait préserver une élite parmi nous et tu devais les trouver et les protéger. Les autres n’étaient pas de mon ressort. Tu devais aussi t’assurer de leur fidélité envers l’empereur, tel était ta mission et toute rébellion se solderait par une exécution immédiate.

Tu te dirigeais d’un pas sûr vers le quartier du plaisir et tout particulièrement un bar respectable pour le quartier où tu pouvais trouver Miwaku Kazuko et sa jeune sœur Kohana. Tu avais enquêtais en commençant par la poubelle qui leurs servaient de toit. Tu pouvais comprendre l’intérêt de vouloir partir de la, mais pas à n’importe quel prix pour autant. Il était déjà tard et le quartier des plaisirs s’animait. Tu arrivais face à ce bar, tape à l’œil mais qui semblait très bien fréquenté. C’était déjà une bonne chance car tu connaissais que trop bien les bas quartiers où la vermine de Kumo s’extasiait à n’importe quel vice possible du moment qu’ils avaient l’argent pour payer. Notamment la prostitution des femmes de nos clans qui servaient essentiellement à cela pour les ténors du crime organisé. Tu allais alors sur l’entrée du côté et tu tapais assez fort.

Tu espérais qu’elle soit là, au pire des cas, elle devait certainement travailler dans ce bar à servir les riches de Kumo comme à l’habitude de notre clan. C’était une chose difficile et il fallait redresser l’honneur de Kumo, beaucoup voulait faire cesser ce trafic ou du moins le contrôler de manière plus Seine et une surveillance accrue pour éviter des débordements ingérable.

Si vous n'arrivez pas à vous réveiller de si bon matin, prenez une Konahasse ! Satisfait ou non rembourser, parce que de toute façon personne n'en voulait. Kazuko se préparait pour aller travailler, mais la petite fille en décidait autrement et s'amusait à courir partout avec les accessoires de son ainée pour qu'elle reste un peu plus de temps avec elle. De la petite kitchenette à l'entrée, de l'entrée à la chambre et de la chambre à la salle d'eau. Enfin coincée ! La femme Miwaku la tenait entre ses mains et lui prenait le reste de sa tenue pour pouvoir commencer le service.


Soudainement quelqu'un frappait à la porte arrière. La porte arrière ? En général c'était Kuraso ou Hidemi qui passait par cette porte. L'homme Hattori n'était pas présent ces temps-ci et quant à Hidemi, Kazuko attendait sa venue. Elle descendait les escaliers qui menaient à un petit sas présentant une porte de chaque côté. La jeune fille ouvrait la porte avant d'apercevoir un autre Miwaku ! Cet homme lui disait quelque chose, mais impossible de se souvenir de son nom.

Tu patientais un instant. Tu avais tout ton temps et d’après mes informations le Hattori qui tenait ce lieu n’était plus présent à Kumo pour l’instant. Ça allait simplifier les choses. Tu n’aurais pas voulu discuter avec lui sur le pourquoi de ta venu, un gain de temps non négligeable et il sera plus facile de discuter avec la jeune femme en toute sérénité. C’était tout de même peu banal qu’un membre du clan Hattori vienne chercher dans notre quartier une Miwaku pour la faire vivre dans un endroit bien plus luxueux. Elle pouvait être son esclave sexuel. Il y avait plusieurs possibilité, ce n’était pas l’objet du pourquoi tu étais là, mais tu allais t’informer le plus possible. Elle finissait par descendre, à première vue, elle semblait en forme. Une bonne chose à retenir, la bizarrerie de cette situation était unique. Tu saluais la jeune femme brièvement avant de te présenter.



Tu regardais furtivement derrière elle, un escalier qui devait donner sur l’étage de ce bar. Elles devaient avoir une belle surface pour elle, sauf si il était divisé avec une entrée commune qui donnait sur deux demeures, tu en doutais. Il était temps de lui expliquer la raison de ta venu.



L’explication que tu avais donné, elle était clair.



Tu n’avais aucune intention néfaste. Tu voulais juste comprendre le pourquoi du comment de cette peu commune.

A l'annoncement de la venue d'Azamuku, la femme Miwaku comprenait probablement le pourquoi de sa venue. Et lorsque celui-ci lui annonçait l'incident qui se produisait quelques jours plus tôt, elle tombait dans le juste. Pour le moment, pas de reproche de sa part, mais seulement l'annonce des faits réaliser et des témoignages recueillis. Il demandait ensuite s'il pouvait prendre quelques minutes supplémentaires à la jeune femme pour lui demander les raisons de ce problème. Drôle d'image, un homme Miwaku qui ne semblait pas au courant des agissements des nôtres ? L'expression neutre, Kazuko ouvrait un peu plus la porte pour laisser l'homme rentrer.


La pauvre jeune fille qui était déjà en retard, accordait tout de même de son temps au Miwaku qui retrouvait la trace des deux demoiselles assez rapidement. Elle lui faisait signe de s'installer sur la chaise et préparait du thé accompagné de quelques friandises.


Elle s'asseyait sur la chaise opposée avant de reprendre la parole et de boire son thé à elle. La moindre des choses était que l'invitée surprise soit à son aise même s'il ne s'annonçait pas plus tôt.

Tu t’arrêtais à cette simple explication pour le moment que tu pourrais enjoliver par la suite selon le déroulement de la discussion dans le sens que tu comptais la diriger. Elle t’invita a l’étage. Tu la suivais. Elle avait raison, il y avait beaucoup trop de Hattori qui circulaient, tu te devais d’être assez discret même si tu savais faire oublier ton passage de manière efficace. En entrant dans ce qui était un appartement, tu construis que sa vie d’aujourd’hui n’avait rien à voir avec celle d’hier. Surprenant et intriguant venant de la part ç un membre du clan Hattori.

Tu acceptais son invitation et tu t’installais. Son hospitalité étaient chaleureuse, elle te ramenait du thé qui était accompagné de quelques friandises. Elle ne semblait manquer de rien ici et bien traitée de prime abord. Tu goûtes son thé qui est de grande qualité. Par politesse, même si tu n’aimes pas ça, tu prends un petit biscuit que tu croques.



Tu écoutais avec toute ton attention la jeune femme qui expliquait la tournure néfaste du chemin que le clan avait emprunté. Divertir était une chose, devenir un objet sexuel, tu ne l’acceptais pas sincèrement. Tu déposais alors ta tasse de thé.



Le temps était à une interrogation informelle et d’affirmations erronées.



Tu devais montrer un intérêt à être une sorte de précurseur de rébellion afin de voir la réaction de la jeune femme et surtout d’en savoir plus sur l’homme qui l’a aidé.

Le sang de la femme se glaçait un peu plus et son expression devint grimaçante lorsqu'elle entendait que le clan envoyait cet homme pour amener les deux jeunes filles à nouveau chez "elles", mais la tension baissait lorsque celui-ci expliquait qu'il ne le ferait pas. Devait-elle le croire ou bien se méfier ? Il n'était pas aisé de duper une Miwaku, car c'était la base qu'on leur apprenait dès leur plus jeune âge. N'être que le fruit du plaisir à être saisit par de beaux parleurs. Pourtant au fond d'elle-même, elle avait ce petit espoir concernant Azamuku. Le sujet semblait être clos concernant de forcer les deux Miwaku à retourner auprès des leurs. Il posait ensuite une question à laquelle Kazuko devait mentir pour ne pas salir la réputation du Baron.


Elle buvait quelques gorgées de son thé avant d'ajouter.


La petite Kohana se positionnait à côté de l'homme. Elle lui tendait son doudou lapin afin de lui présenter son unique copain, Bendy. D'ailleurs, elle lui faisait remarquer que ses vêtements étaient bien particulier et qu'elle ne voyait jamais quelqu'un s'habiller de manière aussi classe. Pour Kazuko, il lui faisait plus penser à un Gaikotsu qu'à un Miwaku.

Tu observais le lieu où elles vivaient. Il était des plus respectables et vraiment fourni en mobilier. Pourquoi un hattori offrirait ce genre de chose à ceux qu’ils concernaient en esclavage. Il n’y avait rien de logique dans cette situation. Les Hattori étaient des brutes avide de pouvoir et ce Karuso défiait la réalité .
L’explication de ta soeur clanique était cloche. Il ne l’a voyait pas comme une prostituée mais comme un divertissement pour ce lieu de dépravation. Comment était-ce possible, elle veut te mentir. Un hattori commun ne prendrait pas la peine de sortir une Miwaku de le misere.



Elle me demandait de parler de toi. Autant dire la vérité vu le braquage qu’elle avait.



Tu voyais alors ça petite soeur s’approcher de toi et faire une tentative d’approche, elle était inconsciente. Cette famille était assez particulière.



La petite avec son espèce de peluche t’ennuyait mais tu ne laissais rien paraître à part un regard froid envers elle. Tu n’avais en rien l’habitude avec les enfants.



C’était une situation particulière, mais elle était correct. Voir que des hommes se soucier des Miwaku, est encourageant pour la suite des événements.

Toujours cette même expression neutre qui se dessinait sur le visage de la jeune femme. Kazuko se levait de sa place afin de débarrasser les deux tasses terminées. Pour la petite chipie, elle restait à côté de l'homme et le détaillait, car sa tenue l'intriguait. Elle posait la question suivante:
"Pourquoi êtes-vous habillé comme ça ? Il est rare de voir un homme avec autant de style vestimentaire par chez nous."


Il fallait dire que la petite avais suffisamment mis sa sœur hors d'elle même de bon matin. L'aînée fixait à nouveau son interlocuteur avant d'ajouter.

Les Hattori étaient des êtres fascinant dans leurs manières d’agir totalement aléatoire. Entre les grosses brutes et d’autres qui agissaient avec intelligence et gentillesse. Elle m’expliquait alors sa situation. Il ne sortait pas du lot en effet si il agissait vraiment de cette manière avec ces deux filles qu’il pourrait jeter ou même en profiter comme bon lui semble. Mais tant qu’elles trouvent des bons moment, il ne te sert à rien de les gâcher. Tu constateras plus tard si tu avais raison ou tort de ne pas les sortir d’ici.



Elle débarrassait la table, signe qu’il était temps pour toi de partir surtout que tu avais déjà prit de leur temps alors qu’elles devaient se préparer. La petit te posait alors une question qui semblait normal et tu répondais simplement.



Un petit mensonge pour éviter d’entré ennuyé. Mais la jeune Miwaku rappelait bien vite sa sœur à l’ordre. Ça évitera quelques désagréments, surtout que tu n’étais pas vraiment le bienvenu à la vie de tes questions.



Tu quittais de toi même les lieux, mais tu y reviendras pour t’entretenir avec cette Hattori.