Les retrouvaille.

Des semaines de marches pour un rien ? Oui et non, oui car le petit groupe qui allait attaquer le village des feuilles ne l'intéressait pas. Ma défaite contre mon fils m'avais bien remonté mais aujourd'hui j'était dans l'incapacité de me battre face à lui, et non car après avoir disparu de leur petit groupe je savais ou je pouvais aller. La était aussi l'un des objectif que je m'était fixée était de rendre visite à ma fille, voila des année que je ne l'avais pas vu et je savais que comme moi elle avait ouvert son propre bar à Kusa. Je me demandais bien qu'elle politique de abr elel avait choisis, pour ma part mon bar acceptait tout le monde et il était parfois amusant de voir des Kenketsu boire du sang alors que la table d'a coté se trouvait des samurais qui buvait leur bière, oui la politique était simple à l'intérieur pas de baston, à l'extérieur niquez vous la gueule j'en ai rien à foutre.

Je continuais de marcher sur le chemin traversant plaine après plaine, avant d'arriver face au bâtiments devant moi. C'était donc l'établissement de ma fille ? Et bien elle n'avait pas lésiné sur le look ni sur le coté charmant de l'extérieur, bien-sur pour un bar ce qui comptait c'était l'intérieur et voila que je marchais quelque marches avant d'ouvrir la porte et de m'engouffrer à l'intérieur. Le bar était vide ce qui était guère surprenant étant donné l'heure, un bruit de verre me fit tournez la tête. Nanami était passé par une porte et avais posé le carton sur le sol avant de me regarder. Je fonçais vers elle avant de lui sauter dessus pour embrasser ma fille chérie.

Aujourd'hui, tu avais pris la décision de changer une partie de ta verrerie. Ainsi, tu devais charger et décharger de lourds cartons. Autant dire que cela était un rôle pour Brutale. Alors, depuis ce matin, tu faisais de multiple aller-retour entre l'arrière salle et le bar, les bras charger. Tu avais profité de l'accalmie qui suivait le petit-déjeuner pour agir, avant le coup de feu du midi.Nous avions fait une bonne affaire à investissant dans ce lieu. Il était rapidement devenu le lieu de passage de nombreux marchands qui naviguait aux quatre coins du monde, mais également des divers ninjas qui quittait Konoha, et même de temps à autre, de Kumojin. Ainsi, notre auberge se montrait fluctuante. Basée sur deux étages, elle était composée de huit chambres, dont chacune d'entre elle possédait son propre bain. Mais, bien évidemment, qui disait chambre, disait forcément fille de joie pour accompagner les hommes durant leurs périples. Nous en disposions de deux dans notre établissement, sur qui on prélevait un pourcentage pour chaque passe effectuer entre nos murs. Nous leur offrions la sécurité et une clientèle facile, elles nous offraient de l'argent. C'était ainsi que fonctionnait tout commerce... Il nous arrivait également de finir dans l'une de ces chambres avec des hommes, mais, jamais contre de l'argent, par simple plaisir...

Toujours était-il que lors de ton dernier aller-retour, tu fis prise de surprise. Au seuil de la porte trônait Ginga. Je me devais d'agir rapidement afin de ne pas la décevoir. Un accueil de Brutale n'était pas des plus chaleureux, d'autant plus lorsque cela faisait trois années que vous aviez pas vu votre mère. Alors, j'offris notre corps à Affectif, elle, saurait comment accueillir notre mère.

Alors, je t'observais Affectif tapis dans l'ombre de ton -notre- esprit. Et à peine eu tu le temps de prendre place que tu reçu notre mère au dans tes bras. Tu croulais sous ses baisers et ceci te fit naître un large sourire.



Longtemps, oui c'était le cas, trois années. Ginga, notre mère, vivait dans le nord, dans la fraîcheur qu'était la cité de Aisu. Elle aussi tenait une auberge et c'était là-bas que nous avions tout appris du métier. J'avais hâte que Affectif lui face faire le tour du propriétaire. J'avais hâte, car c'était moi-même qui avait tout mit en place afin que nous puissions trouver notre paix ici...



Tu étais toute excité à l'idée de voir notre mère, et te voir si rayonnante me comblait également de joie... Tu lâchais notre mère de tes bras pour reculer d'un pas et la regarder sous tout les angles. Tu l'as trouvais belle...

J'embrassais de toute part ma fille, j'était tellement heureuse de la revoir que quelques larmes m'échappèrent. Je portait en moi un certain amour pour ma fille, je l'avais élevé des année avant qu'elle ne parte ici à Kusa. Malheureusement pour moi la relation que j'avais avec mon fils n'était pas la même, mais au final j'avais quand même ma fille qui était juste splendide. Je répondais petit à petit a ses question en évitant de perdre le fil.



J'écoutait ces paroles et quelque fois il lui arrivait encore de parlez de façon bizarre, il était amusant de savoir que ce problème durait déja depuis sa naissance, bien sur pour moi je n'ai jamais eu de problème mais disons que des inconnus malheureusement c'était frotter à ce problème et au final n'était plus la pour en parler. Je levais les mains pour lui dire de ralentir, elle avait l'air extrêmement enthousiasme que je soit la et malheureusement Affectif le fessait bien savoir.



Elle me lâchait et reculait un peu, je la regardait de tout les bout et j'était fière de l'avoir pour fille, elle était une jeune-femme tout simplement magnifique. J'avais fait naitre des enfant douée d'une grande beauté et d'une grande force, souriant alors à ma fille je lui demandait.

Notre mère venait d'avouer qu'à l'origine de sa descende vers le sud, se tramait la volonté de voir notre frère en priorité. Heureusement que Affectif n'était pas jalouse, car il me semblait davantage cohérent que passer dans un premier temps par l'auberge de sa fille qui aurait pu être une étape dans son voyage... Mais qu'importait, Affectif était heureuse de serrer sa génitrice dans ses bras, et cela me comblait suffisamment de bonheur.



Tu écoutais ta mère te prodiguer des conseils au sujet de l'auberge. Elle possédait de nombreuses connaissances dans ce domaine-là, elle était tenancière d'auberge depuis bien de nombreuses années désormais. Alors, lorsqu'elle évoqua le fait de posséder également d'un homme vendant son corps auprès de la gente féminine en mission pour les villages militaires, je regrettais de ne pas y avoir pensé par moi-même avant... Et je savais qu'Affectif ferait passer ce même message.



Et je te regardai sautiller sur place lorsque notre mère accepta de prendre une de nos chambres pour plusieurs nuits. Rien n'aurait pu lui faire davantage plaisir que de posséder de plusieurs jours en compagnie d'elle. Tu étais comme ça Affectif, enjoué par des choses simples que nous offraient les relations humaines...



Tu faisais faire le tour du propriétaire à notre mère, toutes les pièces étaient passé en revu par l'oeil experte de celle-ci et chacune d'entre elle avait le droit à un conseil. Le salon, la salle de repas, le bar, les chambres, la cuisine, la cave, tout, aucune des pièces ne passait à la trappe jusqu'à votre retour au bar, où tu passas derrière celui-ci et attrapa l'un des bouteilles.



Je te regardais débouchonner avec délicatesse la bouteille et verser le liquide dans deux verres différents avant de reprendre.

Ainsi donc elle l'avait vu il y'a plus d'un an.. Cette nouvelle je ne savais pas comment la prendre, aujourd'hui je souhaitait la paix avec lui mais jamais il n'accepterais. Même si je sais que Nanami et lui s'appréciait énormément je pense qu'il n'aurait pas apprécié ma présence, je finissais par soupirer et sourire face à ma petite chérie. Alors que j'écoutait ses dires elle me confirma qu'elle appréciait mes conseil, bien-sur ces paroles était assez compliqué à comprendre pour un étranger mais depuis son plus jeune-âge il était compliqué de vivre avec plusieurs-personnalité. Enfin ma fille me fit le tour du propriétaire et j'était impressionnée par tout le travail qu'elle avait effectuée..



Elle avait écouté mes conseil de l'époque et les avait pratiquer au sein de son auberge, en passant de pièces en pièces je me sentait comme chez moi et j'était fière de voir ce qu'elle était devenue. Nous revînmes au bar et Nanami sortit du vin de groseilles, mon dieu ma fille était parfaite en tout point. Elle me versait un verre avant de me demander si il y'avait des anecdotes sur le nord.