Trouver sa voie (mission:D): Second stage

Après une nuit mouvementée,je décidais de continuer ma session d'observation avec practique avec les Shōbōshi . Ils étaient les sauveurs ultimes contre le feu et quelques fois les genins comme moi l'oubliaient un peu. J'expliquais de nouveau ma démarche auprès d'autres sempais et ils acceptaient de me recevoir dans leur bâtiment. Je devais commencer le lendemain de très tôt, toutefois j'avais l'habitude de me lever de bonne heure quand j'étais à l'hôpital. J'essayais de me rappeler si j'avais déjà assisté à un incendie et la réponse était non. Je demandais à ma mère et elle s'en souvenait un. Il se passait quand elle était très jeune et le feu était signalé dans une maison. Les Shōbōshi étaient venus rapidement et tout le monde fut sauvé, mais l'habitation n'était plus habitable.

Je dormais de bonne heure, car je ne voulais pas avoir le visage fatiguée. J'avais préparé mon sac et à l'intérieur il y avait un bloc note, un plume, pot à encre. J'avais emporté aussi un petit encas pour le repas du midi. Je commençais à rêver à me prendre pour une Shōbōshi qui combattait le feu avec la tenue typique. Toutefois j'allais vite déchanté le lendemain.

Le jour J était arrivé et j'étais toute excitée de commencer mon second stage. J'espérais qu'il se passerait aussi bien que le premier et je trouvais ma voie en étant aussi une Shōbōshi. Je partais très tôt le matin et j'arrivais devant le bâtiment. Un sempai m'attendait et il me saluait courtoisement, mais il me dévisageait un peu. Je ne f aisais pas attention à son attitude et je lui demandais ce que nous allions faire cette matinée. Il me lançait une question qui allait plomber ma motivation un peu plus tard :

«  Quelle est ton affinité, genin ? »

Je fus surprise par la question qui me semblait banale, mais je ne doutais pas que ma réponse remettait en cause ma présence dans ce bâtiment. Je répondais fièrement :



Quand le sempai entendit ma réponse et il eut un accès de colère dans ces yeux. Il dégainait maintenant sa réaction en me parlant avec une voix forte :

«  Tu n'est pas la bienvenue, ici. Tu est notre ennemi, retourne chez toi »

Je ne versais pas de larmes, mais j'avais la rage. Je partais en courant et je me dirigeais vers le bureau des responsables, cependant il n'y avait pas personne à cette heure. Je décidais de ne pas tenir compte de la remarque de ce sempai. Je rejoignais les autres sempais et nous partions pour une intervention. Une sempai m'expliquait les actes des autres sempais qui éteignaient un petit feu. En fin de journée je décidais de lui parler de l'incident et elle m'indiquait que je devrais peut-être avoir une affinité plus compatible avec ce métier. Je la remerciais de cette réponse, mais j'étais très malheureuse. A la maison, le soir je réfléchissais fortement sur le fait ou pas de revenir là-bas.

Je me levais de bonheur, mais j'avais de sacrées cernes à cause de ma réflexion nocturne. J'avais pris une décision sur la suite ou non de mon second stage. J'avais pris un petit de recul et je me rendais compte que le sempai avait raison en quelque sorte, mais il n'avait pas prit de pincettes avec moi. Je décidais de me diriger vers le bâtiment des Shōbōshi et je décidais d'annoncer la fin de mon stage. Les responsables étaient surpris, mais ils comprenaient ma décision quand je leur parlais mon affinité. Ils précisaient qu'ils n'avaient pas évoquer cet aspect de ce métier pour ne pas me démotiver dans ma recherche de ma voie. Toutefois, je leur disais que je n'avais pas fini mon stage car il me restait à voir une troisième métier important à Konoha. Ils furent ravis de voir que j'avais une forte détermination. J'avais un petit moment de pause dans l'après-midi et je me dirigeais vers le centre d'entrainement pour concentrer mon esprit. Il eut une conversation intéressante sur mon chemin entre deux habitants du village, car ils parlaient des métiers qui nous protégeaient de l'extérieur comme les Shinrins notamment dans la forêt. J'eus une petite curiosité qui me traversait et je cherchais du regard si il y avait un shinobi ou une kunoichi avec le poncho. J'en voyais une au loin quand j'arrivais aux environs des portes d'entrée du village. Je passais facilement en me faufillant dans un chariot qui partait pour l'extérieur.