L'entretien.

L'Uzumaki avait été convoquée au nouveaux QG de l'Anbu la prison, un choix plutôt intelligent comme stratégiquement au moins personne ne pourrai interférer dans leur affaires et si un prisonnier s'échapperait il aurait à la fois les gardien et les Anbu sur le dos, pauvre de lui..
Universa c'était arrêté pour dire bonjour à Amoritia qui était de garde ce jour-là, leur échange fut bref et avant de partir il reçu un bonne chance de la part de son amie. Le QG était enfouis profondément dans les entrailles de la prison, l'Uzumaki eut le sourire aux lèvres en arrivant devant la porte de l'entrée de son deuxième chez soie.
Il entra et fut immédiatement accompagné jusqu'au bureau de sa responsable, l'Uzumaki admirait l'endroit et cela était très différents notamment sur l'ambiance visuel mais à quoi bon jugez ? L'Anbu qui l'accompagnait s'arrêta et frappa à la porte d'un bureaux, il indiqua à l'Uzumaki d'entrez et voila quelque chose d'étonnant, la chef de l'Anbu matraquait avec un timbre à encre des centaines de papier disposée sur le bureaux, et bah si être chef ces sa et bien ces craignos pensait l'Uzumaki.
La chef Anbu leva enfin la tête et lui indiqua de s'assoir sur l'une des chaises devant le bureaux.

La Dame de Fer était amère. Sans perdre un instant, et juste après la réunion, elle avait embarqué -littéralement- son bureau et toutes les affaires relatives à l’Anbu jusqu’à la Prison de Konoha. De là, elle avait tout simplement éjecté les gardes pour y remplacer ces derniers par l’impitoyable garde des Ombres. Elle n’était pas faite pour la politique, elle ne l’avait jamais été. La Zélée était un stratège, une combattante, et une excellente exécutrice.

Depuis peu, l’Anbu subissait de profondes transformations. Déjà, de part sa nouvelle position géographique, elle marquait une profonde rupture avec les affaires politiques du village. La Dame de Fer faisait prendre une toute autre tournure à son unité : moins d’élites, mais plus de recueil au berceau. La programmation d’une véritable formation interne, un véritable endoctrinement dès le plus jeune âge. L’Académie était trop laxiste, et faisait sortir de ses rangs des Shinobi au cœur tendre. Konoha n’avait pas besoin de ça. Sa branche devait inspirer le respect… Et la crainte.

Lorsqu’on toqua à la porte de son bureau temporaire, la Dame de Fer était en train de signer tous les papiers nécessaires pour mettre en place la nouvelle unité. Lorsqu’Uzumaki Universa entra, elle fixa l’homme et lui indiqua d’une main de prendre place en face d’elle. Sans un mot, elle se leva, et récupéra du thé encore chaud et deux tasses, qu’elle servit à l’Uzumaki. Elle s’assit alors sur le bureau, et posa la tasse devant lui avant de lui annoncer sèchement.



Voilà. La messe était dite. Kitto Keisan n’était et ne serait plus jamais le bienvenu au sein de cette unité de l’Ombre. Il avait trahi le secret concernant la fille de Kazami en pleins milieu d’une réunion du ministère, et la Dame de Fer voyait de plus en plus dans son ancien ami qu'elle considérait auparavant comme un homme sage, un homme plein de perfidie. Le même homme qui avait avoué devant elle avoir sciemment laissé le village se reconstruire sur une base de haine, et de rancœur.



La demande était claire. La Dame de Fer voulait tout savoir.



La Dame de Fer prit une gorgée brûlante de thé. Cela annonçait la couleur. Des projets ? Elle en avait. Azukiyo l’avait réduite à l’Ombre, alors elle l’embraserait. Jamais la Dame de Fer ne refera surface à la lumière. Du moins, pas avant un bout de temps.



Et elle ouvrit ses oreilles comme son esprit, attentif au discours de celui qu’elle suspectait d’être un traître… Du moins, un fidèle allié de Keisan le Bannis.

Humm et bien voila qui était intéressant, l'Uzumaki n'avait pas été mis au courant de tout ses changement, l'anbu depuis le berceaux idée satisfaisante et qui permettrait à Konoha d'augmenter sa puissance militaire ce que l'Uzumaki avait toujours souhaité en soie. L'Uzumaki souriait à la Dame de Fer et commença son histoire en détail sans toucher une seule fois à sa tasse de thé.



La Dame de Fer le regardait étrangement comme si elle le trouvait bizarre psychologiquement ce qui en soit n'était pas vraiment faux.
L'Uzumaki alors reprit alors son histoire.



L'Uzumaki sortit de sa poche un parchemin scellée qu'il posa sur le bureau de la capitaine de l'Anbu qui continuait de le regarder en se demandant a qu'elle point il était timbrée mais il ne fit pas de commentaires, être pris pour un psychopathe fou était son quotidien et il foutait royalement.

On aurait pu résumer cet entretien à « Uzumaki Universa, le bon petit soldat ». La Dame de Fer ne fit néanmoins aucun commentaire. Visiblement, Kitto Keisan avait quémandé un massacre en compagnie, et le rouquin c’était empressé de le lui offrir avec un enthousiasme sans pareil. La zélée ne fit rien, et écouta tranquillement.

Un trafic d’être humain qui financer et apportait soutien militaire à Gekido ? Information intéressante. Si la piste était encore fraîche, peut-être que l’Anbu pouvait remonter la piste jusqu’à ce petit bâtard d’hôte de démon, et lui extirper l’entité du nom de « Enoshima » de son ventre afin de l’utiliser pour le bien être du village. Une arme de dissuasion, efficace et sans bavure. Une arme dont l’Anbu devait s’emparer.



Universa avait été avare en détail, au grand damn de la Dame de Fer. Fort heureusement, elle était suffisamment curieuse pour en demander plus. Toujours plus.



La Dame de Fer récupéra alors le parchemin scellé. Avant de continuer.



Elle le fixa avec un regard sombre.



La Dame de Fer avait la rancune tenace. Très tenace.



La Dame de Fer n'avait, en tout les cas, aucune confiance en elle.

L'Uzumaki ne souhaitait pas le dire mais il avait décidé cela aussi pour protéger l'Abura il n'aimait pas cela d'avoir un petit faible pour une Shinobi étrangère mais tant qu'elle était en sécurité sa lui allait. Pour ce qui est de Gekido les infos était un quelque peu embrouillé et cela l'enmmerdait.



L'Uzumaki n'hésitait pas à donner son avis sur lui même, si il n'était jamais monter en grade ces parce qu'il était incontrôlable et justement sa lui avait permis de réussir beaucoup plus de choses que les petit toutou du villages. L'Uzumaki attendait la réponse de la rouquine qui paraissait en colère d'avoir parlé de son ancien-vice capitaine..

La Dame de Fer restait silencieuse au discours d'Universa. Il avait décidé d’accueillir l'Abura chez lui ? Pourquoi pas. La Dame de Fer n’en avait cure. Après tout, ne disait t’on pas qu’il fallait parfois de tenir proche de ses amis mais encore plus proche de ses ennemis ? La femme reprit une gorgée de thé.



L’affaire étant close, la Dame de Fer devait mettre au clair le deuxième point : l’obéissance. Universa avait effectivement la réputation de ne pas être un tendre. Plutôt impulsif et sans cœur. Le genre d’homme qui était considéré comme un dangereux personnage. La femme sévère le jaugea du regard.



Le reste, la zélée n’en avait cure. Après tout, elle n’était pas non plus une tendre.



La Dame de Fer bu une nouvelle fois une gorgée de thé, puis elle se leva pour s’asseoir sur son siège, en face du Shinobi.



Elle croisa les bras, affichant un sourire espiègle.



La Dame de Fer baissa de nouveau la tête. Elle avait de la paperasse à remplir. Encore…