Gotta charm them all!

Tu n’arrives pas à trouver le sommeil, tu ne sais pas si c’est la hâte ou la peur. Mais une chose est sûre, la nuit se fait longue et tu n’es pas prêt de la voir se terminer à force de ruminer comme tu le fais. Tu vas enfin avoir ta première mission, tu devrais être fou de joie mais ce n’est pas le cas! Tu te prends bien trop la tête sur de possibles scénarios qui conduisent tous à l’échec. Ce n’est pas vraiment une option qui te plaît et tu n’as pas envie que ça se fasse.



Tu t’agites dans ton lit comme un enfant qui fait un caprice mais tu te calmes bien vite. Tu lâches un gros soupir avant de réfléchir de nouveau et de te prendre la tête de nouveau.



Tu te rassures comme tu peux, une infiltration pour ta première mission, il n’y aura qu’à Kumo que tu verras ça! Une fois capable de faire tes preuves, il faut prouver que tu n’as pas eu de la chance d’en arriver là. Tu rumines pendant bien une heure avant de t’endormir et de te lever avec les rayons du soleil. Tu ne perds pas de temps et te lèves avant de te diriger vers ton armoire. Tu prends des vêtements bien loin d’être adaptés à une mission ordinaire. Un kimono, un Haori, un peu de parfum, ta coupe de cheveux.



Tu saisis tes aiguilles et des petites fioles de poison que tu camoufles dans les plis de ton kimono et tu pars vers la salle de vie pour retrouver Yuhei.

Première mission de ton jeune frère. Il devait s'infiltrer à un poste précis et accomplir sa propre mission, mais la tienne était bien différente même si Nobuhisa l'ignorait. Il ferait sa mission et toi la tienne, après tout, tu étais un ninja plus vieux et donc plus expérimentés. Tu étais un Hattori en herbe, déjà bien puissant pour l'âge que tu avais, mais contrairement aux autres, tu n'étais pas forcément un mode action et tu appréciais plus les missions d'enquête, de maîtrise et de neutralisation. Le meurtre ne t'était pas inconnu pour dire, mais si tu pouvais éviter de tuer cela était préférable. Ce n'était pas une mini, juste qu'une prise vivante parlé plus qu'une prise morte.



Tu le protégerais. C'était ton devoir de grand frère, ton devoir de maître et ton devoir de Shinobi. S'il avait le moindre problème, tu serais là pour lui, sa première mission définirait s'il était capable de devenir un véritable Shinobi de Kumo, du moins psychologiquement. Une première mission rate était une chose difficile à accepter et c'était ce que tu souhaitais éviter. Pour lui tu te salirais les mains, et tu epprouvaisnmeme une certaines satisfaction à partir en mission avec quelqu'un qui n'avait jamais eu le moindre geste, regard ou mot déplacé envers toi. Tu l'attendais dans le salon, prêt, habillé de vêtement simple puisqu'il ne s'agissait pas d'une mission extérieur. Un pantalon ninja noir, un sweat-shirt à capuche noir ainsi que ton sabre. Il n'était pas étonnant de voir des gens armées à Kumo de toute façon.



Tu te levais de ton siège en lui faisant signe d'approcher pour tenter un geste affectueux envers lui, un geste qu'il faisait souvent pour toi. Tu posais ta main sur son épaule et tapoter légèrement bien que ton visage trahissait le manque total de compréhension de ce geste.

Tu vois Yuhei déjà préparé qui t’accueille avec un visage impassible comme à son habitude. Il essaie de te rassurer en te tapotant l’épaule. Tu vois qu’il ne comprend pas lui-même le geste mais ça te fait tout de même plaisir et tu fais un grand sourire!



Tu étais complètement stressé au fond et tu ne voulais pas décevoir ton frère qui avait déjà fait ses preuves il y a un bon moment. Il était l’heure de faire la route jusqu’au quartier des plaisirs.



Tu le serres dans tes bras et lui fais un signe de la main en partant!



Tu prends une grande inspiration en prenant ton premier pas de la demeure Hattori et te dirige vers ce coin rempli de vices. Tu sais quelle établissement aller voir mais tu hésites un instant avant d’y rentrer. Tu restes bien facilement une dizaine de minutes dans la zone, tu fais mine de te balader en regardant les gens y entrer. Tu sens que tu ne vas pas y arriver et tu sens le sol se dérober sous tes pieds. Ce n’est pas le moment. Tu perds la notion du temps et de l’espace, tu as envie de partir en courant.

Tu sens une main se poser sur ton épaule et tu te retournes. Un homme inconnu se présente à toi.



Tu le regardes et tu es surpris de voir qu’il s’agit de la personne qui s’occupe de racoler pour le bar où tu dois aller. Hasard ou chance, tu ne sais pas, mais tu restes muet en le regardant et aussi en regardant sa main posée sur ton épaule qu’il glisse lentement pour te caresser le bras. Plus de doutes sur la raison qui pousse les autorités à s’occuper d’eux. Vraiment des gens répugnants. Mais tu dois te reprendre en main et réagir.
Tu prends une attitude candide et lui fais un grand sourire. C’est ce qu’il cherche après tout.



Tu commences à faire semblant de pleurer.







Il se met à côté de toi et met sa main dans ton dos et te pousse délicatement vers l’entrée du bar.



Tu fais un effort de ne pas le repousser car tu n’aime pas la manière dont il te tripote, mais il va falloir que tu t’y fasses. Tu essuies tes fausses larmes et commence à marcher en direction du bar.

Tu voyais bien que ton frère avait l'air différent, stressé certainement. C'était commun lors des premières missions et pour lui cela devait être aussi le cas après tout. Mais tu préférais ne rien dire et ne pas relever son probable mensonge pour ne pas le mettre mal à l'aise, ce qui était une chose que tu n'avais pas de problème à faire avec les autres. Mais pour l'instant, tu serais sage et tu ne ferais rien pour le faire échouer. Tu attendais beaucoup de lui. Pas dans le sens de résultat de mission évidemment, mais tu attendais de voir s'il avait bien suivi ses entraînements avec Hanabi et s'il avait bien appris ses leçons aussi. Malgré les apparences, tu étais un grand frère plutôt attentionné même si tu ne savais pas l'exprimer correctement. Il te demandait si son accoutrement était correct. S'il sortait boire, tu aurais pu lui dire oui, mais actuellement ta réponse penchais plus vers le négatif. Il était habillé finement, pouponné, comme s'il s'apprêter à faire le garçon docile. Et tu savais au fond de toi que c'était ce qui allait se passer. Nobuhisa ne serait pas un shinobi comme toi, pas un guerrier, mais plutôt un espion, une taupe. Dans le fond, le clan Hattori lui collait à la peau, il ne possédait pas de venin à proprement parlé, mais ses paroles et actes pouvait être tout aussi venimeux. Il avait la " silver tongue " comme Hanabi disais. Une langue qui le sortirait de nombreuses embrouilles. Tu ne lui fis qu'un " sourire " pour acquiescer et il partit alors pour sa mission.



Tu devais le suivre à distance. Ce que tu fis. Tu étais caché habillement entre deux immeubles observant la scène depuis ton perchoir. Tu faisais bien attention de ne pas te laisser voir ou sentir évidemment, mais la situation te préoccuper déjà. Tu voyais Nobuhisa comme absent, il semblait ne plus savoir ou il était ce qu'il faisait, les premier signe de stress, mais alors, un homme posa sa main sur lui et tu sentis ta mâchoire se serrer alors que la main de l'individu descendait sur le bras de ton frère. Ton sang ne faisait qu'un tour en voyant ce que tu voyais. Nobuhisa n'avait clairement pas l'air d'un adulte, son corps était bien battit, mais encore frêle, exempt de toutes trace de puberté et pourtant ce chacal agissait ainsi envers lui. Tu te devais pourtant d'attendre. Tu ne pouvais décemment pas rentrer dans le bar juste après et devais attendre malheureusement que les actes se fasse un peu plus explicite pour pouvoir au choix les coffrets ou les tuer. Une chose qu'il fallait savoir sur toi, c'était que malgré ton manque d'empathie certain et ton incompréhension native des émotions des gens... Il y avait des choses que tu ne pouvais pas supporter et qui produisait en toi des réactions d'une rare violence. La prostitution de mineur ou même leur simple racolage en faisait partit et actuellement, tu devrais te contrôler pour ne pas faire une boucherie dans ce bordel. Tu laissais quelque temps passer donc... tu n'avais pas le choix.

Te voilà dans un endroit clairement pas fait pour quelqu'un de ton âge. Tu es déjà plutôt grand, mais il fallait clairement être aveugle pour ne pas voir que tu étais mineur. Et ce type continuait de te caresser le dos pour te mettre à l'aise. Mauvais plan, mais que veux tu faire pour l'instant. Il fallait que tu tienne jusqu'à la nuit tombée, c'est là que commence les "affaires". Il te pousse vers le bar et un autre homme te regarde de haut en bas. Il t'invites à t'asseoir.







Son sourire te donne des frissons de dégoût. Tu te souviens simplement qu'il ne fallait pas que tu perde connaissance. Tu ne donnais pas cher de ta peau dans cette situation. Tu fais mine d'hésiter en regardant autour de toi. L'endroit servait de bar en journée, rien d'anormal, mais le personnel semblait ne pas être bien vieux. L'âge moyen ne devait pas excéder 16 ou 17 ans et ça te rends malade en sachant la raison pour laquelle on t'a envoyé ici. Tu retournes ton attention vers les boissons derrières le bar et pointes timidement du doigt une boisson qui se trouve derrière le barman. Il te fallait rester aussi docile que possible pour ne pas qu'il te trouve louche. Il est bien trop amical pour ne pas être dangereux. Le voilà qui se rapproche de toi. Tu fais un léger sourire gêner. Il te regarde avec bien trop d'insistance. Le barman, vous pose un verre chacun devant vous et tu l'attrapes et le renifle. Tu fais une grimace pour faire croire que l'odeur ne te plait pas. Ce n'était qu'une liqueur simple. Pas très alcoolisé en apparence, mais forte en odeur et en goût.
Il prend son verre et le tend pour que tu trinque avec lui.







Il passe la main dans tes cheveux pour te décoiffer et replace ensuite la tignasse. Il va jusqu'à replacer une mèche derrière ton oreille. Il faut que tu sois gêné, pour qu'il pense que tu n'es pas capable de dire non aux gestes intimes. Tu baisses la tête et détournes le regard. Tu l'entends rigoler et il te relève la tête en te prenant le menton. Tu te laisses faire et prend une lichette du verre qui est devant toi. Tu fais une nouvelle grimace et pousses le verre. Le barman et l'homme s'amusent de cette réaction. Il commence à te parler de tout et rien, probablement une astuce pour te mettre à l'aise. Il n'arrête pas de poser sa main partout sur toi. Ta cuise, ton dos, ta main. Tu décides de supporter ce calvaire et de rentrer dans son jeu. Il se présente à toi comme le patron du bar et qu'il est à la recherche de jeune de ton apparence pour faire le service. Tu lui confirme qu'il n'y avait que le service à faire et il esquive habilement la conversation. Tu remarques qu'il y a un accès pour un étage supérieur. Mais tu ne dis rien pour l'instant. Tu passes actuellement un entretient et te montrer trop curieux pourrait te nuire. Il te pose un tas de questions sur toi. Parois bien trop personnelle et tu n'y répond pas en prenant un air inquiet. Tu avais déjà bien préparer ton identité avant de venir et tu n'as pas de mal à trouver les réponses à ses questions. Tu es un jeune garçon de 15 ans, vivant seul avec son père, un homme violent qui n'hésite pas à te frapper si tu ne lui obéis pas et tu cherches un moyen de partir de ce foyer des plus pénible pour toi. Tout ce qu'il cherche donc. Un gamin en détresse qui à besoin d'argent. Tu as de la peine pour ceux qui se trouvent actuellement ici. Ils n'ont pas vraiment d'autre choix que de subir ce traitement. La journée suis son cours et il arrivée 18h tu as bu plus qu'il ne fallait pour un adolescent classique pour être complètement ivre. Tu poses ta tête sur le comptoir pour te rafraichir le crâne. Tu avais l'impression qu'il était bouillant.



Autant être dans le rôle autant que possible, tu commençais à ne plus sentir la boule de stress s'accaparer de toi. Tu sentais que la situation allait dans ton sens. Tu décides d'enlever ton Haori et tu laisses apparaitre ton kimono qui avait la particularité de ne pas avoir de manches. Tu vois que le simple fait de voir tes bras rend le patron complètement fébrile et cela te rebute encore plus. Tu restes cependant dans ton rôle. Tu te redresse et commence à te pencher vers lui et l'attraper par le cou pou te rapprocher de lui en disant des choses qui lui feront probablement plaisir. Il ne loupe pas l'occasion pour t'enlacer et poser ses mains à des endroits qu'il ne devrait pas.





Le barman se penche vers lui et lui murmure à l'oreille. Tu n'entend pas mais il prend un faux air désolé.



Ha, il semble que le piège commence à se faire plus précis. Tu prends une mine apeuré et tu pose une main sur son torse en faisant monter des larmes.













Son sourire satisfait te donnes envie de lui mettre un coup de boule, mais tu te retiens.





Tu te laisses guider dans une pièce en arrière et tu y reste seul pendant une dizaine de minutes et commence à te changer. Tu penses qu'il ne sera pas de trop que tu te prépare et avales 5 aiguilles au cas ou l'intervention ne se passe pas comme prévue. Te voilà torse nu dans la pièce, tu allais enlever ton hakama quand l'homme rentre sans s'annoncer, tu le regardes d'un air inquisiteur. Mais il te demande simplement de continuer sous prétexte d'être tout les deux des hommes après tout. Tu n'as pas vraiment le choix que d'obéir et continues de te changer. Il s'approche de toi et commence à toucher ton collier. Avant de t'attraper le cou et t'attirer vers lui. Tu bloques son geste en le repoussant. Tu ne sais pas vraiment ce qu'aller être sa réaction mais, il n'y avait rien d'anormale dans ce reflexe.



Le masque était tombé. Tu restes muet et tu affiche un visage de crainte.





Il revient à l'attaque, tu ne te défend pas, ce serait trop risqué. Mais tu n'as pas envie que ce déchet ne te touche plus et tu tournes la tête au dernier instant. Il est frustré de cette rébellion et te le montre en te tirant les cheveux et en attrapant ta gorge avec l'autre main. Il rigole de te voir manquer d'oxygène et te jette au sol.



Tu restes au sol et fait couler des larmes en restant silencieux. Il s'approche encore de toi et t'embrasse le haut du crâne avant de sortir. Tu restes sans bouger pendant 5 minutes et être sûr que personne ne soit derrière la porte. Tu mets la tenue qui t'as été donnée. Au vu de ce qu'elle couvre de ton corps, il n'était pas compliqué de savoir de quelle sorte de spectacle il s'agissait. Tu essuies tes fausses larmes dans un soupir et te mets en conditions avant d'aller sur scène.

Le temps te semblait long, très long, mais heureusement, il ne faisait pas mauvais dehors. Tu savais que tu ne devais pas intervenir dans sa mission et tu ne comptais pas le faire de toute façon, tu était venu bien en avance pour la mission dans le simple but d'observer et d'intervenir si jamais. Mais actuellement tu étais en planque et tu observais simplement les aller et venus des clients et gens de la rue. Rien de bien étrange au début, de simple homme venu boire un coup qui ressortirait délester de leurs bourses et de leur dignité, mais jusqu'à la il n'y avait rien de très étrange. En apparence, un commerce tout à fait banal a l'UMP et il n'y avait pas de raison de s'alarmer. Mais si vous aviez été assigné à cette mission, il y avait une raison et pas n'importe la quelle. Un ancien client repentant avait dénoncer le lieu de débauche et bien évidemment l'empereur n'aurait jamais donné son aval a un tel marché. C'était un déshonneur pour Kumo et il était hors de question de laisser cela se faire au nez et a la barbe de tous. Le temps passait et tu avais bien pris note du type d'individu fréquentant ce lieu, majoritairement des Hattori de seconde zone évidemment, des civils et des Marchands certainement.

L'heure passée et les rues de faisait de plus en plus bondé. Tu ne devrais pas tarder à intervenir avant que l'établissement ne se privatise et ne dévoile ses cartes devant un publique qui ne te compte pas. Tu espérais que ton frère aille bien, car sous tes airs sages, intérieurement, tu bouillonnais de le savoir en danger surtout dans cette situation. Le fait d'être blessé ou tuer faisait partie du travail, mais le fait d'être torturé, drogué ou violé ? Non. Cela ne faisait pas partir du risque du métier, bien que torturé soit négociable en fonction de la mission. Mais le reste, cela pouvait te rendre plus violent qu'à l'accoutumée, il fallait en avoir conscience, chose que ton frère avait certainement. Tu devrais te faire passer pour un client donc, et tu passerais inaperçu sans difficulté. Un Hattori dans le quartier des plaisirs n'avait rien d'étonnant. Tu quittais donc t'a planque en route pour la rue quand un rabatteur t'aborda, parfaitement ce dont tu avais besoin.



Tu le regardais avec un certain dégoût alors qu'il avait posé sa main sur ton épaule. Mais tu lui répondu par l'affirmative avant de le suivre dans l'établissement. Comme prévue, tout semblait correct si l'on ne regardait pas de trop prêt les âges des serveurs et serveuse qui semblait ma foi bien jeune pour travailler dans de tels lieux. Profiter ainsi du désespoir d'enfant à peine majeur pour certains, cela te dégoûté. Tu te dirigeais vers le bar, mais avant même que tu ne puisses t'assoire l'homme t'alpaguas de nouveau pour te diriger vers un autre lieu de débauche.



Tu sortais alors de ta poche une liasse de billets que tu le laissais miroiter alors que ses yeux commencés à transpirer le mot " pognon " et cela te désespérer de plus belle alors qu'il te laissait t'assoire dans un coin tranquille pour profiter du spectacle. Tu regardais rapidement dans l'établissement ne voyant pas Nobuhisa, et cela, t'inquiétais tout de même, mais tu ne pourrais rien faire réellement avant de constater un service illégal. Jusqu'à présent il jouer avec la limite de celle-ci, mais elle ne serait tarder à être transgressé. Les lumières se tamiser alors, laissant le spectacle de danse commencer.

Tu ne sais plus depuis combien de temps tu es dans cette pièce, mais tu penses avoir fait le tour et il n'y a décidément pas la moindre issue de secours. Tu t'affales sur la chaise et te mets face au miroir et te regardes. Tu regardes la tenue que tu portes. Elle est très clairement faite pour être enlevée avec une facilité déconcertante. Elle ne laissait pas grand-chose de cacher sur ton corps tellement elle te collait à la peau. Le short faisait office de sous-vêtement et tu devais mettre une espèce de longue toge fendue. Le haut n'en parle pas. Il s'arrête juste au début de tes abdominaux naissants. Et une chose est certaine, c'est que si tu avais froid, tout le monde pourrait en être témoin. Tu soupires en te regardant dans une tenue aussi dépravée et te dis qu'il va falloir t'y habituer et laisser ta fierté de côté. Cela n'apporte rien de bon de t'emporter. Tu fermes les yeux et penche ta tête en arrière pour fixer le plafond. Tu entendais du bruit, le club venait d'ouvrir. De toute manière crier n'aurait pas aider, personne ici n'avait l'intention de bouger le petit doigt.

Quelqu'un frappe à la porte et entre sans vraiment attendre de réponse, c'est encore le patron du bar. Il garde son petit sourire satisfait et te regarde. Tu ne bouge pas d'un cil et contractes ta mâchoire en le fixant.





Il s'avance vers toi, t'attrape par le bras et te met face au miroir et se positionne derrière toi. Il pose ses mains sur tes épaules et les descend lentement et s'abaisse pour avoir la tête au niveau de ton cou. Tu déglutis bruyamment et te met à trembler pour lui donner l'impression qu'il t'effraie. Son souffle devient court et tu sens la chaleur de son souffle. Vomir n'était pas une option dans l'immédiat, mais ce qui te viens en tête est que cela n'annonce rien de bon. Tu le regardes via le miroir.





Il te lâche et s'assoit sur la chaise en te regardant avec un sourire malsain.



Tu te retournes et tu ne te retiens pas vraiment de sourire en coin.



Il se penche vers toi et te gifle d'un coup, il y met assez de force pour que tu tombes. Il ne perd pas de temps pour t'attraper les cheveux.

20 minutes plus tard

Tu ne te sens pas bien et n'a qu'une envie de vomir, il te tire pas le bras pour te mener derrière la scène. Tu ne dis rien mais ton regard trahit tes pensées. Il est toujours souriant et te fait signe d'y aller. Il t'arrête un instant avant que tu ne fasse le premier pas et sort un mouchoir qu'il te passe sur le visage.



Tu craches à ses pieds et monte sur la scène. La salle pleine te donne la nausée, tu regardes autour de toi et vois un espace de libre, ta place probablement, tu t'y diriges en regardant les mouvements des autres et tente de repérer Yuhei. Tu ne le repères pas dans l'immédiat, mais il est devant la scène. Il a dû faire étalage de son argent pour être à cette place. Parfait . Tu reconnais cependant le même dégoût dans son regard. Il risque de faire un carnage après ce que tu vas lui raconter. Mais pour l'instant, tu dois simplement danser et te faire remarquer. Les enchères se passent après le numéro de danse qui sert d'étable de présentation. Tu prends place sur la scène et danse en faisant abstraction de ce qui se passe autour de toi. Tu remarque simplement que tes collègues commencent à faire de l'effeuillage. Tu ne vois pas vraiment le principe d'enlever des vêtements alors que tu portes à peine de quoi couvrir les zones intimes de ton corps. Mais il faut que tu attire l'attention et pour ça, tu ne manque pas d'imagination en général. La musique commence à bouger et tu ne perd pas de temps pour te diriger vers les clients sortir de scène en marchant sur une table. Tu vois la tête paniqué du personnel derrière mais ils ne viennent pas quand le patron les stop. Tu peux continuer librement ton petit numéro. Tu places ton pied sur le front d'un des client et prends ton expression malicieuse. Ce dernier attrape ton pied pour l'embrasser mais tu le retires et te baisse en lui faisant un signe de négation du doigt. Tu vas pour te relever et il te retient par le bras et te glisse un billet dans le col avant de te lâcher. Tu hausses les épaules et t'assois sur la table et lui offrant l'objet de ses désirs qu'il prend un malin plaisir à frotter contre son visage. Répugnant à souhait. Tu vois un billet s'agiter dans le coin de ton œil et fais un signe d'aurevoir au fétichiste avant de te diriger vers l'autre. Tu prends le billet que tu mets dans ton short, il sera tenue par tes hanches.

Tu t'assois sur sa table et passes ta jambe au dessus de sa tête pour en avoir une de chaque côté et les poser ensuite sur ses cuisses. Il s'avance et rajoute un billet dans ton short, la démarche semble être entrer. Les autres danseurs n'osent pas le faire. Autant profiter de ta nouvelle popularité. Tu te reconcentre vers ton client qui glisse ses mains sur ton torse et les passe son ton haut. Tu ne sais pas vraiment ce qu'il peut bien éprouver à ce moment et tu ne tiens pas à le savoir. Il les enlèvent et commence à défaire les boutons. Tu vois le patron te faire signe de changer de cible. Pour une fois, la décision te convient. Tu jettes un regard à la table à côté, et c'est ton frère. Autant partir en lieux sûr!
Tu attrapes les mains baladeuse de ton client et les passent devant tes lèvres. Tu lui baise rapidement les mains en lui faisant un clin d'oeil et pars aussi rapidement pour te poser sur les genoux de l'inexpressif Hattori à côté. Tu passes tes mains autour de son cou et te rapproche de son oreille.



Le ton n'allait pas avec ton visage enjôleur, on pouvait sentir toute ta colère. Et tu avais bien moins de scrupules que ton ainé en ce qui concernes les mises à morts de coupables. La neutralisation n'éradiquait pas le crime et c'est peut être votre seul point de divergence. Tu n'allais pas pouvoir t'occuper seul de l'arrestation. Tu ne pouvais pas prendre tes fléchette de poison au risque de les montrer et tes aiguilles n'allaient pas neutraliser grand chose. Tu laisses Yuhei pour repartir sur d'autre table où les billets s'agitaient pendant bien 20 minutes et tu remontes sur scène les hanches camouflées par une ceintures de billets. Tu lances ton regard empli de provocation au patron qui monte sur scène pendant que tu la quitte. L'annonces des enchères était sur le point de commencer.

Le numéro de charme avait commencé, les danseurs et danseuse arrivaient donc sur scène et premier constat... Aucun d'entre eux ne pouvait être majeur, c'était une évidence. Ce spectacle te dégoûtait déjà et tu n'en avais pas encore vu autres chose que l'arriver des morceau de viande qui serait au menu plus tard. Tu observais en espérant en demie tinte y trouver ton frère. S'il était là au moins il ne serait pas ailleurs, s'il était là, tu aurais à supporter la vue de son corps frêle et illégale se trémousser pour de l'argent et des faveurs sexuelle d'homme ayant l'âge de votre père. La pensée te rendrait presque malade si tu n'étais pas en mission et tu ne pouvais pas faire rater celle-ci, c'était celle de Nobuhisa pas la tienne. Ton regard se posa finalement sur ton frère que tu aurais préféré ne jamais voir ainsi vétu. Le voir nu te dérangeait moins aux bains publics que de le voir ainsi vêtu, pour ainsi dire. Tu voyais à son visage rougit qu'il était certainement sous l'emprise d'une substance altérant son état de conscience et tu priais que cela ne soit que de l'alcool, car après une bonne gueule de bois, il serait en sécurité, contrairement à certaines drogues de contrebande faite pour rendre les jeunes démunis accro et les forcer au travail.



Le show allait commencer et la musique se mettait donc en route, laissant une scène des plus aberrante se dérouler. Les jeunes danser de façon bien provocante à ton goût, et cela n'avait clairement plus rien d'un spectacle de danse a partir du moment ou certains commencèrent à se dévêtir petit à petit. Tu ne pouvais pas forcément fermer les yeux ni les détourner, car tu ne devais pas paraître étrange, mais très clairement ton regard était perdu dans un vide et tu ne désirais pas en voir plus que ce que ta vision périphériques t'autorisais. Soudain, un des jeunes hommes sortit des rangs et s'approcha d'un client en montant sur sa table, dans le fond, tu priais que cela ne soit pas Nobuhisa et pourtant, tu le savais au fond de toi. Il était la a jouer les salopes pour un homme de l'âge de votre père et dans ton regard, on pouvait lire le dégoût et la haine. Tu le voyais se trémousser pour des billets directement mis à ses hanches alors que l'homme se délecter du contact de ses pieds sur son visage, c'était malaisant et tu avais bien hâte que cela ne se finisse, seulement, voilà que Nobuhisa se dirigeais vers toi avec ses airs de coureuse que tu ne lui connaissais pas à ce point. Certes, il avait toujours était du côté aguicheur et joueur, mais aujourd'hui était, une journée, décidément dégoutante. Il s'approchait de ton oreille et tu t'attendais a ce qu'il te dise bien des choses, mais pas cela.



Tu lui soufflais à ton tour discrètement comme si tu avais répondu à son jeu en te redressant légèrement dans ton fauteuil pour suivre son mouvement et que tes lèvres ne soit pas visible pour éviter toute lecture éventuel.



Tu étais clair et précis. Il crèverait de tes mains une fois que la mission serait fini, après tout, en prison, les combat de prisonnier était une chose commune et il ne serait pas étrange de retrouver un macabé parmi le tas. Ce n'était même pas sur qu'il arrive jusqu'à la prison selon les dépositions de Nobuhisa, certain finirais la gorge tranchée bien avant cela, c'était une chose sur et certaines. Nobuhisa quitta ta table alors, enchaînant les jeux avec d'autres clients et finit par remonter sur scène, les hanches couvertes de billet. La musique se finissait et les jeunes restées sur scène jusqu'à ce que des enchères pour passer du bon temps avec des jeunes n'arrive. Les annonces étaient infâmes, littéralement, présentation avec nom de scène, age et c'était tout. Le but était simple s'acheter les services sexuels de personne mineur. Le corps partait au plus offrant et selon la sommes, certaines pratiques était débloquer. Les enchères s'enchaîner rapidement jusqu'à ce que celle de ton frère n'arrive. Tu n'avais pas le choix, tu n'allais pas laisser Nobuhisa se faire violer et tu montas les enchères avec une dizaine d'autres hommes qui semblait tous bien déterminé à s'offrir le corps de ton jeune Miwaku, mais personne ici ne pouvait avoir plus d'argent que toi. Tu doublas l'enchère d'une seule mise et tout le monde fini par t'applaudir. Tu étais dégoûté au plus haut point. Nobuhisa t'appartenait donc actuellement aux yeux de tous....

Yuhei te rassures en te disant que ceux qui ont posés les mains sur toi ne risque pas de se faire de vieux os et il ne t'en fallait pas plus. Tu restes derrière la scène et écoutes les enchères prendre place. Des chiffres qui sont certes élevés, mais leur signification ne faisait résonner que de la haine dans ton corps. Tu es surpris par la main d'un des membre du bar qui te dit d'aller t'habiller avec tes vêtements de base.



Tu ne perds pas de temps et enfiles ta tenue, tu avais tout ce qu'il te fallait pour faire passer un sale moment à ces ordures. Tu reviens calmement et on te demande de monter sur la scène de nouveau. Tu fais un grand sourire malicieux en voyant la somme monté à une vitesse folle. Tu est plus populaire que tu ne le pensais, mais la seule chose qui t'intéresse et d'entendre la voix de ton frère donner le prix final. Le voilà acclamé par la foule de pervers... Le monde devient fou. Tu fais une courte révérence en te dirigeant vers lui et le patron arrive. Il ne perd pas le nord et demande à l'un de ses sous fifre de récupérer l'argent. Tu le regardes avec toujours autant de mépris mais il se contente te te tapoter la joue en rigolant.



Tu savais qu'il risquait de mourir plus rapidement que prévu et tu attrapes le bras de Yuhei pour éviter un malheureux reflex de sa part. Tu mets la force qu'il te faut pour le retenir et suis l'homme de main qui te fait signe de le suivre pour aller à l'étage. Tu tires lentement ton propriétaire vers l'étage et attends que la porte soit fermée. Tu le regardes en silence pendant quelque seconde avant de le pousser d'un coup sec sur le lit pour que ça fasse du bruit.



La présence derrière la porte s'éloigne et tu soupires. Entre un agacement et un soulagement. Mais fais un sourire plutôt forcé à Yuhei avant de pointer la porte qui donne sur une salle de bain.



Tu n'attends ni sa réponse, ni sa réaction et pars en trombe et ferme la porte derrière toi et vide l'intégralité de ton estomac dans la cuvette. Tu prends soin nettoyer les débordements et te rincer la bouche avant de sortir pour t'assoir au bureau en regardant ton frère d'un air assez peu satisfait. Tu savais que la mission n'allait pas être des plus simple mais tu aurais tout de même préféré ne pas avoir à subir un tel baptême du feu pour une première mission. Tu croises les jambes et les bras.



Mesurer tes propos n'était pas au menu et tu préférais être clair sur ce qui s'était passé durant l'après-midi. Il aurait finit par le savoir de toute façon. Mais tu avais vider la pression et tu t'affales dans le siège.



Tu réfléchis à ce que tu avais entendue cette après-midi et les bruits de couloir pour faire ton rapport à Yuhei. Des armes classique de shinobi, rien qui ne puissent être contré. Tu n'as pas l'impression que beaucoup puissent se battre. Le patron et les hommes de mains. Mais le bar vient à peine de faire sa place dans le quartier et ils ne sont pas nombreux. 5 Membres au grand maximum, le reste ne sont que des jeunes qui voulaient se faire de l'argent.



Tu t'étires et te lèves et regardes Yuhei en rigolant. Et lui passe la main dans les cheveux en le décoiffant.



Tu voulais simplement détendre l'atmosphère en reprenant ton attitude classique. Tu te rapproche de la porte et écoutes pour savoir si l'homme était revenu guetter aux portes. Tu l'entends frapper aux portes voisines pour que la relève se fasse. Tu jette ton haori et défait le draps avant de t'allonger dans le lit. Tu embarques avec toi Yuhei que tu attrapes par le cou attends que l'autre ouvre la porte. Tu ne perds pas de temps et met la mains dans ta poche pour sortir une petite fléchette que tu lances à une vitesse hallucinante. Il se la prends en pleine gorge, il ne va pas mettre longtemps à vous quitter. Il titube et part en direction de l'étage inférieur.



Tu pousse Yuhei et lui fais une bise sur la joue avant de te rhabiller, la mise en scène était inutile, mais tu voulais simplement embêter ton frère. Tu prépares tes armes en ouvrant tes sacoches, tes aiguilles sont prêtent. Tu ne perd pas de temps et à peine votre geôlier arrive pour prévenir de l'attaque. Tu lui mets un coup de pied dans le dos pour qu'il tombe. Tu profites du raffut qu'il fait en tombant pour plonger la salle dans une illusion. Ils se concentrent sur la gêne que les fleurs de cerisiers leur procure pendant que tu passes tranquillement pour fermer la porte en la bloquant. Une main se pose sur toi pour te retourne et te plaque contre la porte. Tu lui craches une aiguille dans l'œil. Il te lâche, mais ne manque pas de te mettre un crochet par reflexe avec la douleur. Tu vois le deuxième arriver et te baisse pour lui faire perdre son équilibre en lui mettant un coup de kunai dans le genou. Tu cherches le patron des yeux et ne le vois pas.

Tu avais remporté le corps et la pureté de ton jeune frère, mais tout n'allait pas se passer comme les receleurs l'espérait. Pour l'instant, tu continuais de tenir ton rôle, en bon shinobi que tu étais, tu te contenais pour le bien de ta mission, mais une fois que tu pourrais relâcher ce masque, tes actes serait terrible pour ceux qui avaient osé s'en prendre directement à ton frère. Tous les tortionnaires, tous les adultes coupables seront soit exécuté soit jugé. Le commissaire-priseur te féliciter sur tes goûts, et cela te donnait des frissons de dégoût de la façon dont il parlait de Nobuhisa. Il n'a pas vraiment servi ? Tu sentais le sang te monter aux oreilles et ta respiration se bloquer au même moment, mais la présence de ton frère interrompit cette pensée si apaisante où tu te voyais déjà planter ton katana dans sa gorge et y déverser une dose lethal de raiton pour être sur qu'il soit bien mort. Nobuhisa avait attrapé ton bras et tu sentais son étreinte plus que présente, et cela, te rappelais pourquoi tu étais là, pour le sauver certes, mais pour sauver tous les autres mineurs présents dans ce commerce. Tu suivais alors ton frère qui t'emmener à l'etage, mais une fois la porte fermé, et que tu allais prendre la parole, Nobuhisa te poussa sur le lit d'un geste et tu perdis pied avant de tomber lourdement. Il gémit une plainte, suffisamment fort pour que le garde derrière la porte comprenne ce qu'il voulait comprendre puis soupira, annonçant que c'était le début des choses sérieuse.


Tu soupirais ses mots en écoutant ton frère se plaindre et vouloir aller vomir et vider au plus vide le contenue de son estomac. Sur l'instant, tu n'avais pas véritablement compris, tu pensais juste qu'il avait eu le trac durant le show ou quelques choses comme ça, mais quand il revint pour te délivrer le message de façon plus clair tu vu rouge immédiatement. En effet, danser en petite tenue était une chose, mais les actes sexuels forcé était un autre. Il était même inconcevable pour toi que cela puisse se reproduire une fois de plus. Nobuhisa avait bien fait d'aller vomir en effet, maintenant, c'était toi qui avais envie de vomir, mais de rage certainement. Nobuhisa s'affolait alors dans le fauteuil alors qu'il donnait toute les information nécessaire à l'arrestation et l'appréhension des membres de ce reseau. Plus de preuve qu'il n'en fallait, c'était une chose accablante déjà qu'un ninja assermenté ai eu à faire de telles actions. Nobuhisa t'expliquait en détail ce qu'il avait vu et entendu et il ne t'en fallait pas plus pour lancer la suite des opérations. Mais tu n'eu pas le temps de lancer le signale pour que le reste de l'équipe n'interviennent que Nobuhisa s'approcha de toi en ébourrifant tes cheveux, jetant son haori et t'attirant a lui dans le lit. 30 minutes pour ? Tu étais bien plus performant que cela, mais c'était une chose que Nobuhisa ne pouvait pas savoir en effet, mais la proximité avec ton frère n'en restait pas moins légèrement gênante alors qu'un homme ouvrait la porte. Immédiatement Nobuhisa utilisa une aiguille qui lui serait fatal dans les quelques seconde, avant de se lever et de te t'inviter dans ce petit massacre de façon plutôt joyeuse. Bien, soit. Tu t'approchais alors de la fenêtre rapidement pour lancer le signal pour l'équipe d'intervention.



Tu avais une tête effroyablement sérieuse et presque véritablement flippante alors que Nobuhisa te faisait un bisou sur la joue et partait en se rhabillant. Ton frère était très bon dans le chaos et pendant qu'il cherchait à gêner et se venger du plus grand nombre, toi tu avais déja devaller les escaliers à la recherche d'un homme bien précis qui smblait s'etre déja caché. Tu avais confiance en nobuhisa pour s'en sortir, mais tu ne restais pas loin de lui au cas où tout de même. Les portes et fenêtre explosèrent alors, envoyant voler une bonne partie des clients et du personnelle dans la salle, alors que des Shinobi vêtu de la tenue tactique de Kumo pénétré l'enceinte. Le chaos régnait, il y avait du bruit, de la foudre et des cris, mais tu te concentrais pour trouver ta cible. Soudain, des cris à l'étage retentirent et tu compris qu'ils étaient certainement en train de tuer les jeunes pour qu'ils ne puissent pas témoigner. Tu remonta alors en vitesse, sortant ton katana et attaquant tout adulte à ta portée, ouvrant les portes avec ta foudre. Tu devais faire attention et neutraliser les clients, mais les malfrats eux, tu n'avais pas grande considération. Tu nettoyais l'étage, tranchant tout les adultes fuyard. Tu n'aurais de pitié que pour ceux se repentent, et encore. Tu faisais face a des scènes plus qu'obscène et il était difficile de laisser en vie leurs auteurs, mais soit. En une dizaine de minutes, tu avais maîtriser les quelques civils et avait mis tous les jeunes en sécurité dans la chambre qui tu avais occupé avec Nobuhisa juste avant.



En effet, en bas de cela devait être un sacré carnage. Tu descendais les escaliers alors 5/6 clients nus comme des verts, menottés alors que tu découvrais le bar complétement ravagé. Le chef de l'unité de police vint alors vers toi tandis qu'il avait avec lui l'homme que tu cherchais. Il n'y avait de base que peu d'ennemies, mais beaucoup de client et il était facile de perdre un homme précis et fuyard surtout, dans une pièce de cette taille remplis d'homme lui ressemblant.


Le policier le lança à tes pieds alors et tu pouvais lire dans ses yeux la peur. Certainement la même peur que les jeunes devaient avoir dans les leurs lorsqu'il les forçait à d'abjects actes. Tu n'étais pas un sadique, mais tu n'étais pas non plus la personne la plus saine au monde de par ton manque d'émotion en temps normal. Tu attrapas ton katana et glissas le manche de celui-ci entre ses dents et d'un coup de pied violent, tu lui cassas les dents en mettant une bonne partie de ton poids d'un coup violent sur ta lame. Du sang coulait de sa bouche alors qu'il se mettait à hurler de douleur, sa mâchoire certainement disloquée ou briser par la même occasion, tu t'agenouiller pour te mettre à son niveau et lui chuchota alors doucement à l'oreille.



Tu te relevais alors avec ton regard inexpressif.

Tu ne restes pas derrière la porte bien longtemps, car tu entends le signal de Yuhei avant qu'il ne te rejoigne. Les forces de l'ordre de Kumo s'empressent de rentrer par la force dans l'établissement et tu prends un malin plaisir à voir les clients tomber comme des mouches et se faire appréhender. Tu pars t'asseoir au bar, car plus personne ne fait attention à toi désormais. Tu vois Yuhei repartir en haut pour aider les jeunes qui étaient dans une situation des plus désagréable. Tu montes sur le comptoir et attrapes une bouteille de whisky que tu commences à boire en regardant les arrestations prendre lieux. Tu découvres un sentiment de satisfaction à voir la vermine se faire écraser. Ton sadisme semble se réveiller peu à peu et tu te lèves pour aller voir les types t'ayant payés un peu plus tôt pendant ton petit numéro. Tu t'accroupie devant eux à une petite distance de manière à ce qu'ils puissent te voir et prends une autre lampée de ta bouteille en rigolant.



L'un d'entre eux veut se lever pour venir vers toi et tenter de te frapper d'un coup de pied, mais un des officiers lui injecte du raiton ce qui aura le mérite de le mettre au sol de manière temporaire. Tu te relèves et mets tes pieds de chaque côté de sa tête. Il se met sur le dos pour te regarder et tu lui verses le contenu de la bouteille sur le visage en le regardant hautainement. Tu pars en lui faisant un regard des plus méprisant et pars t'asseoir devant la scène en contemplant les arrestations. Le patron est ramené et attaché. Son regard se pose sur toi et tu peu y voir de la rage. Il semble sur le point de te sauter dessus pour se venger. Tu aperçois Yuhei descendre et tu restes à observer ton frère convoquer le patron qui est jeté à ses pieds. Tu le vois mettre son sabre dans sa bouche et lui exploser la mâchoire. Le cri de douleur te procure une grande satisfaction. Tu n'entends pas ce que lui mentionne ton frère, mais tu sais pour sûr qu'en voyant son expression que rien de rassurant ne s'est dit. Tu te diriges vers lui et l'attrapes par la taille et pose ta tête contre son épaule en regardant l'homme essayer de ne pas avaler ses dents. Il te regarde avec toujours autant de mépris dans le regard et lui tires la langue d'un air malicieux.



Tu lâches Yuhei et t'approche en restant à quelques pas de lui et lui lèves la bouteille vide devant le visage.



Tu lui éclates la bouteille contre la tempe et en plus de lui faire une nouvelle plaie, il perd connaissance. Il prendra probablement conscience une fois dans sa cellule. Tu le regardes de haut avant de te retourner vers ton frère en souriant. Tu te sentais plus léger et étais content de savoir que la mission était finie et réussie par la même occasion. Tu n'avais pas spécialement envie de recommencer. D'une part car l'envie de te frotter à des prédateurs sexuels n'était pas ton passe-temps favori. Mais il allait faire des concession et ce genre de problème, tu sais que tu devras y faire face plus d'une fois. Ca te rebute un peu, mais tu regardes Yuhei et n'as pas envie de le décevoir. Il sera tout autant contre que toi, mais il sait aussi que le rôle que tu vas endosser sera le plus ingrat. Mais tu le fais pour que lui puisse se hisser au plus et tu tâches de te faire une raison. Tu restes encore jeune et tu es toujours un peu capricieux, mais l'avenir fera de toi un espion digne de ce nom.



Tu n'avais qu'une hâte, retrouver le calme du manoir et prendre une douche pour te laver, car tu avais l'impression d'être sale. Une sensation ou un fait, ce n'était pas très clair dans ta tête actuellement et le fait d'avoir descendu un demi-litre de whisky pour t'enlever le goût de la bouche n'aidait en rien à prendre conscience de la situation. L'adrénaline et le choc te donnaient une sensation d'être dans un autre monde. Tu n'oublieras pas de si tôt cette mission. Tu allais vers la porte quand un des officiers t'interpelle. Tu te retournes vers lui l'air inquisiteur. Il t'avait pris pour un des jeune qui appartenait à l'établissement et voulait que tu restes pour prendre ta déposition. Mais il avait l'air de t'avoir reconnu puisqu'il s'excuse aussi rapidement qu'il t'a convoqué. Tu lui fais un signe pour lui dire que ce n'est pas grave avant de quitter la place en enfilant ta capuche. Tu pars en direction des quartiers Hattori et te mélanges à la foule pour ne pas te faire remarquer.

Tu regardais ton frère prendre sa vengeance sur l'homme qui l'avait tripoter et bien plus et une certains satisfaction pouvoir se laissait voir sur ton visage, rien de transcendant, mais tu sentais que ce dernier geste avait était salvateur pour lui et qu'il se sentait bien mieux ainsi. Il ne t'avait pris pas la taille et avait posé sa tête sur ton épaule, comme une victoire devant cet être abject et bien que les contacts physiques n'étaient pas forcément ce que tu préférais, tu devais bien admettre que tu étais soulagé que ton frère aille bien, du moins physiquement. Pour une première véritable mission, l'administration n'avait pas été tendre, certainement, car tu avais insisté pour etre sur la même que lui. Toujours est-il qu'il te demandait alors si tu comptais rentrer directement ? Quoi faire de toute façon. Tu ne traînais pas dans le quartier des plaisirs et tu n'aimais pas forcément y être non plus.



Tu passas ta main dans les cheveux de ton frère de façon " affective " pour tenter de lui remonter le moral, car tu le sentais légèrement... Fatigué par tout ce qui s'était passé. Psychologiquement, cette journée avait été éprouvante pour vous deux, mais lui avait réellement subit les pires sévices. Tu te dirigeais alors vers le chef de la brigade pour lui faire ton rapport, prenant en charge de rapporter ce que Nobuhisa avait vu, entendu et vécu pour ne pas lui faire revivre les événement une énième fois. Tu prenais soin de bien donner tous les détails, tout ce que tu avais vu, mais aussi, et surtout de récupérer ton argent personnel dépenser pour le bien de la mission. Récupérant ton argent, tu t'en allais alors, passant par une boulangerie pour acheter un gâteau à Nobuhisa, que tu ferais livrer dans sa chambre directement.



Tu le prononçais dans le vent, il ne t'entendrait pas, mais il le savait sans que tu le dises.