Mais qui est cet homme... ?


Une nouvelle fois sur Konoha, le voile glacial et parsemé d’étoiles faisait s’abattre la nuit noire sur les habitants de ce village riche en activités et bondé de flux de chairs entrants ainsi que sortants dans le centre-ville, afin de vaquer à leur différentes occupations aussi variées ainsi que nombreuses qu’il semblait y avoir de cristaux de glace. Des flocons de neige saupoudrant le village épuré ainsi que les différentes structures le meublant, et pourtant cela ne semblait pas suffire pour retenir les villageois hors de chez eux ni même aux enfants de conserver leur chaleureuse joie de vivre; jusqu’à ce que l’astre au front d’argent ne décoche ses flèches argentées annonciatrices d’un silence profond.

C’est dans cette ambiance calme où les brouhahas s’estompaient lentement tels les flocons de neige qui se posaient sur la surface de contact du sol, où les regroupements s’éparpillaient dans différentes directions qu’un homme fit son apparition.
En effet, si le silence s’imposait progressivement dans les rues marchandes de Konoha c’est à ce même endroit qu’un son aigu mais perçant retentit dans l’air : un faucon pèlerin venait de dévoiler sa présence.

Par la même occasion et étonnamment, allant dans le sens contraire de la masse qui rentrait chez soi, se trouvait une silhouette aussi intriguante que son arrivée. Typique chapeau de vagabond en paille sur la tête, un long kimono aussi blanc que l’astre lunaire et aux avants-bras ainsi que la moitié des tibias resserrés par des bandages, si l’homme surprenait c’était bien par sa carrure : sans être abusive, elle semblait être taillée par les mains de sculpteurs chevronnés. Rajoutez à cela la tenue vestimentaire rappelant celle de maîtres d’arts martiaux, et vous obtiendrez l’homme dont les vêtements ainsi que la chevelure flottaient au gré du vent, un homme qui semblait être observé par la Nature elle-même de par le cri de la bête volatile ainsi que de la Lune qui observait, silencieuse. Est-ce qu’un monstre qui sera un véritable danger pour le monde shinobi venait de débarquer dans Konoha comme pour attirer l’attention de tous ces éléments, ou était-ce le contraire ? Voire peut-être rien du tout et tout cela n’était qu’idées fugaces ?

Les plus suspicieux et méfiants rythmaient leur murmures à l’ascension de l’homme qui semblait attirer l’attention, sans pour autant briser le calme régnant dans la ville comme si la présence seule de l’homme suffisait à faire régner l’harmonie entre la loi de la Nature ainsi que ces hommes. D’autres se diront que ce n’est qu’un inconnu. Le mystère planant aussi bien sur lui que son chapeau plongé le haut de son visage dans les ténèbres, le masquant, il finit par atteindre sa destination : le seul restaurant encore ouvert en cette fin de soirée.

Le restaurant était manifestement plutôt vide, mais cela n’avait pas l’air de déranger notre shinobi errant qui portait toujours ce sac qui contenait on ne sait quoi, sur son épaule. A vrai dire ce serait même mal le connaître de penser que ce n’était qu’un simple hasard son arrivée à cette heure-ci.


Dialogue de personnage
« Oy, oy. Un thé avec des nouilles si ce n’est pas trop te demander, l’ami. »


L’homme derrière le comptoir n’eut même pas besoin de se retourner qu’à l’entente de cette voix, il se mit à sourire répondant instinctivement au sourire qui se faisait ressentir dans le timbre de la voix de celui qui venait d’arriver. Tous les deux étaient apparemment des bonnes connaissances et s’il le reconnut immédiatement, c’était bel et bien parce que cette voix à la fois las mais aussi éloquente, portante et en même temps douce, donnait l’impression à elle seule de témoigner de la maîtrise et du savoir dont faisait preuve celui que certains considéraient comme étant « l’érudit » dans bien des domaines, le chapeau doucement retiré, se dévoilait finalement aux yeux de son ami un homme dont le regard perçant donnait l’impression qu’il lisait en vous comme dans un livre ouvert; rares sont ceux qu’il connaissait provoquant de telles sensations avec si peu de choses : nous parlons bien évidemment du Dragon qui venait pour se nourrir :

Dialogue de personnage
« Yooo, ici Ryu ! Haha »


HRP : https://youtu.be/HV2h2c0U3UU

Publié le 06 Avril 2021 vers 00h

1

Une fille dans un bras, une fille dans l'autre, je suis aux anges. Que demander de plus sincèrement ? La vie n'est qu'amour et l'amour n'est que vie. Ces deux filles que j'avais croisé lors d'une balade matinale m'avait proposé de jouer avec elles au ballon. Alors en bon gentleman que j'étais je n'avais pu refuser l'offre. Jouant toute l'après midi ensemble, fatigués nous étions parti à la recherche de rafraîchissements. Dehors, la nuit est tombée et je me réjoui déjà de la tournure des évènements. Mon charme les avaient conquis toutes les deux et je comptais bien sur cette qualité qui m'était propre pour leur faire payer la note. Et puis si elles sont toujours partantes je leurs proposerais ensuite d'aller faire un tour chez moi. Et ensuite adviendra ce qu'il adviendra...hein ? Commandant une petite bouteille de saké au serveur je me charge d'en remplir les verres de mes adoratrices. L'alcool est un bon moyen pour se lâcher et je comptais sur ça pour pouvoir profiter des jolies courbes que m'offraient ces demoiselles. Miam...j'en ai l'eau à la bouche maintenant. Sur ma droite, j'entend la voix douce et sensuelle de la plus jeune des deux. Enfin, "la plus jeune".... elle avait quand même deux ans de plus que moi, mais j'avais appris au cours de mes nombreuses aventures que les femmes matures étaient bien meilleurs au lit.

Dialogue de personnage
« Seiji....quel homme charmant tu es. Si je pouvais je t'épouserai sur le champ...hum... »


Et bien dis donc...voilà en une qui ne tient pas l'alcool. Elle voyait en moi un prince charmant, je voyais en elle une pute. Deux visions différentes mais une seule réaliste. Et puis franchement, tout ce qui est fidélité me répugner. La fidélité c'est les chaînes de ma liberté alors moi vivant je me marierai jamais. Néanmoins, il était peut-être temps d'aborder la question de venir chez moi :
Dialogue de personnage
« Pourquoi ne pas me faire ta déclaration chez moi ? J'habite pas très loin si vous voulez et puis il y a la place pour que vous puissiez dormir. »


En guise de réponse, un vent froid me parcourt la nuque. Signe que quelqu'un vient de rentrer dans le petit cabaret. J'avais vraiment l'impression ces derniers temps que ce village était peuplé de somnambules. Ne peut-on donc pas connaître la tranquillité ? Même lorsque je faisais mes petites affaires dans un jardin il y avait toujours un ou deux passants promenant son chien qui traînait dans les alentours. Tournant la tête vers la porte d'entrée je vois aux premiers abord un chapeau de paille. Puis descendant les yeux, un kimono blanc dont la poussière avait épargné. Pas besoin d'en regarder plus, je sais très bien à qui j'ai affaire : mon unique cousin. Ryu. Bizarre qu'il était je me devais d'aller le saluer. Petit, il nous arrivait d'aller nous entraîner ensemble. Silencieux, il pouvait se montrer dur quand il le fallait et c'est souvent la tête dans la poussière que je finissais lors de nos affrontements. En même temps, il était bien plus âgé que moi… de quatre ans si je ne me trompe pas non ? Repoussant ma compagnie féminine je me lève, les jambes toutes engourdies. Déjà assis, je lui tapote le dos et de ma grande voix amicale je lui dis :

Dialogue de personnage
« Et bien dis donc qu'est ce que tu fais là cousin ? Ça fait bien longtemps que nous nous étions pas vu ! Tu deviens quoi après tout ce temps ? »


Malgré que je lui avais posé la question, j'espérais qu'il ne m'étalerai pas toute sa vie. J'avais deux filles à combler et sa présence ici ne faisait que retarder le sexe qui m'était destiné.

Publié le 07 Avril 2021 vers 12h


La shinrin n'était pas dans son élément, suite à sa précédente aventure en forêt. Les supérieurs l'avaient mise sur la touche, mais elle pouvait être encore utile pour Konoha. Malgré qu'elle soit blessée partiellement, elle voulait protéger le village et elle obtenait l'autorisation d'épauler les forces de police. Toutefois, elle devait intervenir uniquement si parmi les faiseurs de troubles il y avait des pratiquants qui utilisaient du chakra. La kunoichi était légèrement en retrait pour ne pas se faire remarquer ou l'écart. Cette fois-ci elle décidait de faire venir son ami particulier sous sa forme animale. Elle exécutait plusieurs shundras et elle posait sa main sur le sol. Plusieurs lignes sous forme d'encre avec le langage particulier qui créeaient une sorte de toile d'araignée. Il eut ensuite un petit nuage d'explosion et un petit chat avec une tenue bleue apparut devant elle.

Les keisatsukan avaient repéré un déplacement particulier d'un être qui masquait son visage qui marchait dans le sens inverse de la population qui allait rentré chez elle. Sur le moment ils attendaient un peu de voir qu'allait faire cette personne dans ce lieu de Konoha. La shinrin demandait aux keisatsukan d'encercler le suspect à distance en communiquant avec les mains. Elle indiquait sa stratégie de manière muette pour ne pas divulguer sa position et elle ne connaissait pas les capacités de l'individu. Toutefois, elle ne commandait pas ceux-ci et elle leur donnait juste une suggestion. Elle prenait cette situation comme un bon moyen de se confronter une fois de plus à la réalité du terrain. Celui-ci se dirigeait vers le dernier restaurant encore ouvert et elle le voyait entrer à l'intérieur. Elle arrivait sur les lieux quelques mètres plus loin et elle proposait de servir comme lanceuse d'alerte aux keisatsukan. Elle pouvait se faire passer pour une habitante qui marchait avec son chat. Celui-ci l'enroulait autour de cour et elle qui venait prendre un plat à emporter.

Son ami particulier avait dû se dévêtir pour ne pas attirer l'attention, qu'il était un neko-ninja. Elle rentrait juste au moment de la commande de Ryu et elle le voyait en compagnie d'un autre homme. Elle manifestait sa présence par une salutation polie et elle demandait un plat à emporter au gérant du restaurant.

Publié le 07 Avril 2021 vers 20h


Manifestement plus le temps passait et plus les regards se posaient sur sa personne. Telle une étoile les gens avaient tendance à penser être tout à fait proches de lui, intrigués par sa personne, quand en tendant la main ils se rendent compte de la distance qui les sépare en réalité. Un véritable aimant, il attirait donc l’attention des personnes environnantes et c’est précisément l’une des raisons pour lesquelles il avait choisi de se manifester en pleine nuit, loin de tous.
Car oui il était de nature solitaire, et en attendant que sa commande vienne jusqu’à lui il patientait tranquillement dans son coin, le postérieur arrondi, aussi bien formé que le reste de son corps posé sur la surface de contact boisée du tabouret. Ses puissants bras croisés contre ses pectoraux faisaient ressortir les muscles de ses avants-bras fermes, puisque malgré les vêtements présents sur lui son corps était suffisamment bien dessiné comme pour remplir le vide entre le tissu et le muscle du moins en ce qui concerne une bonne partie de son corps. Son chapeau de paille chutant à son dos et maintenu ainsi en équilibre par un filet présent au niveau du cou de Ryu, l’enroulant d’ailleurs, il n’avait pas prêté attention aux femmes qui se trouvaient d’un autre côté du restaurant : il avait une ligne de conduite à respecter, des principes ainsi que des valeurs en tête. D’ailleurs, il n’avait prêté attention à personne encore bien qu’il était entré avec le sourire afin de montrer qu’il restait tout à fait de bonne compagnie. Mais, plongé dans ses réflexions, le regard perdu dans le vide les traits de son visage étaient pourtant durcis, signe d’une concentration plutôt grande, faisant même limite abstraction de tout ce qu’il y avait autour de lui; jusqu’à ce qu’une tape au dos ne l’extirpe de là. Immédiatement alors il releva ses iris noisettes en direction de la source de cela, et en croisant le regard de son cousin les traits de son visage cédèrent leur place pour un aspect largement plus convivial, souriant ainsi que chaleureux : venant même à se redresser pour, une fois debout, lui empoigner fermement son avant-bras en guise de salut, son autre main venant quant à elle tapoter amicalement son épaule.


- Mais regardez qui voilà ! Hahaha ! Bah écoute je vais comme d’habitude, rien de bien nouveau je ressors de mon entraînement et toi alors ?

Avant que son interlocuteur ne lui réponde il passa sa seule pupille visible par dessus son épaule -à toi- de par la mèche de sa chevelure qui masquait l’autre œil, et remarqua sans plus tarder la gente féminine qui l’accompagnait comme il avait l’air d’avoir pris l’habitude de faire. Son cousin possédait de son sang, il avait des prédispositions prodigieuses en combat et s’il ne se mêlait habituellement pas des affaires d’autrui, il prit tout de même le temps de taquiner un petit peu celles de son cousin, afin de lui faire rappeler au moins les priorités dans la vie, mais aussi pour le titiller gentiment. Ainsi, il laissa s’échapper ces quelques mots d’entre ses lèvres plutôt sèches pour qu’ils parviennent jusqu’aux tympans de celles qu’il regardait dorénavant :

- Eh bien, salutations à vous ! J’imagine qu’il vous a fait son fameux coup du sport puis une fois épuisées, et séduites par ses performances sportives, le saké pour ensuite tirer un coup le soir et s’en aller ? Faudrait penser à changer de disque tu sais ?

Dit le Chikara tandis que ses pupilles passèrent des jeunes filles à son cousin. Après l’avoir mis dans cette situation plus délicate que précédemment, il lui fit un clin d’œil afin de lui souhaiter bonne chance avec un sourire présent à la commissure de ses lèvres, sourire lui-même trôné par des fossettes qui ornaient naturellement bien sa joue. Ceci dit, alors qu’il s’était repositionné face au comptoir mais debout cette fois, une main toujours présente sur le filet tenant son sac par dessus son épaule carrée, en l’attente de sa commande, qu’elle fut sa surprise lorsqu’il sentit un doux mais agréable parfum féminin lui parcourir les cavités nasales. Instinctivement alors il observa du coin de son œil la source de cette agréable sensation : une longue ainsi que soyeuse chevelure sombre, des silhouettes bien dessinées mais aussi et surtout un visage, et précisément un regard, qui ne lui donnait que deux impressions : en plus d’être charmante elle dégageait une certaine « expérience » comme si son chakra plus élevé que la norme s’exprimait naturellement, chez elle. C’est suite à cela qu’il répondit à son salut d’un faible signe de la tête de haut en bas, en guise aussi de salutation, le tout accompagné d’un fin mais sincère sourire. Assurément il n’avait pas manqué de remarquer l’animal présent autour de son cou -si c’est bien le cas- et le salua à son tour de sa voix posée, suave et maîtrisée comme pour ne déranger personne.

- Coucou toi aussi.

Effectivement il se montrait respectueux aussi bien envers les animaux qu’envers les hommes. Restant après cela silencieux, il fit mine de rien, laissant ses interlocuteurs essayer de deviner ce à quoi il pouvait bien penser, plus ou moins de profil à la brune il gardait ainsi un œil sur elle, le comptoir pour sa commande mais aussi son cousin face à lui; sans les regarder pour autant, puisqu’il profitait de ce moment de silence pour se masser la nuque. S’entraîner intensément ça a ses conséquences.

Publié le 08 Avril 2021 vers 12h

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Il n'avait pas changé. Toujours cet air sympathique mais distant qui vous donne à la fois l'impression d'être un ami et à la fois un étranger.
Je devais admettre que sa simple présence à vos côtés donnait ce sentiment d'être écarté de toutes menaces. Un peu comme si ses gros bras musclés et ses pectoraux bien fermes, vous entourés d'un bouclier de fer. Cependant, je n'étais présentement pas en danger, mais plutôt en rencard, et sa façon, de se comporter avec moi décrédibilisait mon image d'adolescent indépendant et respecté. Désireux d'en finir le plus vite, je le repoussai gentiment. Je n'étais plus un bébé. Une poigne d'hommes à hommes aurait largement suffi, mais cela faisait bien longtemps que nous ne nous étions pas vus, et son attitude pouvait se comprendre.

Dialogue de personnage
« Un peu pareil que toi…. L'entraînement tout ça... La routine quoi ! »


Quel mensonge était-ce ! La seule routine que je connaissais était constituée de filles. Les entraînements et les missions étaient le dernier de mes soucis et n'étant pas dupe, je doutais qu'il sût que je mentais. J'espérais cependant de tout mon cœur qu'il ne se mêlerait pas à mes petites affaires. Les gens sont parfois trop curieux. Surtout lorsqu'il s'agissait de femmes et d'amour. Mais là c'était différent, c'était mon cousin tout de même ! Il sait pertinemment qu'une occasion comme ça ce n'étaient pas tous les jours que ça arrivait !

Lisant dans mes pensées, il fit exactement ce que je craignis. S'adressant directement aux deux filles, j'enrageai. Qu'est-ce qu'il m'avait pris d'aller lui passer le bonsoir ? La prochaine, pour sûr que je m'abstiendrai. Certes, j'utilisais la même disquette depuis bientôt quelques années, mais elle faisait ses preuves. Il n'y avait qu'à voir ces jeunes demoiselles qui attendaient patiemment mon retour pour le comprendre. Mais non ! Il avait fallu que mon cousin pourtant plus vieux que moi se mêle de mes relations ! D'un rire forcé, je me tournai vers mes compagnes leur indiquant de m'attendre dehors. Il était hors de question qu'elles restent une minute de plus en sa compagnie.

Légèrement agacé et maintenant parties, je fus obligé de payer l'addition, soit 27P$. Ce qui équivalait déjà à une grosse dépense pour moi. Une statuette se vendait au grand maximum à 9P$ sur le marché, n'en vendant que 3 ou 4 par week-end cette somme représentait beaucoup pour moi. J'allais devoir essayer les prochains jours d'aller manger ou squatter chez quelques copines. Dans tous les cas, je trouverais bien une solution.

Sortant de ma poche deux billets froissés et quelques pièces, je les donnai au serveur qui la main tendue s'occupait du plat de mon cousin. Il était grand temps pour moi de m'en aller. Saluant d'un hochement de tête Ryu, je sortis d'un pas rapide par la porte d'entrée rejoignant alors la nuit noire et les deux filles encore dans leur état d'éthylisme.


HRP : Merci pour le RP ! Je vous laisse entre vous !

Publié le 09 Avril 2021 vers 17h



Elle avait regardé brièvement les deux hommes et elle commençait avoir quelques informations par l'observation. Le suspect et son homologue avaient une certaine ressemblance, car elle voyaient un trait commun. Toutefois, elle n'arrivait pas le déterminer et elle commençait par les traits physiques. Cela lui permettrait peut-être de savoir quel clan ils appartenaient et elle listait les clans avec leurs spécificités physiques. Elle pouvait éliminer les uzumaki et Tarashitan à cause de leurs couleurs bien distinctes. Le premier était leur cheveux roux et le second se définissait par un teint mat. Elle pouvait enlever aussi les Gaikotsu avec les cheveux blanc et il lui restait les Kittos, Chikara.

Elle avait réduit l'information pour déduire le clan, mais les deux derniers clans n'avaient pas détails physiques marquants sauf pour les Kitto. Toutefois, quand on voyait leur œil violet, cela signifiait que l'on était sous leur pouvoir clanique. Néanmoins, elle pouvait dire que notre suspect n'était pas un étranger et il ne représentait pas une menace. Elle devait prévenir les Keisatsukan à l'extérieur et son ami particulier allait l'aider. Son repas l'attendait, quand elle voyait les deux hommes se séparer, car le second sortait du restaurant. Elle allait payer son repas, mais elle faisait d'être fatiguée et elle s'étirait. Cela réveillait le chat qui chutait, mais il se rattrapait sur ses pattes et il poussait un miaulement de colère. Il partait en direction de la sortie à toute vitesse, la Shinrin faisait mine de se retourner, mais son compagnon commençait à détaller. Elle donnait l'impression de n'être pas assez rapide pour se retourner et rattraper son ami particulier qui laissait une bonne marge de distance entre eux.

HRP : Ps : le prochain sera le dernier pour moi ^^.






















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Publié le 18 Avril 2021 vers 16h