Péter leurs chevilles comme Heenok

La jeune femme aux longs cheveux bruns s'était accordé du temps pour elle. Pour la première fois depuis des années, elle avait décidé de dîner dans un restaurant du quartier. Ce n'était pas quelque chose de spécialement extravagant mais ça la changeait de ses habitudes. Elle s'était même parée à cette soirée sortant de l'ordinaire pour elle, elle s'était vêtue d'une simple élégante robe qui trainait dans ses affaires et avait même lâché ses cheveux qui descendaient le long de son dos, une sensation étrange de les avoir touchant ses épaules, elle qui les préférait en arrière pour ne pas qu'ils la gênent. Son front était même dégagé, pour une fois on pouvait bien voir les traits de sa mine.

Elle appréciait sortir le soir, les décorations et les éclairages donnaient une ambiance chaleureuses aux rues assombries par la nuit. Voir des enfants et des familles profiter ensemble d'une sortie aussi banale suffisait à marquer un léger sourire sur le visage de la jeune femme.
Pour une fois, elle se baladait sans tout son équipement, elle se retrouvait sans défense sans son katana, elle n'avait même pas pris de petit surin vu qu'elle n'avait nul part où le garder dans sa tenue. Peu importait, elle voulait profiter d'un moment où elle pouvait penser à autre chose, sans préoccupation pour une quelconque inquiétude. L'heure du dîner avant sonné et elle avait hâte de goûter à autre chose qu'un repas sans saveur qu'elle avait l'habitude de se faire.
Le restaurant qu'elle avait choisi était convivial, pas mal de clients défilaient et l'ambiance était plutôt endiablée. Des groupes d'amis s'étaient réunis pour boire et rire ensemble. Elle était assise seule au milieu de la grande salle mais elle ne ressentait aucun embarras jusqu'à ce qu'elle croise le regard d'un groupe d'hommes dans le fond. Elle avait cru les voir sourire lorsqu'elle les a remarqués mais leur grimace avait un côté malsain pour elle. Elle préférait les ignorer et terminer son repas tranquillement malgré le fait qu'elle sentait des regards pesants.

Avant de rentrer, elle avait voulu faire un peu de marche dans le centre ville à l'air frais, ça ne pouvait qu'être bénin. La brise légère faisait flotter ses longs cheveux autour de ses épaules. Elle trainait le long des allées, tournant à chaque passage afin de côtoyer tous les endroits du village où il y avait un peu d'ambiance par les groupes de jeunes toujours dehors. Seulement, depuis un petit moment, elle avait la forte impression d'être observée et suivie. Elle voulait vérifier ses pensées en s'éloignant dans des ruelles moins fréquentées et uniquement éclairées par la lune de ce soir. Lorsqu'elle tournait à un croisement de deux rues, elle s'arrêta, se retournant pour voir si quelqu'un allait arriver face à elle. Après environ une trentaine de secondes, un groupe d'hommes arriva devant elle et ils avaient l'air surpris qu'elle soit tourné mais seulement le temps d'un bref moment, leurs sourires avaient vite fait leur apparition. Sans surprise, elle s'en doutait, c'était ceux du restaurant où elle était il y a une bonne heure de cela. Ils tenaient des bouteilles d'alcool avaient l'air de les avoir déjà bien entamées. Ils la répugnaient et elle s'apprêtait à partir en leur disant de la laisser tranquille mais ils étaient plus rapides à parler.

En entendant ses mots, la jeune femme ne pu contenir sa rage. Elle serrait le poing alors qu'ils riaient tous devant elle, la forte odeur d'alcool qui accompagnait la scène devenait insoutenable. Elle leva une jambe, donnant un fort coup de pied dans la bouteille qu'un des hommes tenait à ses lèvres, brisant le verre et faisant arroser l'homme de son liquide en prononçant un "gros porcs".

Qu'elle soirée je vous jure.. Ce jour là je terminais ma garde et j'avais décidé d'aller bouffer un petit morceaux au restaurants. Comme d'habitude les ruelles était bondée et les restaurant malgré l'hiver était toujours bondée eux aussi. Une soirée qui commençait plutôt bien, j'avais décidé de casser la croute un petit coup dans un restaurant au hasard. J'entrait dans l'un deux et une ambiance convivial s'en dégageait, des groupes d'amis s'amusait de part et d'autre de la salle, je m'asseyais au milieu de la salle en bout de table attendant un serveur. Alors que j'attendais le serveur, une jeune femme à ma gauche attira mon attention. Elle était belle et avait l'air décontracté, la question que je me posait était le pourquoi du comment elle déjeunait seule. Bon ce n'est pas grave après-tout beaucoup de gens aiment bien leur moment de solitude, mais alors que j'allais sortir un petit livre pour me démenez les méninges la jeune-femme assise au loin sortait de table et se dirigeait vers le comptoir du magasin, chose normal en somme sauf que étrangement un petit groupe qui se trouvait au fond de la salle murmurait un peu en sortant de table eux aussi en regardant justement la jeune femme. Simple coïncidences ? Peut-être mais je souhaitait vérifier par moi même.

Je me levais moi aussi pour suivre ce groupe d'hommes, le syndrome du preux chevalier était en moi ? Pas vraiment en vérité, mais j'était tout de même curieux. Je sortait du restaurant et regardais je repérais le groupe d'individu, effectivement je le repérais assez facilement à cause de deux d'entre eux qui boitait surement du à l'alcool. Je décidais de les suivre au loin pour ne pas éveillez les soupçon, il détournait leur chemin au niveau d'une ruelle avec moins de passage, tiens tiens.. Je continuais de les suivre savoir ou cela me mènerait.. Tiens donc.. La jeune femme de tout à l'heure avec ces mec ? Elle avait l'air de se faire agresser, voila quelque chose qui n'était pas tolérable au sein de Konoha. J'avançais tranquillement vers eux quand l'un des membres de la petite me voyait pour les prévenir, je leur montrait mon plus beau visage tout en joignant mes mains.



J'avais fait quelques mudras tout en marchant et quelque hirondelle de glace qui c'était crée dans le ciel fonçait vers ses hommes, toute les hirondelle se plantai au niveau de leur vêtement pour les faire tomber au sol et les immobilisez. Je m'accroupissais face à l'homme qui avait parler à la jeune-femme et je lui proposais un petit deal.

La jeune femme avait reculé de quelques pas, se préparant à un possible affrontement entre elle et les ivrognes qui l'écœuraient. Elle avait levé ses poings, prête à envoyer un crochet si jamais l'un d'eux engageait un mouvement. Elle ne voulait vraiment pas se battre aujourd'hui et encore moins ce soir sans arme mais elle était prête à se défendre malgré tout. L'un d'eux s'apprêtait à avancer vers elle lorsqu'ils remarquèrent tous une personne approchant de la ruelle d'en face. Leurs regards se tournait dans cette direction, il s'agissait d'un homme assez grand, vêtu simplement, marchant avec un grand sourire et un incroyable calme, il respirait presque la sérénité. Il semblait vouloir s'interposer entre elle et le groupe et instinctivement elle fit encore quelques pas en arrière, lui laissant le libre champ. Cependant, tout se passa très rapidement. L'inconnu effectua quelques mudras alors qu'elle eu à peine de le temps de comprendre ce qu'il se passait que les soûlards se retrouvaient tous cloués au sol sans qu'ils puissent bouger. Elle fut d'abord impressionnée puis admirative qu'une technique aussi incroyable puisse être maîtrisée. Elle le regardait s'agenouiller devant eux avant de s'approcher à son tour, donnant piétinant leur visage par pur vengeance et malice.

Disait-elle avant d'écraser leur visage encore plus fort contre le sol, leur faisant manger la poussière ainsi que les cailloux. Lorsqu'elle en eu assez et que les hommes ne puissent presque plus répondre, elle souffla un bon coup puis s'inclina devant l'homme qui était venu l'aider par pur politesse et respect.

A peine je me levait que la jeune-femme venait piétiner leur visage contre le sol, elle les fracassa pendant un bon moment avant de se stopper. j'aurais su je ne serais surement pas intervenus, elle avait l'air de savoir se battre et avait l'air d'être le genre de femme qui lorsqu'elle s'énervait il valait mieux se taire ou s'enfuir. Pourquoi les femmes dans ce village ou tous se des problème de nerf ? A croire qu'elle fessait le concours de la plus nerveuse.. Mais en fin de compte elle souffla un coup avant de s'incliner face à moi.



Elle me disait que la leçon n'était pas encore bien rentré dans leur tête.. Oui effectivement les femmes les plus belle de Konoha on un léger soucis psychologique, blague à part elle piétinait l'individu qui lui avait parler. Je m'asseyais sur un banc à coté des victimes regardant la jeune femme légèrement énervé de cette fait agresser.



Disait-je en envoyant valser un coup de pieds au visage de l'un des individu qui essayait de se cramponner au banc, comment de tel déchet pouvait vivre dans ce village, il aurait beaucoup plus leur place chez les consanguins.

Elle les regardait allongés comme des moins que rien au sol, un sentiment de satisfaction d'un retour de karma bien fait pour eux. Elle sortit un tissu dissimulé dans sa robe afin de se le passer sur ses bras et ses jambes ressentant comme de la saleté sur sa peau après les avoir touché. Elle secoua également ses longs cheveux bruns, voulant enlever toute la poussière dessus et la possible liqueur tombée sur eux.

La jeune femme s'étirait le corps, les bras vers le haut en respirant un bon coup de la brise fraîche de la soirée. Ayant retrouvé sa totale sérénité et son calme, elle se tourna vers le jeune homme assis sur le banc puis elle s'inclinait respectueusement devant lui.

Elle redressait lorsqu'elle vit un coup de pied envoyé au visage d'un des hommes au sol ce qui la fit esquisser un léger sourire d'allégresse. L'homme en face d'elle semblait être quelqu'un d'important au sein du village de part sa fonction, du moins, c'est ce qu'elle supposait après l'avoir entendu parler de torture.

Cela était assez amusant mais au final vu sa nervosité je pense que je n'avais pas intervenir, elle les aurai surement fracasser jusqu'à ce que mort s'en suive. Enfin ce n'est pas moi qui pleurerai pour des déchet pareille, mais bon partir en prison pour avoir tué des déchet ce n'est pas non plus quelque chose qui soit appréciable dans son ensemble.



La jeune-femme s'excusa de ces manières et m'annonçais son nom et prénom, ainsi donc elle était membres du clan de Hiruzen.. Je me demandais si elle était une réfugiée du clan ou une pur race comme lui, enfin cela n'était pas vraiment quelque chose à demandé et il aurait été malpoli de lui demander.



Elle s'excusait de nouveaux notamment pour avoir entre autre gâcher ma soirée, en soie il n'y a avait rien d'excusable la dedans et en plus j'avais pu m'échauffer un coup ce qui était sympa, ouais fracasser des gens ces cool !