Sortez don’ d’mon champs!

La « nuit » fut bonne et il devait être aux alentours de 15 ou 16h quand la Kirishitan sort de son sommeil. Elle était recouverte de paille et ne savait plus où elle était. Ha oui, elle n’était plus à Konoha et avait taillé la route vers l’inconnu. Elle commence à avoir faim, il est vrai qu’avec toute cette adrénaline, la jeune femme n’avait pas pris le temps de faire les chose correctement et ne ressentait pas les besoin de son corps. Mais maintenant que la pression n’est plus là, elle prête attention à son estomac qui crie famine. Elle regarde autour d’elle pour vérifier que personne n’est présent et effectue des mudra pour faire apparaître une plante peu commune mais bien pratique par ce quelle propose. Elle pousse lentement et chaque pétale s’écartent délicat pour laisser apparaître un bol de ramen fumant. Ce ne sera pas la même qualité que chez Daichi mais elle faudra faire avec. Il manque de couvert mais il n’est pas compliqué pour elle de s’en créer. Elle joint les mains et commence à manger. Définitivement un des petits plaisirs simple de la vie. Elle savoure sont repas et est rassasiée à la suite de ce bol végétal qu’elle détruit pour ne pas laisser de trace de son passage.
Il ne fallait trop tarder, elle estimait avoir de la chance de ne pas avoir croiser le fermier dans un premier temps et ne tenait pas le faire. Les mouchards étaient plus commun qu’il n’y parait.
Elle prend précautionneusement le temps de descendre en faisant le moins de bruit possible. Et se dirige vers la porte. Elle use d’un jutsu pour vérifier que personne n’est dans le coin et une fois certaines de sa solitude elle sort et prend le chemin. Une pancarte y était mais l’état laisse à désirer et la personne ayant écrit ne devait pas avoir été bien loin à l’école.

Voilà plusieurs kilomètres qu’elle marche sans réfléchir sur le sentiers la menant vers l’inconnu. Elle passe près d’un champ d’herbe verte et parfumées! Elle ne peux s’empêcher de le renifler tant l’odeur est plaisante. Les feuilles étaient plutôt sympathiques, ont aurait dit des feuilles de chêne mais avec une petite différence tout de même. Elles sont plus fines et pointues!
Elle jette un oeil de chaque côté pour voir si il y a quelqu’un et rentre dans la petite plantation pour profiter du doux parfum fleural. L’odeur la rendait plus détendue et apaisée, elle n’avait jamais vue cette plante auparavant et se demandait vraiment de quoi il pouvait s’agir.

Elle décide de s’y asseoir et de profiter de cet apaisement qui l’entourait de par le parfum des herbe et commence à méditer et sa tête se remplit de pensées plus aléatoire les unes que les autres.
Elle sentait la terre se dérober et son corps devenir plus léger que jamais et commençait à oublier les douleurs de marche et de ses cicatrices qui lui tiraient sur le corps de manière constante.
Mais en parlant de chose qui tire, elle avait aussi l’impression d’avoir les cheveux qui poussent et de le sentir. Elle ouvre les yeux et constate que rien n’a bouger et que cette plante est tout de même fortement agréable.
Elle sort de sa rêverie quand un type lui cri dessus sans qu’elle puisse réellement comprendre. Elle se lève et va le voir calmement. Il lui demande effectivement ce qu’elle fait dans son champs et de le quitter.



Elle éclate de rire sans trop savoir pourquoi et s’excuse presque immédiatement. Le cultivateur la regarde d’un air sceptique et lui demande depuis combien de temps elle s’y trouve. Elle hausse les épaules pour signaler qu’elle n’en sait pas p’us que lui. Il redescend en pression et lui demande simplement ce qu’elle y faisait.



Il hésite un instant mais semble ravi qu’on s’intéresse à sa création. Il explique que c’est une herbe de son cru, un hybride qu’il a eu du mal à mettre en place. Il l’appelle ça le « Thé Ashcé ». Il est encore en phase de test mais il lui explique qu’il a fait un mix de plantes médicinales. Celle-ci est supposée aider à la relaxation.



Apparemment il est bon de le prendre en infusion ou encore le fumer à la pipe pour des effets plus rapide. Il est possible de faire passer douleur et mal de crâne avec. Une véritable mine d’or que possède cet homme.



Il apprécie la bonne humeur de la jeune femme et lui donne un paquet de feuilles séchées et des graines qu’elle pourra faire pousser un jour si le coeur lui en dit. Elle le remercie et reprend sa route.