Retour Des Terres Arides

Le Conseiller des Ombres
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Tsuge Soshu est mort. L’homme responsable des balbutiements et des vacillements du borgne. L’ancien paysan avait tout perdu par sa faute. Sa joie, sa maison, sa famille, sa femme. Tout ce qui faisait sa vie, pourtant rude, avait été balayée. Impuissant. Absent. L’épouse et le quadragénaire s'étaient réjouies quelques jours auparavant. Les terres gelées donnaient de plus en plus, résultat de techniques d’agriculture souterraine ainsi qu’à l’augmentation de surface cultivée. Malgré le climat sécuritaire de plus en plus inquiétant, l’assurance alimentaire profilait un avenir radieux. La famille allait s'agrandir. Cet hiver là, ils ne manqueraient pas de vivres. Non, ils allaient tout simplement manquer de chance. Une femme en pleine gestation n’intéressait pas une mafia basée sur la prostitution. A la place de son enlèvement et de son exploitation, c’était un cadavre qui en son sein renfermait un être qui n’avait connu que l'exécution. Des pires des manières. Le corps n’était pas complet. Il s’était fait détroussé, dépossédé de son ensemble, de certains de ses organes. La joie avait cédée à la tristesse, l’amour à la haine et la rage, l’agriculture à un alcoolisme profond, l’avenir à une vendetta. Dans un pathétisme rarement égalé, sa chasse à la vengeance respirait l’amateurisme. Plusieurs fois, il s’était fait tabassé, dans un état enivré, à moitié mort, puant l’alcool, le vomis, la douleur d’un tambour dans la tête et de coups de dague donnés dans une mer glacée aux niveaux des côtes, brisées. Le corps comme l’esprit démantibulaient. Au point mort, au fond du gouffre, le veuf se rattachait à une simple légende urbaine.

Contre toutes attentes, celle-ci l’aidait. Dans ses souvenirs, elle ressemblait étonnament à sa défunte femme. Un rêve, un cauchemar éveillé. Son cerveau lui avait joué des tours. Peut-être. Ou peut-être pas. Le corps et l’esprit avaient leurs séquelles, avec un simple bandage pour enfin les réunir. La vendetta se poursuivait, traquant et retrouvant les trafiquants, le glas de la mort sonnait. Dans le lot, un innocent avait eu la malchance d’être une victime collatérale. Son nom était Kitto Yorokobi, mort en l’an -9, ami de Chikara Oni. Une promesse liait ces trois hommes. Depuis ce jour, le paysan, le mercenaire, plein de regrets, d’amertume et d’animosité s’était rebaptisé : Kitto Keisan. Sachant qu’il était inapte à la vie aux côtés des autres Kitto ou à Konoha - qui à l’époque ne comptait que le clan Chikara - le ninja au bob restait à ses côtés, méfiants et guidant l’évolution du veuf. Le quarentenaire avait, dans ses tourments, eu la chance de profiter de peu de personnes l’ayant grandement aidé, et d’un alignement temporel exceptionnel. A deux, ils avaient mis fin à la mafia nordique qui ravageait les terres d’Ame. Seul un homme s’en était réchappé, le parrain septentrional : Tsuge Shoshi. Cet homme était désormais six pieds sous terre.

Telles étaient les pensées du borgne quand la forêt du Pays du Feu venait entraver leur déplacement. Une profonde introspection. La rencontre et la présence du parrain étaient inattendues, son élimination expéditive dénotait avec ses plans de châtiment. Sans faire attention, le barbu posait son pied sur une branche coupée, à la sève dégueulante. Forçant pour s’en dégager, la réalité le rappelait à l’ordre. Le paysan était un homme de parole. La promesse était menacée. A son retour, tant de choses étaient à faire. S’il savait seulement ce qui s’était passé durant son absence. En l’état actuel de ses connaissances, la menace de la pègre était désactivée durant un temps, Kanashisa avait été tenue éloignée du village, la relique que cherchait Gekido ne devait pas être retrouvée selon Kazami et une équipe y avait été envoyée, sans nouvelle, pour l’en empêcher au cas où. Tout semblait sous contrôle. Si seulement. Les portes de Konoha s’approchaient, la vérité avec. Repassant en tête de file, l’ex-régent était une personnalité connue du village. Même accompagnée de l’Abura, les gardes croyaient sur parole les dires du barbu.

Dialogue de personnage
« Elle est avec moi. Faites lui des papiers pour séjourner au seins des murs. Un statut équivalent à ambassadrice, sans la fonction. Où est le chef de la police ? »


L’administration des portes se hâtait avant de se figer. Le quadragénaire saisissait une feuille vierge pour y écrire un mot.

Dialogue de personnage
« Euh.. Le chef c’est.. Dis Asura, c’est toujours Kotaro ou.. »


Les deux collègues semblaient quelque peu perdus. Échangeant entre eux sur leur hiérarchie. Police, Anbu, Régente. Sur le terrain, dans les bureaux. Leur discussion était floue. Le borgne coupait court en demandant Kotaro une nouvelle fois “Où ?”.

Dialogue de personnage
« Vous avez enregistré le retour d’Uzumaki Shimazu ? Prévenez-moi dès que ça sera fait. »


Le chef du clan roux n’était pas encore rentré, malgré leur petit détour. La mission à l'intérieur était plus dangereuse que celle à l'extérieur. Les mauvaises surprises n’étaient pas à exclure. L’attente était angoissante, surtout aux pensées des dernières paroles du frère de Kazami. En pénétrant selon les directives des gardes, la troupe naviguait dans les rues de Konoha. Une étrange sensation parcourait et saisissait la peau du borgne, pourtant brûlée au torse, jusqu’à hérisser les poils. Échangeant des regards complices avec Seijuro, ces deux là reconnaissaient cette ambiance. Un contexte, proche de l’année post-génocide. Le Kitto gardait un mauvais souvenir de son premier retour. Il lui fallait vite apprendre ce qui avait provoqué cette atmosphère tendue jusque dans les rues, par une personne de confiance. Chikara Oni a qui il devait parler, Kitto Kotaro à qui il avait confié son rôle. Ses anciens coéquipiers de l’Eda. La Racine. En découvrant le roux blasé de loin, l’équipe s’approchait, l’interpellant.

Dialogue de personnage
« Kotaro ! J’ai besoin que tu positionnes un homme de confiance aux portes. Remets-lui ce mot, c’est pour l’Uzumakidôno. Fais-moi ton rapport quant à ce qui s’est passé durant mon absence. Je ne suis pas né de la dernière pluie pour remarquer que quelque chose ne va pas. »


A la lecture de la feuille, Keisan demandait à ce que Uzumaki Kanashisa soit maintenue en dehors du village la nuit, et qu’un Kitto l’accompagne durant ses déplacements intra-muros tout pendant que la composante inconnue de son sceau représentait une menace. Il quémandait également à Uzumaki Shimazu de réunir les personnes ayant participées au scellement de l’anomalie de chakra au sein de Gekido, durant l’An 0.

Publié le 12 Décembre 2020 vers 00h

La veuve noire

Jusqu'à là la femme ne faisait que suivre la troupe sans embûche même si c'était l'envie qui ne manquait pas ! La curiosité de savoir comment vivait des ninjas et des civils à l'intérieur des murs étaient plus forte que ses propres principes d'Abura. Elle voyait bien que le chef en tête voguait dans ses pensées et qu'il était à deux doigts de marcher sur une branche dont la sève était bien dégoulinante. Allait-il marcher en plein dedans ou non ? Cela était amusant pour la femme qui observait la scène de derrière toujours sous l'œil de l'autre Kitto. Dans le mille, il y avait mis le pied en plein dedans ! Ne pas rigoler, ne pas rigoler. Oups, elle lâchait un petit pouffement plutôt faible et espérait que l'homme ne l'entendait pas. Si la donzelle comprenait une chose sur sa personnalité, la rigolade c'était très peu pour lui ! La troupe arrivait enfin à la porte et les gardes connaissant plus que bien le barbu ne bronchait pas pour faire un laisser-passer pour Konoha à l'étrangère. Elle s'approchait de lui, lui chuchotant à l'oreille:

Dialogue de personnage
« T'es sûr que tu ne vas pas avoir de problème à cause de moi, le borgne ? »

La femme remarquait la même chose que les autres probablement. Des gardes incertains de savoir qui était en tête ? Dans un village ? Hum... Ca sentait le drama ou l'anarchie ? Un point commun avec la Pègre. Apparemment la seule différence entre eux les pauvres et les riches n'étaient que de simples murs, mais aussi le mode de vie. Elle se tournait vers le manipulateur professionnel qui en réalité était le centre de tout le massacre fait envers les siens.

Dialogue de personnage
« Je pensais que je serais dépaysée, mais j'ai l'impression d'être comme à la maison dans un climat et paysage différents. »

Elle lui lançait un clin d'œil complice et savait très bien qu'elle n'était pas en position pour faire la grande. Et oui, Yuko pouvait être docile comme un agneau, malgré son apparence et son air hautain ! Les paroles du Kitto le grand sage ne faisait que confirmer que quelque chose ne tournait pas rond ici...

Dialogue de personnage
« Tout va bien grand-père ? T'as pas l'air dans ton assiette. »

L'abura ne comprenait pas grand chose, cette intrigue sentait mauvais et pour une fois que ce n'était pas elle !

Dialogue de personnage
« Qu'est-ce qu'on fait alors ? Je veux dire, je ne connais rien d'ici et le village entier semble... bizarre ? »

Qu'allait-elle bien pouvoir faire sachant qu'elle ne connait strictement rien de tout ce qui pouvait l'entourer ?

Publié le 12 Décembre 2020 vers 12h


Je me postais en travers de leur chemin, et posant mes mains sur mes hanches, j’adoptais ma posture de justicière entêtée. Et pour être sûre de faire bonne introduction dans ces retrouvailles, je ne manquais pas de m’adresser au borgne d’un air un tant soit peu narquois :

Dialogue de personnage
« Mon cher Keisan, je te souhaite un bon retour à Konoha !... Je t’en prie, présente-moi donc cette charmante jeune fille… Qui est-elle ? Serait-ce ta dernière conquête ? »


Mon ton était léger et amusé, mais contrairement aux apparences, bien loin d’être tout à fait désintéressé. D’un ton plus sarcastique cette fois, j’annonçais :

Dialogue de personnage
« Je viens d’être promue responsable des portes du village ! »


Pas besoin d’expliciter davantage, cette facétie se suffisait à elle-même. J’étais l’ancienne chef de la police, et de la même façon, son ancienne supérieure hiérarchique. J’avais déjà été rétrogradée il y a quelques années, et voilà qu’aujourd’hui, Mako me nommait responsable des portes du village, une mission certes importante, mais particulièrement ennuyeuse et habituellement réservée à des recrus en phase de faire leurs preuves. Autant dire que la situation relevait du comique, pour ne pas dire qu’elle apparaîtrait même comme particulièrement humiliante pour beaucoup de shinobis. Heureusement pour moi, je n’étais pas très affectée par le regard de mes congénères et j’irais même jusqu’à admettre que je ressentais un certain plaisir à me jouer de cette situation burlesque.

Toute cette comédie laissait également entendre qu’il s’était passé bon nombre de choses inattendues depuis le départ de Keisan et son équipe…

Quoi qu’on puisse en dire, ce rôle de remue caca me ressemblait assez bien finalement. Et je prenais mes responsabilités très à coeur dès lors que je flairais un truc pas net. Je continuais donc mon petit discours :

Dialogue de personnage
« Par conséquent, je suis chargée d’étudier de près les entrées et les sorties. Et comme tu le sais, lorsqu’on me donne une mission… Je veille au grain. »


Encore des paroles qui ne manquaient pas d’humour, puisque je n’étais pas réellement devant les portes comme j’étais censée l’être au moment de leur arrivée.

HRP : Cool je vais pouvoir troll Keisan aussi dans le rp maintenant ! xD

Je ne sais pas vraiment où nous en sommes en matière de chronologie, mais je crois que votre entrée ni vue ni connue à donner la bonne idée à Mako de me nommer responsable des portes pour me faire porter le chapeau de la négligence Konohajin. Malheureusement, si Taram est à ce poste, c’est assez inévitable qu’elle se mêle de toute votre histoire. Désolée… :D

Publié le 12 Décembre 2020 vers 16h

Yami. Le Prince des Glace.

Peu de temps était passé depuis leur départ de Koya, il avait foutu un bordel monstres au sein de la pègre et pour eux cela ne leur fessait ni chaud ni froid. Le vieux mercenaires en tête était perdus dans ses pensées l'Uzumaki avait appris une partie de l'histoire du Kitto, néanmoins il ne lui avait posé aucune question indiscrète. Ils marchèrent de nombreuses minutes avant que les gigantesque mur du village se dessinèrent devant les yeux de l'Uzumaki, l'Abura ricanaient dans son coin et se retenait clairement de péter de rire mais a peine voulait t'il lui poser une question qu'il arrivèrent devant les portes du village. Le vieux mercenaire à peine arrivé en imposa au gardes complétement abrutis qui l'écoutèrent sans broncher, l'abura obtenus immédiatement son laissez-passer ce qui était une bonne chose mais soudainement surgissant de nul part une rouquine venait cassez les couilles au kittodono et le prévenir que le boss Uzumaki n'était pas encore rentrer.

Dialogue de personnage
« Quoi ?! Pourtant il aurait du rentrer avant-nous pratiquement.. Merde.. Salut Taram félicitation pour la promotion. »


Les gardes s'embrouillèrent tout d'un coup sur qui était leur chef, leur expression était idiote et l'Abura fit un commentaire à l'Uzumaki qui le fit éclater de rire.

Dialogue de personnage
« Ahahahaha ! Bienvenue dans le village des abruti politicien qui se font la guéguerre parce qu'il dépasse pas les deux de QI et qu'il on besoin de tout contrôler. »


Les deux Kitto firent une grimace et le regardèrent d'une façon qu'il voulait dire "évite de dire tout haut ce que les gens pense tout bas ", l'Uzumaki leur répondit par une expression de visage qui voulait dire tout simplement bas les couilles ! L'autorisation donné pour rentrer il parcoururent les rues et autant dire qu'il y'avait une meilleure ambiance dans un cimetière, l'agence tout risque se regardèrent quelque chose clochait les villageois paraissait stressé et certain avait même des air dégouté. Quelque jour seulement était passée depuis leur départ et voila que l'ambiance du village était devenue morose, qu'elle merde s'était t'il passé pendant leur départ ? L'Uzumaki était plongée dans ses pensées et il fut réveiller par l'Abura qui posait une question à la Dreams Team.

Dialogue de personnage
« T'inquiète pas on va pas te laissez-seule on va te faire tout visiter, reste à savoir ou tu logeras, mais t'inquiète pas tu va kiffer enfin si les gens se décoincerait le cul parce que la.. »


Universa essaya de détendre l'atmosphère qui paraissait étouffante en marchant à travers les rue, et cela fonctionna assez bien quelque minute avant qu'il remarquèrent Kotaro aussi blasée qu'un vieux en pleine crise d'arthrose, le vieux Kitto commençait à lui donner des ordres rapidement concernant la dépressif zombie Uzumaki Kanashisa .

Publié le 12 Décembre 2020 vers 21h


Dialogue de personnage
« Kotaro-San! Keisan-san vous fait demandais aux portes. »


Alors qu'il était en pleine patrouille, le Kitto fût surpris par cette annonce. Ayant remplacé le borgne en tant que chef des Kitto en son absence, il devait bien l'avoué qu'il n'attendait pas son retour de si tôt. Même si le fait de désigner un remplaçant en son absence fût une sage décision au vu des événement ayant eu lieu. Même s'il se demander comment ce dernier allait réagir lorsqu'il apprendrait l'actualité de Konoha. Chikara Oni, qui connaissait bien l'ancien régent de Konoha l'avait mis en garde à ce propos. Le village avait eu le temps de changer durant leur mission.

Arrivant sur place, il put constater que le groupe qui accompagnait ainsi qu'une inconnue et de Taram. Cette dernière ayant récemment reçu la charges des portes. Officiellement, Kotaro n'était plus le chef de la Police de Konoha, bien qu'il l'a dirigé toujours de manière officieuse comme l'avait expliciter Mako lors de leurs entretiens.

Dialogue de personnage
« Bon... »

Il venait à peine de les rejoindre que le borgne enchaînait les demandes. Lui confiant un papier à remettre aux gardes des portes pour l'Uzumaki-dono. Ça tombait assez mal, car il n'avait plus réellement à s'occuper de cette fonction. Surtout que Taram était présente.

Dialogue de personnage
« Retour... »

Puis franchement, il ne manquait pas d'air à dicter ainsi des ordres alors qu'il lui avait refourgué des fonctions dont il n'avait jamais désiré la chose. Être le représentant d'un clan, c'était pas du tout fait pour lui.Puis franchement, il ne manquait pas d'air à dicter ainsi des ordres alors qu'il lui avait refourgué des fonctions dont il n'avait jamais désiré la chose. D'ailleurs, Kotaro espérait que ce n'était pas encore quelqu'un qu'il comptait rattacher au clan Kitto. Disons que le dernier exemple de Mitusna était assez "particulier" au vu de sa dernière apparition au village.

Dialogue de personnage
« Taram, je te laisse t'occuper de cette demande ? C'est toi qui es responsable des portes maintenant. »

Pour une fois qu'il ne déléguer pas une tache, car il ne voulait pas s'en occuper. La présence de Taram et sa promotion tombée rudement bien. Il remit, en même temps qu'il parler, le mot qui devait être remis à Shimazu à son retour.

Dialogue de personnage
« Sinon, il s'est passé pas mal de chose durant votre absence. Je vais essayer de la faire courte. »

Bon, il n'allait pas rentrer exactement dans les détails en pleine rue. Surtout, alors qu'un membre extérieur de Konoha pouvait les écouter.


Dialogue de personnage
« Kimino-sama est parti en mission. Laissant la fonction de régente à Mako-san en attendant son retour. »

jusque-là, il n'y avait rien de bien inquiétant. Cette simple information ne devait certainement pas choquer le groupe. D'ailleurs, il aurait sans doute enchaîner sur le statut actuel de la détention de Kazami à Konoha. Jusque-là, il n'y avait rien de bien inquiétant. Le débat du clan Kitto avait très bien fait comprendre ce qu'il pensait de cette dernière. Si Seijuro et Keisan apprenaient maintenant qu'elle travaillait à l'hôpital et pouvait "vagabonder" sous surveillance dans Konoha. Il y avait fort à parié que l'un d'eux irait lui trancher la tête sur le champ. En particulier pour Seijuro

Dialogue de personnage
« Pour ce qui est de l'ambiance actuelle, c'est plutôt simple. Avec les événements d'avant votre départ, c'est principalement dû au fait que l'état martial à était décréter. »
.
Croisant du regard les Konoha-jin, à l'exception de Taram qui avait déjà eu la "chance" d'assister à la scène, afin de les plonger dans un genjutsu. Les trois purent alors revoir la dame de fer, perché sur le toit du bâtiment du ministère, arborant le chapeau du Hokage. Ils ne pouvaient pas entendre l'objet de son discours, mais le port du chapeau était un signe caractéristique. Cette dernière avait d'ailleurs beaucoups jouer, autant avec les mots que sur les symboles, afin d'asseoir son discours au village.

Publié le 12 Décembre 2020 vers 23h

Le Conseiller des Ombres
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Celle qui avait été la guide et plus encore durant la mission au sein de Suna susurrait quelques mots aux oreilles du borgne. Le quadragénaire portait un cache-oeil, il n’était pas sourd. L’Abura se voulait discrète.

Dialogue de personnage
« Et pourquoi j’en aurais, hm ? »


Keisan en avait l’autorité. Non seulement en temps normal, plus encore depuis que l’Hokage Kimino lui-même ne lui procure le droit d’agir comme bon lui semblait. La réplique sonnait également comme un conseil. Le calme et la sérénité du borgne indiquait qu’il n’était pas inquiet à ce propos. Autre chose accaparait ses pensées. Une crainte d’un éternel recommencement, comme si Konoha était amnésique et refusait d’apprendre des erreurs du passé. Universa pointait d’ailleurs ce problème qui gangrenait la Feuille. Une petite rousse s’interposait soudainement sur leur chemin.

Uzumaki Taram, une femme qui, bien qu’elle soit bonne éléve de l’Histoire du village, n’avait aucune idée du poids de ses paroles. Le passé du borgne, dernièrement remué, s'activait encore. Son seul œil visible transperçait la Justicière Entêtée, choqué, sans amitié apparente. Un bien triste décalage que ce dont connaissait l’Uzumaki. Hanté par sa défunte femme, le quadragénére en oubliait presque ses repéres. Se ressaisissant, passant ses doigts sur ses joues et pinçant la peau entre ses deux yeux, le borgne avouait :

Dialogue de personnage
« Excusez-moi. Les fantômes me rattrapent dernièrement. Ce n’est pas comme ça qu’on traite des amis. »


L'homme, abîmé par la vie, levait l’un de ses bras jusqu’à la basanée en signe de présentation.

Dialogue de personnage
« Abura Yuko. Elle profitera d’un régime spécial en adéquation des pouvoirs particuliers qui m’ont été confiés et de sa coopération durant la mission qui s’est déroulée à Koya dans le domaine de Suna. Universa, si tu veux bien trouver de quoi installer notre invitée. Je te recontacte très prochainement. Visiblement nous avons à parler. »


Attendant que le faux Chûnin escorte la basanée, le borgne dévisageait ses deux collèges, les mesurant, les sondant. Un air sérieux, qui ne durait pas. Plaçant une main sur une des épaules des deux policiers gradés, l’enquêteur les invitait à faire demi-tour.

Dialogue de personnage
« Eh bien ça m’étonne pas que les gardes ne savent même plus à qui se référer. Si on allait leur clarifier la situation, se trouver une petite loge pour discuter plus librement et par la même occasion fêter ta promotion Taram ? »


La situation était brouillonne. Tout comme leur hiérarchie, sans dessus-dessous, chacun était le supérieur de l’autre dans un contexte, et chacun n'accordait que peu d’importance à tout cela. Un seul principe régissait : la confiance. Sans vraiment attendre une réponse, le Kittodôno se dirigeait vers les portes, avant de s’engouffrer dans le bâtiment, jusqu’à son ancien bureau. Une petite pièce, mal éclairée, peu utilisée mais à l’écart. Elle servait généralement de placard de rangement, d’archives récemment exploitées. Patientant que les deux Konohajins le rejoignent, il fermait la porte aussitôt. Un comportement peu rassurant. Pourtant, c’est dans ces moments que le quadragénaire savait y faire. Il n’y avait aucun doute, les mots qui sortiraient de sa bouche allaient être lourds. Mais la légèreté avec laquelle ils étaient prononcés prouvait une expérience inébranlable, apaisante.

Dialogue de personnage
« Maintenant que nous voilà en privé.. Ça a été Kotaro, la tâche n’était pas trop rude ? Et si vous me racontiez ce qui s’est passé ? Qu’est-il arrivé à Kimino ? »


Une flasque se dévoilait dans une poche intérieure, leur en proposant après en avoir pris une gorgée. Le borgne guettait particulièrement la réaction de Taram, partagé entre bienséance et dérogation. Ils étaient seuls. Sans invitée diplomatique, sans étranger, sans foule grouillante. Ils pouvaient parler.

Publié le 15 Décembre 2020 vers 12h

La veuve noire

Dialogue de personnage
« Elle est marrante votre copine ! J'aime beaucoup son humour. »

Son air de peste reprenait le dessus en voyant la rouquine. Elle ne savait pas à qui elle avait à faire, mais par principe et fierté elle ne laisserait pas sa position de "faiblesse" apparente. En revanche, elle lui faisait très vite comprendre que pour le moment, l'Abura n'était pas la bienvenue et devait attendre au poste de police du village en attendant. En attendant quoi ? Elle n'en savait rien, mais elle savait seulement qu'elle devait attendre le retour du borgne et de la blagueuse.

Dialogue de personnage
« Super... »

Si j'avais su, je ne serais pas venu ! Se disait la jeune femme. M'enfin, elle se tournait vers son nouveau pote qu'elle appréciait, malgré les deux ou trois coups de la dernière fois. En admettant au fond d'elle même qu'elle le cherchait aussi, mais ça, jamais elle ne l'avouera à voix haute ! Parole d'Abura ! Une parole qui ne valait rien.

Dialogue de personnage
« Tu me montres le chemin ? Je ne sais pas où ça se trouve. »

Et surtout, elle ne tenait pas à être mêlé de choses qui ne la regardaient absolument pas. De ce qu'elle comprenait le "boss" de leur patelin avait foutu le camp et laissait la place à un ou une autre pour faire tourner le village. Selon l'attitude du Borgne les choses changeaient et la présence de la rouquine en appuyait peut-être la preuve ? L'enduiseuse verra bien par la suite. Mais avant de partir, elle tentait d'offrir sa vision des choses sans comprendre ce qui se passait.

Dialogue de personnage
« Si je peux donner un conseil avant de m'en aller ? »

Elle n'attendait pas la réponse, car peu importe la personnalité qu'elle avait en face d'elle, elle s'en foutait.

Dialogue de personnage
« En tant que femme du désert provenant de Koya nous n'avons pas de réelle hiérarchie, chacun fait ce qu'il souhaite en prenant sa responsabilité à cœur. Ca fait des années qu'on fonctionne comme ça et puis s'il y en a un qui est trop casse-couille, c'est le coup du lapin. Certes c'est pas moral, mais au moins c'est rapide et efficace. Voilà, je crois que c'était tout. Bonne continuation. »

Tournant les talons, elle suivait Universa qui la guiderait là où elle devait être, au poste de police. Les trois connaissances restaient quant à elle ensemble.

Publié le 15 Décembre 2020 vers 16h


Il était vrai que ma manière d’accueillir ce vieux borgne était légèrement inconvenante. La délicatesse n’était pas mon point fort et la situation au village mettait mes nerfs à rude épreuve. Je ne me souciais jamais beaucoup des convenances sociales, mais aujourd’hui encore bien moins que d’habitude. Sur les conseils de mon vieil ami, je remballais donc mon humour mal placé et m’abstenais de surenchérir. De toute manière, le borgne n'avait jamais su apprécier mon humour à sa juste valeur. Même lorsque j’étais la cheftaine de la police, il ne faisait jamais semblant de rire à mes blagues. Il ne me faisait aucune flatterie et il ne m’apportait jamais du thé ou des biscuits. Je me souvenais que c’était vraiment très contrariant ! Et je souriais intérieurement à toutes ces petites pensées saugrenues et empreintes de légèreté. Un petit instant de détente pour apporter un peu de joie dans tout ce brouillard mental qui me hantait depuis l’annonce de Mako. En réalité, j’appréciais beaucoup le Kitto, et j’avais beaucoup de respect à son égard. C’était quelqu’un d'intègre. Il ne se contentait pas de suivre les vents les plus favorables, il était capable de marcher à contre-courant. J’avais bon espoir de m’en faire un allié dans mon opposition contre Mako.

Je souriais face aux exigences du borgne pour sa petite protégée. Ces demandes seraient certainement passées comme une lettre à la poste s’il les avait formulées devant les responsables habituellement habilités à prendre ce genre de décisions, mais il devait bien se douter qu’en tombant face à moi, ça ne serait pas aussi simple.

Je leur faisais comprendre que la petite basanée allait nous suivre au poste et que nous aurions également à nous entretenir à son sujet. Les dernières actualités de Konoha constituant tout de même une affaire autrement plus urgente et importante, nous allions nous enfermer dans un bureau avec Keisan et Kotaro. Afin de préserver le caractère confidentiel de cette conversation, la jeune Abura restait sous la surveillance de plusieurs officiers dans une autre pièce.

Alors que nous entamions les sujets sérieux à l’abri des regards, Keisan me proposait de boire dans sa gourde. Je déclinais d’un discret signe de main couplé à un léger recul de la tête.

Je prenais la parole à mon tour :

Dialogue de personnage
« J’ai interpellé Mako après son discours, elle m’a affirmée qu’elle avait obtenu le soutien du ministère… »


Je me tournais alors en direction de Kotaro car j’étais justement très curieuse de l’interroger à ce sujet. Je n’en avais pas eu l’occasion jusqu’ici et une question me mordait sévèrement les lèvres.

Dialogue de personnage
« Tu étais au courant toi ? »


Une question loin d’être innocente car j’en étais déjà presque convaincue. C’était le moment pour lui de s’expliquer.

Publié le 15 Décembre 2020 vers 16h


Alors que le groupe se rendait au poste de garde, le Kitto ne dit rien de plus sur la situation. Réfléchissant à la meilleur façon de présenter la chose dans son ensemble. Apprenant par la même occasion que le Kitto borgne avait ramenait un membre du clan Abura au sein de Konoha. Chose plutôt atypique, il fallait l'avoué. Mais il n'y avait rien de normal en ce moment au village de Konoha. Nous avions eu la visite d'un Mitsuna. L'ancien régent devait savoir ce qu'il faisait.
Le trio, constituait de Kotaro, Keisan est Taram c'était rendu dans une pièce isolé. Ainsi, la conversation resterait confidentielle. Il était clairement évident que le jonin ne pouvait pas dire n'importe quoi en pleine rue.

Dialogue de personnage
« Dur? ne suis clairement pas fait pour ce genre de tache... »

Poussant un court soupire, il était clair que si le jonin en avait la possibilité, il se serait désisté avec plus de motivation de ce poste de chef remplaçant des Kitto. Diriger était une tâche ingrate qui ne lui sied guère. Le Kitto roux était un suiveur, pas un leader. Du moin, il n'avait clairement pas la carrure pour assumer un rôle politique. Il accepta l'offre du Kittodono et pris une gorgée. Le shinobi n'aimait pas particulièrement l'alcool. Mais il avait clairement besoin d'un remontant. Ces choix avaient des conséquence après tout. Rendant la flasque, il croisa le regard de l'Uzumaki avant d'aller chercher celui de Keisan.

Dialogue de personnage
« Oui, mais je vais revenir sur ce point plus tard. »

Taram allait sans doute vouloir comprendre ce qui avait poussé le Kitto à suivre le plan risquer de Mako. Même si, vu de l'extérieur, ce dernier ressembler sans doute plus à de la folie. Un véritable coup d'état. Il n'avait sans doute pas tort, mais une partie de la vérité était cacher.

Dialogue de personnage
« Kimino-sama est partit en mission diplomatique peu après votre propre départ. Nommant Mako-san comme régente en son absence. »

Cherchant à nouveau le regard des deux autres shinobi, ce contact visuel permettait d'imager ces propos.

Les deux Konoha-jin pouvait observer la grande place. C'était le jour du festival de la réunification. Le village c'étant rassembler pour ce qui sembler être une annonce importante. Les deux ancien élèves de Keisan était présent ainsi que la femme la plus hais du village, Kazami. Le jutsu ne permettait pas de transmettre de son. Taram n'avait pas pu ignorer cette fameuse annonce. C'était ce jour que tout commença.

Dialogue de personnage
« Ce jour-ci, Mako à changer les modalité d'emprisonnement de Kazami. En attente du jugement et sous surveillance, cette dernière travaille à l'hôpital et assigner à résidence. Elle possède également le droit à quelque visite. »

Si Seijuro avait participer à ce petit entretien, il aurait gardé cette information secrète. Il y avait moin de chance que la situation dégénère. Cependant, bien que ce n'était pas la raison principal de la situation à Konoha. Ce qui fût perçus comme une "libération" de la traitresse avait commencer à mettre le feu au village. Ce qui avait perdu des proches lors du la tentative de génocides, voyais l'une des principale instigatrice se déplaçait librement à Konoha.

Dialogue de personnage
« Cette "Mise à l'épreuve", pour reprendre les mots de Mako-san n'était que le prélude. »

Aprés que la dame de fer ais mît le feu au brasero, qui aurait pu servir d'exécution à Kazami. Il y eu de l'agitation dans la foule. Le borgne reconnaitrait sans nul doute le Mitsuna qu'il avait interrogé au porte du villages. On pouvait également reconnaitre celui qui fût nommer "Hokage" qui semblait interpeller le Mitsuna puis la régente. L'illusion prît fin.

Dialogue de personnage
« Mitsuna Same faisait partit de l'escorte de Kimino ainsi que Kirishitan Zackley. De ce que je sais, une équipe fût envoyé enquêter sur les propos de Same. Ce dernier criant que l'Hokage avait disparu et que c'était la faute du Kirishitan. Une équipe à était envoyer vérifier ces propos avec lui et nous attendons leurs retour. »

Laissant momentanément le silence s’installer. Il laissait le temps au borgnes d’assimiler cette état de fait avant d’enchainer sur ce qui intéresser plus particulièrement sur ce qui intéressait la Kunoichi. Ce qui se tramait au Ministère. Il devait également réagir à ces prochaines paroles. Le plan de Mako devait être exécuter avant le retour des chefs de clan et de Kimino. Tout la stratégie de la dame de fer reposait sur leurs absences. Il n’était d’ailleurs pas au courant de potentielle changement dans le plan. Devait-il le cacher ? Difficile maintenant qu’il avait abordé sa propre implication. Repensant au propos de la femme Abura. Konoha possédait effectivement une hiérarchie, mais l’ensemble semblait de plus en plus disfonctionnel aux yeux du Kitto. Les agissement de la dame de fer ne faisait que les mettre en évidence.

Publié le 16 Décembre 2020 vers 19h

Le Conseiller des Ombres
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Inlassablement, ceux qui avouaient ne pas être intéressés par le pouvoir semblaient être constamment les choix du borgne. Il savait son favori incommodé pour les pratiques politiques. Cette période de pseudo-régence lui serait utile à l’avenir. L’ancien mercenaire ne s’attendait pas à ce qu’elle soit aussi extrême. Des peu de paroles et d’images que le blasé lui avaient montré, le chef intérimaire du clan Kitto avait dû faire face à d'innombrables situations complexes et variées. Et malgré le poids de tous ces bouleversements, bien trop rapprochés, Konoha tenait encore debout. Avec peine. Mais debout.

Dialogue de personnage
« Donc l’homme qui m’a donné mes pouvoirs exclusifs ne peut plus me couvrir par son absence. Hmm, il m’en devait une, mais ça devrait le faire sans. »


Le quadragénaire n’avait jamais eu l'habitude d’agir avec l’approbation des hautes instances. D’une certaine manière, il nageait en mer connue. Il est vrai qu’il avait été agréable de le faire pour une fois. L’Hokage Kimino n’avait probablement pas eu le choix, il s’était saisi de l’un des meilleurs éléments en matière de démantèlement de réseau criminel. L'élève de Kazami avait la tête sur les épaules, aussi étonnant que celui puisse paraître après la mort de son épouse. Avec le peu de temps accordé, il ne s’attendait pas à un résultat fulgurant et définitif. Simplement des résultats, sans implication trop voyante.

Dialogue de personnage
« Ce qui m’étonne, c’est que tu n’as pas fait mention une seule fois du clan Uzumaki ou Chikara. La libération de Kazami a dû provoquer une sacrée surprise. Cela rompt le pacte qui a permis de rassembler le village en miettes suite à sa traitrise. Les tensions doivent être aux beaux fixes, c’est même surprenant qu’elle ne se soit pas fait déjà assassinée. C’est un risque inconsidéré pour l’unité de Konoha. La confiance de la République doit être mise à mal aussi. Ce n’est pas qu’un simple état martial, cette situation ne me plait aucunement. »
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Konoha n’était qu’un éternel enfant qui n'apprenait donc jamais ! Même quand l’ennemi vrombissait à leurs portes, même quand l’épée de damoclès lévitait au-dessus de leurs têtes, les clans préféraient relancer des chapitres qui auraient dû rester clos. Une Histoire Sans Fin.

Dialogue de personnage
« Et Konoha accepte ? J’ai encore beaucoup de mal à comprendre pourquoi Mako aurait fait ça. Qu’est-ce qui a permis à cette conjoncture de perdurer sans éclater ? »


Keisan avait confiance en son amie zélée. La Dame de Fer, sous ses airs conformes, était tout aussi démesurée que le borgne. La différence, c’est que l’ancien mercenaire portait le statut de Kitto. Plus précisément celui du Kiitôdono, un titre grandement apprécié à Konoha, grandement estimé. Il ne pouvait se permettre d'entacher et de piétiner l’héritage d’un symbole de fiabilité de plusieurs décennies, il n’en donner que des cendres à son successeur. Un titre qui l’enchaînait, bien que ce ne soit pas la seule chaîne. L’inexpérience politique de Mako, bien qu’elle maîtrisait la langue de Molière comme peu, peut-être aussi bien que Seijuro qui était un orateur hors pair, lui avait peut-être fait défaut.

Rien n’expliquait toutefois la décision de la libération de Kazami. Soudainement : un déclic. L’Eisei-nin Maudite, cette langue de vipére, avait corrompu la zélée. Une grimace se sculptait sur le faciès de l'ex-régent à cette idée saugrenue, dont il était pourtant responsable. C’était son œuvre qui avait permis ceci d’arriver. Sans avoir la moindre confiance en l'Amante Maudite, il l’avait placé pour soigner Seito, afin de résoudre le conflit interne des Uzumaki. Mais pas que. Le borgne avait fait l’erreur de penser que Chikara Kano pouvait absorber le savoir de la traîtresse, sans craindre suffisamment une transmission d’idéaux. Une appréhension qui n’avait, à tort, pas eu à l’égard de son amie pourtant en première ligne.

Publié le 18 Décembre 2020 vers 01h


Dialogue de personnage
« Aussi surprenant que cela puisse paraitre, la modification des condition d'emprisonnement de Kazami n'a pas mis le feu à la poudrière. »

Chose étonnante en soit. Il n'y eu pas de vive réaction de la part des deux clan de Konoha. Sans doute par la surprise de l'action, ou tout simplement car l'annonce eu lieu en plein évènement. Ou alors peut-être que les propos du Mitsuna avait noyait le poisson? Ou etait-ce le festival de là réunification? Il n'en restait que la "pseudo-liberté" de Kazami n'avait pas fait implosé le village. Du moin, en apparence.

Dialogue de personnage
« Chikara Azukio, Hokage Chikara n'a pas manqué de ce manifester à l'annonce de Mako-san. Cela à donnait suite à une réunion. »


Taram et Keisan pouvait observer une sale de réunion. Les banderoles représentant les différant clan ornait la pièce, attribué chaque siège à l'un des représentant de leurs clan respectif. La dame de fer elle siégeait sur le siège habituellement réserver au Hokage. Elle ne tarda pas à être rejoins par Chikara Oni, Azukio ainsi que Kirishitan Seth. Le tout ce déroulant du point de vue du siège réserver au Kitto.

Le Kitto blasé ce' souvenait plutôt bien de cette réunion. Il avait détester y assisté. Il regretter de ne pas simplement partager le souvenir qu'il s'en faisait. Les simple image ne suffisait pas à traduire tout ce que cette réunion impliquer. A moins qu'il arriver à lire sur les lèvres ?

Dialogue de personnage
« Trois point on été soulever par Mako durant cette réunion. l'état actuel de Konoha, le systéme politique mis en place et la corruption au sein du village. Les chose devait changer et, pour ce faire, Mako-san souhaiter dissoudre le conseil des sages... »

L'annoncer fût un réel choque ce jour là tout le monde avait soulever le même détail. Pourquoi maintenant, pourquoi provoquer t'elle ça alors que Kimino n'était pas présent. Dans un sens, le Kitto avait l'impression d'être l'avocat de la dame de fer dans cette pièce. Il essayait simplement présenter les fait. Le Kitto allait continuer ces propos mais ce tût. Réfléchissant quelque instant à ce qu'il allait dire, il reporta son attention sur Taram.

Dialogue de personnage
« Oui, Mako à bien eu l'approbation du Ministère. »

Le dernier discours de Mako n'était que la premiére étape de son plan. Avoir les plein pouvoir au yeux de tous était une condition obligatoire de son plan. Elle devait paraitre à la fois puissante et manipulable. La condition de kazami prenait alors tout son sens. Tout ça devait faire sortir les rats du bateau. Sans le savoir, en représentant l'opposition principale, les Chikara renforçait l'image que Mako désirait.

Dialogue de personnage
« Les Chikara, représentaient par Oni et Azukiyo se sont totalement opposé au projet de Mako dans son ensemble. Cependant, Moi-même ainsi que Seth avons approuvait son projet. Ce qui à donnait lieu à son discours de l'autre jour. »

Ainsi, Mako était en son plein droit actuellement. Chose qui devait paraitre surprenante en soit. Regrettait t'il sont choix? Pas vraiment. Le Kitto blasé était certain d'avoir fait le bon choix en suivant la dame de fer.
A nouveau, la dame de fer se dressait sur le toit du ministère, arborant les symbole du Hokage.

Dialogue de personnage
« Mako à donc "légalement" obtenue les plein pouvoir sur Konoha. »

Du moins, en apparence seulement. D'où le fait que le Kitto n'ai pas réellement réagis à la prise de pouvoir. Sa "destitution" de la tête de la police n'étant que factices.

Publié le 22 Décembre 2020 vers 12h