« Ne pleure pas mon amour. Ne pleure plus. »
Je prononçais ses mots d'une voix douce alors qu'elle sanglotait au sol. Je n'étais ni réel ni irréel, un simple rêve, une simple vision, une simple manifestation de son désir le plus profond de me revoir et de me sentir contre elle. Je l'entendais s'excuser encore et encore et encore, jusqu'à ce que ça voix résonne comme un crie, une voix qu'elle-même n'avait jamais entendu, une voix que personne ne pouvait connaître sauf elle. Elle était douce, si belle, certainement réconfortante si celle-ci n'était pas emplie de tristesse voir de désespoir. Ses excuses, elle les lançait dans le vide comme si elle espérait que je lui réponde. Ses larmes coulant sur le sol, je ne pouvais que tentait de la réconforter, lui faire savoir que j'étais là pour elle, lui faire comprendre que jamais je ne lui en voudrais, lui faire savoir que l'espoir n'était pas encore mort et qu'elle devait s'accrocher. Je m'agenouiller devant elle, la regardant vers elle, tentant de caresser ses cheveux malgré que a main passait a travers ses doux cheveux.
« Tu ne dois pas t'en vouloir mon amour. Que cela soit dans le monde réel, l'autre monde ou celui des songes, nous nous retrouverons. Tu ne dois pas abandonner. Ne m'abandonne pas Kazumi, aie confiance en moi. Si tu ne le fait pas pour moi, fait le pour notre fils... »
Je prononçais ces mots avec une voix suppliante. Notre fils était une motivation pour elle comme pour moi, nous étions liées à jamais pas le fruit de notre amour, un fruit qu'elle avait su protéger elle même et pour qui j'avais sacrifier ma vie. Un fruit pour lequel je sacrifierais ma vie à chaque instant, encore et encore pour lui permettre de vivre et de grandir, mais bien que cela était une motivation des plus altruiste, je ne pouvais nier le ait de vouloir partager cette vie. J'avais dors et déjà rater une partie de sa vie, ses premiers mots, ses premiers pas, ses premières nuits, ses premiers rêve et cauchemar qui comme sa mère devait parfois rendre ses nuits agitées. Je n'étais simplement pas là pour lui, ni pour elle et tel était mon plus grand regret. Je souhaitais plus que tout au monde les rejoindre, mais je n'étais en ce moment même qu'un reve une illusion dans l'esprit de ma femme, un remord un regret dans ses songes.
« Quand nous nous retrouverons Kazumi, je ferais de toi ma reine une seconde fois. Je t'épouserais de nouveau pour célébrer nos retrouvailles, car après toutes ses années, je n'ai pas cessé de t'aimer et de te désirer, de chérir les moments passer ensemble... »