[ Nous te souhaitons un joyeux anniversaire ]

Tout le monde ne parlait plus que de ça. Aujourd'hui était un évènement spécial puisqu'il s'agissait de l'anniversaire de l'Hogake. Plus exactement de Chikara Heiwa pour les plus intimes et nous n'en faisions absolument pas parti. Nous approchions à grand pas jusqu'au bureau de notre cheffe à tous avant d'apercevoir qu'un shinobi surveillait les lieux.


Disait-il bien avant de s'apercevoir que nous tenions une Amaryllis rouge joliment ornée et décorée entre nos mains. Nous étions là dans l'unique but de participer pour offrir un présent à Heiwa. Sa secrétaire avait tout manigancé et faisait en sorte que cette dernière n'était pas présente le jour de son anniversaire, ce qui pouvait permettre à tout ceux qui souhaitaient de passer faire un détour par son bureau afin d'y déposer notre présent.


Les mimiques de l'individu indiquait que notre présence et notre façon de parler était, comme à son habitude, dérangeante. Fort heureusement pour lui nous ne restions pas éternellement dans le bureau. Après avoir ouvert la porte nous placions notre cadeau sur le bureau de la belle Chikara. Un cahier était entreposé et nous pouvions y noté un petit mot pour signaler notre passage. Prenant le stylo, nous commencions à écrire:


Nous n'étions pas très douées pour ce genre de petites attentions, mais cela était déjà bien suffisant. Pour l'heure nous quittions les lieux et ne tardions pas à sortir sous l'œil avisé du policier.

La mère haussa alors les épaules et fit signe à l'homme aux portes du bureau.







Akiko se mit alors à rire en faisant un sourire studieux au policier. Hinae s'approcha de l'espace réservé aux cadeaux et y déposa une petite boîte. Celle-ci contenait une carte en or pour avoir des repas illimités chez Daichi Ramen pendant 1 an ainsi que des coupons de réduction pour faire venir ses amis.


Daichi était heureux de sa propre idée, Hinae souriait gentiment à la remarque de son père et alla écrire un petit mot dans le carnet : " Hinae, Daichi et les enfants Gaikotsu sont heureux de vous souhaiter un bon anniversaire ". Elle se mit alors à regarder Akiko en train de poser sa boîte étrange :

La jeune fille repositionnait les éléments autour de sa petite cage en bambou. Au sein de celle-ci, un criquet ne rêvait que d'une chose ; sortir. Akiko était une fan des insectes et en offrir un au Hokage était une obligation. Dans son esprit, elle ressentait comme un sentiment bien étrange et contraire à sa folie habituelle... Sans réellement comprendre la raison de cela, elle avait peur de la Hokage et semblait la considérer comme une potentielle ennemie... Elle le savait, ce n'était qu'un pressentiment étrange, mais elle n'arrivait pas à le mettre de côté. Après avoir avalé sa salive, elle dit alors à sa mère :


Elle se leva et dirigea vers la sortie. Elle regarda alors le policier et lui dit :


Elle se mit alors à courir en direction de la sortie du bâtiment.


Comme à son habitude, le vieillard se moquait de sa fille, mais il savait parfaitement qu'il était coupable des actions de sa fille en riant de la sorte.

Aujourd'hui est un grand jour et le médecin décide de faire un petit détour pour passer au ministère afin de déposer un petit présent à la Hokage. Il n'avait pas vraiment eu le temps de faire mieux qu'un bouquet de fleurs. Il ne voyait pas vraiment quoi lui offrir pour être franc, autant Ren était facile à lire, une bouteille d’alcool et elle est contente. Mais Heiwa était bien plus sur la réserve mine de rien. Il avait donc opté pour un cadeau banal mais toujours efficace. Il passe donc au fleuriste prendre un assortiment de fleurs bien trop gros et se balade dans le village jusqu’à arriver aux portes. Il n’était pas le seul à avoir eu cette idée et voyait une petite file d’attente se faire. Il était patient, mais pas quand il s’agissait de rentrer chez lui pour se reposer, il décide donc de contourner le bâtiment pour passer par la fenêtre de la salle faite pour le dépôt de cadeaux. Il prend soin de ne pas faire de bruit en rentrant et voit le tas de présent dans la salle et est pour le moins étonné d’en voir autant. Il est toujours plaisant de voir que les gens apprécient la dirigeante. Il pose alors son cadeau et y accroche le petit mot de joyeux anniversaire avec sa signature avant de fermer la fenêtre et se diriger vers la porte pour sortir comme si de rien était.

Tu cours depuis quelques minutes à travers Konoha, manquant au passage de renverser certains passant au détour d’une ruelle… Tu te contentes d’un grand sourire et d’un signe de la main pour t’excuser. Pas de temps à perdre aujourd’hui, c’était l’anniversaire de votre très chère Hokage. En plus d’occuper ce poste d’importance, cette femme était également ton modèle, il n’y avait rien de plus important que de lui offrir un cadeau. Mais qu’offrir à une femme de ce rang ? Tu n’étais déjà pas bien douée pour offrir quelque chose, mais en plus tu manquais de moyen… Pour une fois ta propre mère eu la bienséance de mettre la main au porte monnaie, chose rare.
Tu arrives près du bâtiment et la première chose que tu vois c’est cette looooooooongue file d’attente. Hors de question que tu poireautes pendant une heure, tu dépasses tout le monde jusqu’à arriver à l’entrée du bâtiment.





Dis-tu en l’écartant de ton chemin. Cette homme n’avait aucune autorité décidément, quelle idée de le choisir pour garder l’entrée ?



Tu te retrouves devant la montagne de cadeaux destinés à la Hokage. Où déposer ton petit paquet ? Il passerait inaperçu au milieu de tout ceux-là… Tu le places finalement au pied du tas, avec de la chance elle l’ouvrirait peut-être. Ton petit paquet contenant une chevalière en argent ornée de petites pierres précieuses. Il faut dire que ta mère n’avait était doucement sur la dépense. Un petit mot des plus banal est attaché à celui-ci.

«De la part de Kitto Hegi, Kyoko et Eiko. Nous vous souhaitons un joyeux anniversaire ainsi qu’une vie longue et prospère.»

C’était un peu simple, mais ce n’était pas toi qui avait eu la chance de le rédiger, à choisir tu y aurais inscrit un millier de compliments, mais bon, il faut croire que ta mère ne possédait la même admiration que toi envers elle.

La Chikara ne comprenait pas vraiment le raisonnement du policier et l'observait longuement avant que ce dernier interrompait ce silence gênant.


Reona continuait de fixer l'homme d'un air totalement désabusé. Mais que cherchait-il ? Ce n'était pas le genre de la blonde, donc s'il pouvait éviter de lui adresser la parole ce serait encore mieux ! Elle ne daignait de ne pas répondre au final et s'avançait jusqu'au bureau pour y déposer une jolie boite très ancienne trouver, soit dans des ruines ou dans des maisons abandonnées, elle ne savait plus. Cette boite contenait un magnifique collier en forme d'aile d'ange d'où se trouvait une magnifique petite pierre de Nacre. Les bordures étaient faites d'argent et la chainette aussi. Ce petit bijoux de toute beauté était une épreuve difficile à surmonter pour la jeune collectionneuse, car il faisait parti de ses objets rares et qu'elle faisait un énorme effort pour le laisser là, tout seul, attendant sa nouvelle propriétaire. Elle observait, par la suite, un petit cahier plutôt sympa où de nombreux petits mots sympa y étaient déjà. Prenant le stylo en main:


Puis, elle passait à nouveau par la porte et alors que le policier s'apprêtait à parler d'un signe vif de la main elle lui fermait le bec.


Il se défaisait avant de lui hurler dessus par son grand manque de respect et de laisser la jeune femme courir pour s'échapper de là.

Aujourd’hui, c’était l’anniversaire de sa femme. Enfin, future femme puisqu’elles n’étaient pas encore unies devant Dieu, mais passons. Le jour était important entre guillemets, car l’Hokage ne donnait que peu de temps à sa vie privée en dehors de ses heures à la maison. Le village avait décidé de montrer leur affection pour la nouvelle hokage d’une façon qui faisait plus que plaisir a la uzumaki qui témoigner d’une empathie toute particulière en ce jour. Des dizaines de personnes venaient pour déposer une carte, des fleurs, des cadeaux divers et varier dans une sale du ministère qui avait été spécialement ouverte en ce but, et bien que Ren pouvait le lui donner à la maison… Elle avait décidé d’une petite mise en scène pour pimenter un petit peu le cadeau qu’elle avait prévus. Rien de bien fou évidemment, mais un petit dîner en amoureuse, un bain romantique et certainement une nuit où elle ferait des folies de leurs corps, mais.. Pas au ministère “ évidemment “. Elle était allée acheter à la librairie une carte joliment décorée, ainsi qu’un dessous en dentelle dans un magasin de lingerie fine. Le rapport entre les deux, me direz-vous ? L’intention. Ren accrocha simplement le sous-vêtement dans la carte et le légenda d’une simple phrase.

“ Joyeux Anniversaire mon amour, ton véritable cadeau t’attend ce soir - Ren “

Elle referma la carte d’un ruban rouge et se dirigea alors vers la salle ou les cadeaux était disposé. Elle avait évidemment pris un petit cadeau à déposer dans cette salle aussi puisqu’elle n’allait tout de même pas laisser une carte intime au milieu des cadeaux des villageois. Elle croisa quelques visages familiers, les saluant d’un sourire rapide, elle avait des choses à faire après tout. Arrivé devant la salle, un ninja montait la garde, le pauvre semblait se faire malmener par littéralement tout le monde, mais il avait au moins le mérite de rester fidèle au poste.





Il rougissait alors que Ren s’avançait dans la salle pour y déposer un petit ourson en peluche qui tenait une boite de chocolat. Un cadeau très basique, on ne peut plus commun compte tenu de ce qu’elle pouvait déjà voir dans la salle. Mais ce n’était pas son but d’être original, elle voulait simplement lui laisser un petit présent pour la forme… Le fond était lui bien plus intéressant. Elle se retourna, se dirigeant vers la porte avant de s’adresser au garde du lieu.





Avec un petit sourire, elle sortit alors de la salle, se dirigeant vers le bureau de sa compagne pour y déposer la carte directement. Elle savait qu’au moins là, elle la trouverait et pourrait la lire directement.

Pour ton anniversaire, il faisait quand même assez clair et beau pour une journée d'hiver. Néanmoins, telle la grande bosseuse que tu étais, tu avais décidé de vouloir aller à ton bureau. Tu voulais continuer pour finaliser tes plans. Tu voulais que tout soit parfait et que vous puissiez enfin tourner cette fameuse page. Tu devais faire des recherches et voir les déserteurs les plus dangereux et les traquer, tu devais refaire une nouvelle équipe d'ANBU, plus fiable que ceux qui suivait Uzumaki Mako. Tu avais préparé un grand plan d'attaque pour aujourd'hui, mais tu fus coupée de route par ta secrétaire. Selon elle, ton bureau était fermé toute la journée pour nettoyer le bâtiment avant le printemps. Tu avais proposé ton aide, mais la jeune secrétaire te poussa quasiment à aller plus loin, te laissant un peu en retrait. Elle ajouta même que ta mère voulait te voir, te parler et même, te féliciter. Sans même broncher, tu décidas alors de faire un tour à l'hôpital parler à ta mère et à rendre visite à ta jeune soeur pour prendre des nouvelles de cette dernière et la féliciter de son travail.

M'enfin, tu arrivais alors à la fin de la journée, un peu fatiguée, mais déterminée à frapper dans ton travail. Cependant, au moment d'entré dans le bâtiment du ministère, tu vis, à l'entrée, tous les fameux cadeaux dédier à toi, pour ton anniversaire. Plusieurs messages aussi. Certains te tirèrent un léger rire, mais voir autant d'affection à ton peuple t'arracha un sourire des plus satisfaits. Tu allais remercier les gens comme ils se devaient, mais pour l'heure tu te déplaça jusqu'à ton bureau, prêt à attaquer tes papiers. Cependant, quand tu ouvrais ton fameux tiroir, une carte joliment décorée attira ton attention, puis, ouvrant pour lire le contenu, tu rougis rapidement en voyant cette fameuse culotte en dentelle et le mot écrit dedans. Tu t'étouffais un peu avec le thé que tu buvais, avant de sourire, frottant ta joue un peu.



Tu plaçais la culotte en dentelle dans ta poche pour cacher ce cadeau bien spécial, mais qui avait légèrement allumer une légère braise en toi, puis, fermant la lumière de ton bureau, tu rejoignis ta maison pour passer une bonne soirée avec ta bien-aimée. Même si tu n'avais point fini ton travail, tu avais fini dans la plus belle des positions; celle que tu aimais dans tes bras, somnolant et légère comme tous.