En attendant.. [Salle d'attente]

Les trois Jônin était partit s'évader dans une autre pièce pour parler surement des problème interne du village. En attendant l'Uzumaki était resté au coté de la femelle Abura dans une salle d'attente ou quelque gardes était présent a cause de l'Abura certain se pinçait le nez à cause de l'odeur pour Universa le temps de la mission il s'était déjà habitué à l'odeur. Les gardes regardait constamment l'Abura et cela énervait particulièrement l'Uzumaki, il la regardait comme si c'était une merde bon pour l'odeur on dira rien mais en soit elle était pas mal.





Le policier s'était tu en regardant le visage de l'Uzumaki qui commençait à être énervé mais voila maintenant que la femelle ramenait sa fraise..

Après avoir quitter les trois autres Konohajins, l'Abura devait attendre au poste en attendant de savoir si elle pouvait ou non rester à Konoha ou si c'était la prison qui l'attendait. En attendant, elle se faisait dévisager par les gardes qui se pinçaient le nez tant ils ne pouvaient supporter l'odeur. Leur regard insistant, même si elle n'était pas en position de le faire, elle allait ouvrir sa bouche. Mais elle n'avait pas le temps que son accompagnateur l'ouvrait à sa place. Amusant ce petit discours venant du type qui lui mettait des coups de poings durant leur rencontre.


Elle se taisait à nouveau son petit sourire narquois avant de piquer Universa pour la... elle ne savait plus la combien tième fois elle lui lançait des piques.


Yoko riait légèrement en lui tirant la langue.

Leur idéaux ? Assez amusant venant d'une jeune-femme qui appartenait à la pègre ou l'organisation Hiérarchique était proche de l'anarchie mais bon il ne valait mieux pas trop parler car à Konoha le système politique l'était cent fois plus.. Et voila encore un pique lancée par l'Abura, valait mieux ne pas la fracasser au milieu de la petite troupe des trou de balle de policier, la flemme de finir en garde-à-vue encore une fois.



Les policier reculèrent et certain quittèrent la pièce en regardant l'Uzumaki légèrement énervé, il regardait maintenant la jeune-Abura une jeune femme très belle souate mais avec des manière de cochon explosif, déjà que dans sa demeure vivre avec deux timbrée ne lui suffisait pas.. Il finit par sourire enfin à l'Abura et à la regarder.



L'un des policier qui était restée fut paniqué et sortit en trombe de la salle se fracassant la gueule par terre au passage et repartis à pleine vitesse sous les rire du rouquin et de l'Abura.

Intéressant, la demi-femelle n'osait réellement attaquer l'Abura sous peine de se faire enfermer. C'était le monde à l'envers ! À la Pègre lorsque les membres de son clan attrapaient des individus, ils ne se privaient absolument pas pour fracasser les détenus et surtout les plus effrontés comme la jeune femme. Amusée par le regard effrayer des hommes et la réplique du bas boy, Yuko ne pouvait s'empêcher de les railler un peu plus le sourire demi sadique aux lèvres.


Disait-elle d'un ton moqueur. En tout cas, elle se délectait de voir que les policiers n'osaient ouvrir leur bouche en présence d'Universa. Les mots suivants que prononçait l'homme surprenait la jeune femme, mais son regard devenait un peu plus blasé lorsque celui-ci prononçait le mot "douche".


Il perdait patience à devoir attendre depuis que nous étions entrer à Konoha. Menaçant, le dernier homme se précipitait pour "demander" l'autorisation de partir pour les deux individus qui attendaient le verdict. Sa sortie était des plus drôle, il se cassait la gueule en sortant tant il était pressé de sortir de la pièce.
Yuko entièrement morte de rire, donnait une tape amicale dans le dos de l'Uzumaki en essayant d'exprimer son amusement.

Et voila qu'après proposition elle souhaitait rester dans sa crase.. Au mon dieu les Abura dans toute leur splendeur et en plus il était fière de puer, incroyablement ignoble mais aussi marrant à la fois heureusement qu'elle était jolie sinon cela désespérait l'Uzumaki.
Alors que le guignol qui se fracassait la gueule se reprit avant de repartir les autres gardes levèrent les yeux, la police quel joyeux métier..



L'Abura la regardait d'une façon clairement qui voulait dire évite de te foutre de moi tes arrivé chez moi en me fracassant la gueule, ce qui fit rire de plus belle l'Uzumaki devant la réaction de la femelle Abura.

Le but de la femme était de mettre une ambiance malaisante dans la pièce, elle aimait beaucoup parler de sujets tabous même si cela pouvait devenir assez vulgaire dans les mots. Par ailleurs, tant que cela restait verbale, l'Abura ne voyait pas où était le problème. Les mots n'étaient que des mots. Seul les actes comptaient à ses yeux. Hum... Apparemment le policier qui tombait la tête la première n'appréciait pas les moqueries et au lieu de partir comme il se devait, il restait planter là. A attendre devant nous pour montrer son sérieux et démontrer à Yuko qu'elle ne commandait rien du tout ici. Ca, elle le savait déjà.


Disait-elle le petit sourire de bécasse en coin et le regard malicieux. Ah ! La provocation et toujours la provocation. C'était bien la seule chose que l'enduiseuse savait faire.