Les guerriers de Kumo.

1

Tu n’avais pas d’idée particulière aujourd’hui sauf celle de finir ta collection. Pour cela, tu devais te rendre dans le dernier quartier du troisièmes clan représentatif de Kumo, les Shinayaka. Ces êtres sont assez mystérieux. Ils ont été formé loin de Kumo dans un temple dès leurs plus jeunes âge. Une formation très sectaire sur comment servir au mieux le village et le Raikage, un entraînement horriblement difficile, ils avaient tout mon respect. Ils ont été formés pour obéir et rien d’autre, ayant renoncé à toute commodité. Ils ne vivent que pour servir l’empire avec leur force extraordinaire. Il n’y avais jamais eu de soucis avec ce clan, pour le moment. Il fallait tout de même mieux le surveiller, si une envie germerais dans la tête de quelques uns d’entre eux, il deviendrait vite une menace très sérieuse pour Kumo vu qu’ils étaient nés pour se battre et uniquement dans ce but précis.

Tu ne connaissais pas grand chose d’eux. Il planait un lourd secret pour ne pas savoir de quoi ils étaient réellement capable. Selon les bavardages de civils ayant parler de maniéré calomnieux. Ils seraient tous doté du frappe de force impressionnante, un pouvoir d’élasticité. Ça peut être intéressant, tu te rendais justement là pour te rendre compte de comment ils vivaient et où. Tu n’avais pas eu l’occasion d’en voir un seul ou tu ne t’en souviens pas. Il parait aussi qu’il ne parlait que très peu et ne semblait pas apprécié que des personnes qui ne sont pas de leur secte se baladent dans leurs quartiers. Quartier dans lequel tu finissais par arriver. Tu pouvais déjà apercevoir des drôles de symboles un peu partout sur ce qui ressemblait à des pancartes de fortune.

Tu regardais face à toi, tu étais devant une des entrées principales de leur quartier. Tu aurais pu être étonné mais il en fallait bien plus. L’endroit était quasi désert de tout bâtiments. Ça ressemblait plus à un campement avec de simple couchettes. Un campus de soldat près à agir à la minute si il y avait la moindre attaque sur Kumo. Tu décidais d’y entrer, tu étais trop curieux. Tu devais surtout être là pour avoir un nouveau trophée utile pour l’empire. Ce que tu constatais autour de toi, des moines qui méditaient, peu voir presque pas ne semblaient faire autre chose. Tu avançais paisiblement, certains te regardaient brièvement, te faisant comprendre par ce regard éphémère mais si puissant que tu n’étais pas le bienvenu. Ils n’ont pas trop à s’inquiéter, je ne fais que m’imprégner à mon habitude de ce qui m’entoure, il y avait une multitude de petits autels sûrement dédié à leur philosophie de vie. En tout cas, le quartier était dénué de tout conforts et luxes. Les shinayaka s’était digne de leurs réputations.

Publié il y a moins d'un mois


Les hommes sont, les uns par rapport aux autres, comparables à des murs situés face à face. Chaque mur est percé d'une multitude de petits trous, où nichent des oiseaux blancs et des oiseaux noirs. Les oiseaux noirs, ce sont les mauvaises pensées et les mauvaises paroles. Les oiseaux blancs, ce sont les bonnes pensées et les bonnes paroles.
Les oiseaux blancs, en raison de leur forme, ne peuvent entrer que dans des trous d'oiseaux blancs et il en va de même pour les oiseaux noirs qui ne peuvent nicher que dans des trous d'oiseaux noirs. Maintenant, imaginons deux hommes qui se croient ennemis l'un de l'autre. Appelons- les Bashiri et Shisuio

Un jour, Bashiri, persuadé que Shisuio lui veut du mal, se sent empli de colère à son égard et lui envoie une très mauvaise pensée. Ce faisant, il lâche un oiseau noir et, du même coup, libère un trou correspondant. Son oiseau noir s'envole vers Shisuio et cherche, pour y nicher, un trou vide adapté à sa forme. Si, de son côté, Shisuio n'a pas envoyé d'oiseau noir vers Bashiri, c'est-à-dire s'il n'a émis aucune mauvaise pensée, aucun de ses trous noirs ne sera vide. Ne trouvant pas où se loger, l'oiseau noir de Bashiri sera obligé de revenir vers son trou d'origine, ramenant avec lui le mal dont il était chargé, mal qui finira par ronger et détruire Bashiri lui-même.
Mais, imaginons que Shisuio a, lui aussi, émis une mauvaise pensée. Ce faisant, il a libéré un trou où l'oiseau noir de Bashiri pourra entrer afin d'y déposer une partie de son mal et y accomplir sa mission de destruction. Pendant ce temps, l'oiseau noir de Shisuio volera vers Baxhiri et viendra loger dans le trou libéré par l'oiseau noir de ce dernier. Ainsi les deux oiseaux noirs auront atteint leur but et travailleront à détruire l'homme auquel ils étaient destinés.

Mais une fois leur tâche accomplie, ils reviendront chacun à leur nid d'origine, car il est dit : "Toute chose retourne à sa source." Le mal dont ils étaient chargés n'étant pas épuisé, ce mal se retournera contre leurs auteurs et achèvera de les détruire. L'auteur d'une mauvaise pensée, d'un mauvais souhait ou d'une malédiction, est donc atteint à la fois par l'oiseau noir de son ennemi et par son propre oiseau noir, lorsque celui-ci revient vers lui.
La même chose se produit avec les oiseaux blancs si nous n'émettons que des bonnes pensées envers notre ennemi alors que celui-ci ne nous adresse que de mauvaises pensées, ses oiseaux noirs ne trouveront pas de place où loger chez nous, et retourneront à leur expéditeur. Quant aux oiseaux blancs porteurs de bonnes pensées que nous lui aurons envoyés, s'ils ne trouvent aucune place chez notre ennemi, ils nous reviendront chargés de toute l'énergie bénéfique dont ils étaient porteurs.
Ainsi, si nous n'émettons que de bonnes pensées, aucun mal, aucune malédiction ne pourront jamais nous atteindre dans notre être. C'est pourquoi il faut toujours bénir, et ses amis, et ses ennemis. Non seulement la bénédiction va vers son objectif pour accomplir sa mission d'apaisement, mais encore elle revient vers nous, un jour ou l'autre, avec tout le bien dont elle était chargée.

Je pensais à cette histoire que m’avait raconté mon formateur et je la récitais dans mon esprit depuis des jours au vue du contrôle que j’avais perdu dans le quartier des plaisirs pour détruire une maison du vice et de la déchéance. Je ne devais plus jamais avoir ce genre de comportement et agir pour l’empire et l’empereur dans son intérêt et ne plus répondre à une provocation venant d’autrui. En parlant d’autrui. Je me relevais et me détendais, plusieurs jours assis de la sorte à méditer m’avait engourdi. Je voyais alors un drôle de gars sillonné nos rues. Il était peut être égaré ou trop curieux. Je m’avançais vers lui en l’interpellant.

Dialogue de personnage
« Bonjour, puis je vous aider dans votre errance? Vous êtes perdu? »


Je n’ai plus qu’a attendre et savoir ce que fais cet individu ici qui n’avait pas l’air d’être un Hattori.

Publié il y a moins d'un mois

1

Tu continuais d’observer chaque détail des lieux. Les hommes que tu pouvaient voir, ils se ressemblaient tous, tu n’avais pas vu de femme. Ce clan était atypique, ils voyaient leurs vies au combat. Une noble cause, on peut dire qu’on se rejoignait sur certains point sauf que de ton côté, tu étais bien plus réfléchis que ces hommes de foi. Les lieux étaient très pauvres et tu n’y voyais même pas un seul endroit où se restaurer. Ils devaient sans doute s’auto-suffire d’une manière ou d’une autre. Les hommes de ce clan étaient tous assez élancés, rasés n’ayant pour tenu que de quoi cacher leurs parties intimes, ils avaient tous un corps affûtés. Tu aurais été très curieux de te rendre dans leur geôle afin de voir quel type d’entraînement ils recevaient et dans quels conditions. C’était gardé secret malheureusement et il fallait mieux ne pas s’y aventurer même si tu en avais les possibilités. Sans réel raison, ce lieux n’avait pas besoin d’être infiltré.

Tu allais tourner vers la gauche pour aller vers une autre sortie de leur quartier et te fait interpeller par l’un d’eux. Il était très poli et respectueux mais il semblait agacé de ta présence ici, de ton errance comme il disait et il te demandait si tu étais perdu. Tu l’observais attentivement, il était plus grand que toi, plus musclé mais tu ne lui trouvais rien de très particulier car ils étaient tous pareil. Tu profitais tout de même du moment pour en faire une image et ainsi la garder bien précieusement. Tu le saluais avec beaucoup de respect avant de prendre la parole.

Dialogue de personnage
« Bonjour. Je ne suis pas du tout perdu et mon errance comme vous dites, je regarde à me reconnaître dans Kumo car je m’y suis absenté un moment. Je ne fais donc que passer, je ne voulais pas vous déranger. Veuillez me pardonner. »


Il ne fallait mieux pas être trop direct avec celui-ci. Tu n’aurais pas grand chose à apprendre d’eux. Mais il fallait quand même regarder le peu d’expressions qu’ils semblent avoir afin de t’en servir.

Dialogue de personnage
« Vous êtes tous en méditations, je peux comprendre que mon passage peut être perturbant. »


Tu attendais de voir si il allait être plus détendu, ce qui t’entonnerait fort. Tu ne comptais de toute façon pas t’attarder ici.

Publié il y a moins d'un mois


Je regardais un peu cet homme. Il était habillé de façon peu commune, la peau très blanche et ces yeux étaient vert. Ce n’était pas un Hattori, ça se confirmait. Il était courtois et ne montrait aucune agressivité particulière. C’était étrange quand même de se balader pour reconnaître Kumo du à une absence prolongé. Ça se tenait. Il avait sûrement dû faire d’autres quartiers. J’allais montrer un sens de l’hospitalité. Il était du village et j’allais le présenter.

Dialogue de personnage
« Je suis Shinayaka Ayaki, moine au service de l’empereur. »


Il ne s’était pas présenté de son côté. Il attendait peut être que je le fasse en premier pour suivre ensuite.

Dialogue de personnage
« Il n’y a pas grand chose à voir chez nous et notre quartier est modeste et peu grand. Cela nous suffit amplement . Vous n’aurez pas de difficulté à réparer notre lieu rupestre. »


Le shinobi s’excusait de nous perturber lors de notre méditation. Il en fallait beaucoup, ce n’est pas son passage qui allait nous faire sortir de notre méditation. On était habitué depuis toujours à faire abstraction de tout ce qui nous entouraient. Je n’aimais pas trop qu’il vienne fouiner, je le prenais comme ça et si c’était un voleur, il sera bien malheureux de vouloir voler car nous n’avons rien.

Dialogue de personnage
« Comment vous appelez vous ? Vous ne vous êtes pas présentés. »


Je disais ça d’un ton sec. Il n’avait pas à se trouver ici même si il faisait comme de l’exploration.

Publié il y a moins d'un mois

1

Tu le voyais t’observer. Il n’était pas des plus discrets. On ne leur demandait pas d’être futé, penses-tu, ils sont considérés comme des armes que l’on peut envoyer au front sans se soucier d’eux. Ils sont prêts à mourir pour Kumo. C’est un avantage non négligeable pour notre puissance de frappe. L’empire savait très bien se servir d’eux et ça leur plaisaient. Il n’y a donc aucune conscience moral à avoir les concernant. Tu ne connaissais que trop peu de peuple, tu aimerais en apprendre plus mais sera t-il bavard? C’est totalement incertain mais tu devais tenter le coup.

Il se nommait Ayaki et il clamait de suite sa fidélité envers l’empereur. Tu constatais de toi même qu’il n’y avait pas grand chose à voir dans un lieu si précaire que les Miwaku pourraient passer pour des riches. Les Shinayaka étaient réputés pour être très rude et avoir une vie très basique et routinière.

Dialogue de personnage
« Du moment que vous reconnaissez avoir tout ce don vous avez besoin en sachant que le confort vous importe peu, ce lieu est parfait pour vous. »


D’un ton très sec, il te demandait ton nom. Tu avais omis de te présenter comme souvent.

Dialogue de personnage
« Miwaku Azamuku, au service de l’empereur également. »


Maintenant que la courtoisie était de mise dans les 2 sens, tu allais tenter d’en apprendre un peu plus en étant direct. Les flatteries ne marcheraient pas avec eux.

Dialogue de personnage
« Je ne vous ai pas menti sur le fait que je me repère dans Kumo. J’espérais aussi en apprendre un peu plus sur votre clan si mystérieux, sauf si tout cela doit être gardé secret. Alors, je ne vous ennuierais pas avec mes questions, je trouve cependant votre manière de vivre fascinante. »


Ton incitation a en savoir plus allait-Elle porter ces fruits ? Tu n’en étais pas certain mais autant tenter le tout pour le tout afin d’amasser le plus d’informations que tu peux. Pour copier une personne, tu devais en apprendre le plus possible sur elle, sur sa manière de fonctionner, son mode de vie, sur son clan et sur leur mentale. Il y avait beaucoup de facteurs dont tu avais besoin concernant surtout des clans que tu ne connaissais pas ou presque pas. Tu tentais alors une question anodine en plus.

Dialogue de personnage
« Cela fait longtemps que vous êtes à Kumo? Vu que votre formation se fait à l’extérieur avant que vous ne soyez envoyé ici. »


Tu alimentais la conversation en espérant qu’il ne soit pas fermé.

Publié il y a moins d'un mois


Il était difficile parfois pour le commun des mortels de comprendre que nous n’avons besoin de rien et ni d’aide dans n’importe quels domaines. Je devais faire avec les gènes de moines et avec celle de mon esprit combattant et ce gars en face de moi commence déjà à m’énerver avec son allure sortent droit d’une autre époque. Ce type se présentait enfin comme un membre du clan Miwaku, une raison de plus de ne rien à voir à lui dire. Je n’avais pas à répondre à des questions autres que pour les Hattori. Je l’écoutais sans dire un mot, j’étais agacé.

Il voulait en apprendre plus sur nous et blablabla, comme si on avait un secret et ce qui était certains c’est qu’il m’emmerdait et que j’avais des choses plus importantes à faire que d’écouter ses paroles dotées d’une fausse courtoisie. Il tentait de m’amadouer, notre clan n’a rien de fascinant, nous sommes ce que nous sommes et rien de plus. Et il continuait avec ces questions sur combien de temps nous étions à Kumo, notre formation extérieur. Il n’avait qu’à aller voir dans les archives pour savoir tout ça. Je ne savais pas quoi lui dire mais il n’allait pas nous ennuyer bien longtemps.

Dialogue de personnage
« Écoutez moi Miwaku. Je n’ai pas à répondre avec vos questions bien trop indiscrète. Si vous tenez tant que ça a en apprendre plus sur nous, Kumo doit avoir des archives et allez donc les consulter. Je n’ai pas le temps ni l’envie de répondre à vos questions et de jouer au guide touristique comme si nous étions une attraction. »


Je tentais de me contenir, à cause de ce gars j’allais encore devoir méditer des heures pour apaiser à nouveau mon esprit.

Dialogue de personnage
« Je vous prierai donc de partir pour laisser en place notre tranquillité. Vous connaissez la sortie et j’espère ne pas devoir vous la montrer ! »


Je faisais marche arrière sans laisser mon reste en espérant que ce gars parte sans faire de soucis.

Publié il y a moins d'un mois

1

Voilà encore un parfait exemple de la dualité. Ce peuple médite pendant des heures pour se canaliser pour trouver une forme de paix intérieur qui ne semble qu’éphémère car leur nature profonde ressort très vite sous une forme d’impulsivité et d’énervement. Il était agacé alors que de ton côté, tu n’avais montré aucune trace d’agressivité. Tu posais des questions oui mais loin de toi l’idée d’entré aussi irrespectueux envers eux comme il croyait l’entendre. Il ne devait pas être des plus malin pour penser ça. Mais au fond, tu espérais quoi d’un peuple qui vit pour se battre et qui ne connait rien d’autre ? Tu étais déçu que certains n’évoluent pas et tu en concluais qu’une chose : il fallait les surveiller de très près et régulièrement. Ils ne sont pas suffisamment stable même si ils se disent serviteurs de l’empire et du raikage. Ça n’empêche pas une rébellion pour autant.

Dialogue de personnage
« Loin de moi cet idée. J’irai vérifier dans nos archives afin de vous laisser en paix. Je ne voulais pas vous offenser, je vous comprend et je ne vous prendrai pas plus de votre temps. »


Directement, il me demandait de quitter les lieux pour qu’ils puissent à nouveau méditer. Tu regardais autour de toi et tu ne voyais pas de dérangement. Ça ne devait que le concerner personnellement on dirait.

Dialogue de personnage
« Je vais me retrouver oui. À bientôt. »


Il partait dans un sens et toi dans le tien. Tu étais certain que tu le reverrais lui ou l’un de ces semblables. Tu allais quitter cet endroit rapidement. Tu avais obtenu ce que tu désirais après tout.

Publié il y a moins d'un mois