Droit de passe ?

Après une discussion entre le tendre de la jeune femme et un pote à lui. Uzumaki Universa demandait un rendez-vous pour l'Abura afin que celle-ci pouvait circuler un peu plus librement depuis qu'elle et les konohajins étaient rentrés de Kyota. Par ailleurs cela étonnait énormément la jeune Abura que le village était aussi mal surveillé à l'entrée et que n'importe qui pouvait entrer et faire sa petite vie tranquillement. Peut-être que personnes ne venaient tenter de prendre leur territoire par la force contrairement à la cité marchande de Kyota ? Avançant dans le plus grand calme jusqu'à la porte qu'on lui indiquait plus tôt et son amant non loin de là, Yuko frappait à la porte et entrait sans attendre de réponse. Ouais, vieilles habitudes...




L'idée ne l'enchantait pas plus que ça, mais si elle voulait pouvoir bouger hors de la maison où elle habitait désormais, cet étape lui était importante !

Cheffe de la section torture était un métier vraiment intéressant chaque jour ce voulait différent et il était très facile pour moi de m'entraîner à mon art tout en restant dans le village. Bien sûr j'avais un poste à responsabilité au sein du village, et il m'arrivait de m'occuper des affaires internes, et surtout je faisais l'évaluation des nouveau venue étranger, c'était dingue la passoire que Konoha etait devenu, des Gaikotsu, un Mitsuna, et maintenant ? Une Abura ? C'était Uzumaki Universa qui l'avait ramené de son voyage, il ne pouvait pas faire comme tous le monde et simplement rapporter un peu de sable du désert, ou une statuette en verre comme souvenir ? Non il devait nous ramener une vermine puante et huileuse du désert. Mais bref mon avis personnel ne devait pas interférer avec mon travail.

Alors que je mettais un peu d'ordre sur mon bureau quelqu'un frappa à ma porte, je n'allais pas tout de suite dire d'entrer, je devais d'abord finir...



Et bien, celle-ci commençait plutôt mal son entretien, mais j'allais essayer de passer la dessus et mettre ça sur le fait que nos cultures étaient différentes.



Mon ton était sec, mais je n'étais pas là pour faire amie amie avec elle.



J'allais la pousser loin pour voir si elle n'était pas un danger, il était sur qu'elle allait subir le racisme au sein du village, si elle ne le supportait pas elle allait vite être un danger.

Ah... apparemment ils ne faisaient pas comme ça ici. Et encore, je n'aurais probablement pas toquer à la porte si son efféminée de conjoint ne la prévenait pas de le faire. Elle me demandait de m'assoir et de son ton sec, elle commençait sa pénible interrogation. Irritante ce genre de pétasse, mais Yuko ne pouvait faire sa maline et devait impérativement garder son calme. Tiens cette remarque lui rappelait sa demi-femelle de futur mari... AH LA SALOPE ! Elle commence bien celle-là ! continuait de se dire l'Abura. Gardez son calme... Gardez son calme. Soupirante, la femme s'asseyait de manière décontractée avant de rétorquer:


Elle s'asseyait un peu mieux sur la chaise regardant la blonde dans le blanc des yeux et tentant de se montrer bien plus civiliser que la pouffe pouvait penser.




Elle n'avait pas l'envie de trainer trop longtemps dans la même pièce que la jeune pétasse ! Elle semblait être le genre de nana à te casser les couilles tellement si fort que même casse noisette ne pouvait te les briser aussi fort ! Bref... Yuko attendait de voir où tout ça allait l'emmener, en espérant pouvoir éviter la prison...

Bien, j'avais tout de suite réussi à la piquer dans le vif la huileuse, je comprenais qu'un Uzumaki ai pu flasher sur elle, ce clan avait un réel problème avec les femmes de leur propre clan, il fallait toujours que les Uzumaki tape dans de l'exotique, il suffisait de voir Kimino et Universa, même Shimazu qui avait choisi une Chikara, même si lui était sans doute le seul Uzumaki sensé au niveau de sa vie sentimentale.



Elle avait su garder son calme, par conséquent elle avait validé la première étape de mon petit défi pour voir si elle pouvait vivre à Konoha. Maintenant j'allais essayer de voir quel utilité elle allait pouvoir avoir au sein du village.



Je balançais une autre petite pique, tout simplement parce que oui, je n'avais pas de problème spéciaux avec les autres clans, mais je n'aimais pas qu'une Abura puisse être invité dans la village sans discussion et sans test.

Yuko comprenait le petit manège de la blonde écervelée. Malheureusement pour elle l'Abura aussi était chargée à Kyota de ce type de phénomène. Pas de bol ! Il fallait ignorer la troisième remarque et répondre aux autres questions le plus calmement et détendu possible même si la personne en face de vous insinuait que vous êtes une catin. Le jour où la femme du désert à l'occasion de lui coller un pain, elle le fera.


Et le pire dans tout ça, c'était que la femelle ne mentait pas ! Ce qui était peu commun pour un membre de ce clan. Dans les dents pétasse ! Me la couler douce ? La bonne blague, c'était une riche qui sortait ça, quoi ! Les Abura étaient beaucoup travailleur et magouilleur que ces tires au flan de Konohajins, mais bref... C'était avec un petit sourire de garce que la bronzé rétorquait:


Hors de question de rester enfermer dans le village et de s'engraisser. La jeune huileuse ne le supporterait pas et se sentirait très mal. Déjà de devoir rester dans la même maison ça lui était de plus en plus insupportable, alors de ne même pas pouvoir sortir un peu serait une catastrophe !

Bien bien bien, je venais de trouver sa place au seins du village, ou plutôt à l'extérieur du village, cela changera un peu les forestiers d'avoir une non Kirishitan en leur sein, d'ailleurs je songeais reelement à envoyer tous les shinobi de clan étranger sauf les enfant Gaikotsu, dans les forestiers le temps de faire leurs preuvent, il serait tellement facile de faire disparaître ce qui pose problème dans la forêt.



La jeune femme n'allait pas être dépaysée et son odeur se mêlerai sans doute aux animaux dans la forêt. Sans rire, les Abura sentent tous l'huile de friture ou c'est seulement celle ci ? Bref j'allais devoir aérer la pièce quand elle serait parti.



Je la regardais, il fallait reelement qu'elle parte avant que son odeur me face tourner de l'oeil.

Un poste plutôt intéressant, au moins Yuko n'aura pas à supporter cette blonde aux gros seins. L'entretien venait de se terminer de manière plutôt brève et l'Abura n'était pas stupide, elle savait bien que la forte odeur qu'elle émanait dérangeait sa locutrice. Quel plaisir ! Ah, vraiment...


Il ne fallait pas beaucoup de temps pour que la femme se levait de sa chaise et se mettait en marche pour retourner à l'extérieur de la pièce. Pas besoin d'ajouter plus, elle voulait partir au plus vite de cet endroit. Elle se devait alors d'aller à la rencontre d'un fameux Kirishitan. D'un certain Seth si elle entendait de la bonne oreille ? Plus qu'à attendre de savoir la suite des évènements.

Enfin cette puanteur du désert avait quitté mon bureau, je pouvais souffler et aérer la pièce. Je me coupais le doigt et faisais des mundra pour invoquer mon Torininja, il allait passer un message à Seth.



Pas besoin de formule de politesse, Seth n'avait pas l'air d'être le genre d'homme à se formaliser de si peu.





Je laissais ensuite tout grand ouvert pour me debarasser de cette horrible odeur d'huile avant qu'elle ne s'imprègne sur les tapisseries.