Convocation tant attendu

Depuis le départ de Kimino et ma révolte contre Mako, il fallait bien le dire j'avais grandement l'impression d'avoir était laissé de côté par les grandes instance du village, j'avais l'impression que tout le monde était très ingrats alors que j'étais l'une des seules à mettre révolté ouvertement contre Mako, j'étais piège dans le sous sol lugubre de la prison pour faire parler des ennemis du village, seulement je n'avais pas beaucoup de travail en ce moment.

C'est donc avec beaucoup de surprise que je recevais une convocation ce matin là, j'étais encore dans mes draps de soie endormi quand on frappait à ma porte, un shinobi lambda venait m'annoncer que j'étais convoqué dans le bureau de la Hokage, il ne savait pas pourquoi et disparu rapidement, hum si cela avait était pour me punir il n'aurait sans doute pas prit autant de pincette et puis, pour me punir de quoi ? J'allais donc dans ma salle de bain pour me préparer, je me maquillais très légèrement, un peu de rouge à lèvres rouge et de mascara, je n'avais pas besoin de beaucoup plus, j'étais belle au naturel... Puis je mettais l'une de mes robe très décolleté dont j'avais le secret, un peu de parfum et je me dirigé jusqu'au bureau de la Hokage.

Je connaissais parfaitement ce bâtiment, j'avais était l'intendance de Shinji, puis de Kimino, mais je n'avais encore jamais rencontré cette Heiwa mais cela n'allait maintenant plus tarder, je frappait à la porte.

Une fois que l'on m'invitait à entrer je le fit et dit.



Je savais être poli avec les dirigeants, et je savais aussi être pesante dans mon regard, c'est ce que je faisais avec cette Chikara, je la fixait avec mon regard de sirène enjoleuse, ne la lâchant pas des yeux en attendant qu'elle ne me répondent.

Comme à ton habitude, depuis un bon moment maintenant, tu étais toujours dans ces fameux papiers qui te semblaient interminables. À chaque fois que tu finissais une pile, deux autres s'en rajoutaient. C'était assez épuisant et jouait beaucoup sur tes nerfs, mais tu ne lâchais pas prise. Tu étais une femme travaillante, déterminée. Aucune mission ou travaille avaient réussi à faire lâcher tes nerfs d'acier. Tu étais une soldate, une guerrière et ton devoir était de tout faire pour protéger ce village et de leur offrir le plus bel avenir. Néanmoins, depuis quelques jours, un problème t'es survenue. Le chef de la police avait pris sa démission et, malgré que tu respectais son choix, cela avait créé un autre problème que tu devais gérer. Ta femme n'avait guère été emballée de savoir que tu avais passé une nuit entière à fouiller les dossiers pour voir qui pourrait reprendre le flambeau. Cependant, au moins tes recherches avaient porté fruit. Une personne, qui avait été délaissée depuis la prise de pouvoir d'Uzumaki Mako, semblait être la personne idéale pour son poste, d'autant plus que son poste actuel se mariait parfaitement avec ta promotion.

Sans même hésité, tu avais envoyé une lettre officielle à ton shinobi messager pour avoir une rencontre avec cette Chikara. Tu avais choisi un temps idéal pour ne pas déranger la grâce matinée, mais pas trop tard pour jouer avec ta fatigue. Tu attendais quelques temps, remplissant les papiers, tu entendais cogner à ta porte. Tu laissas savoir à cette dernière qu'elle pouvait entrer et tu lui souriais doucement à cette dernière. Comme à son habitude, elle était toujours bien coiffée, bien habillée, respectant son titre qu'on lui donnait. Tu hochas la tête sur sa question, avant d'étirer ton bras vers la chaise.



Tu laissas la demoiselle prendre place avant de lui glisser doucement une feuille vers la Chikara. Elle pouvait lire une postulation à la police de Konoha, mais pas n'importe quel poste. La laissant remarquer le titre, tu repris la parole.

Il fallait croire que rester professionnel finissait toujours par porter ses fruits, je venais de monter un échelon dans le village et petit à petit j'allais finir par retrouver une place aussi haute qu'au côté de Shinji, et au moins cette fois j'aurais la place au mérite, et pas parce que l'ancien Hokage Kitto aimait me reluquer. La Hokage semblait être une bonne dirigeante, et elle semblait comme chacun de ses prédécesseur crouler sous les papiers, bientôt comme les autres elle comprendrait qu'il fallait laisser tomber les sujets non important tout de suite si on souhaite garder une vie de famille.



Je n'avais rien contre Kitto Kotaro, mais il fallait l'avouer il était trop mou pour le rôle je me souvenais que trop bien des insultes de ce gros balourd de Gokoro restait innocenté car la police n'avait pas fait son travail. Lançant mon plus beau sourire charmeur d'un blanc éclatant je disais.



Je me levais alors sans trop attendre sa réponse car je la connaissais, et puis elle était ferme mais avait l'air plus douce que Kimino et n'allait pas me reprendre pour ça, elle m'arrêterai si elle avait quelque chose à dire. Avant de quitter la pièce je lui disais alors.



Puis si elle ne m'arrêterai pas je quittais la pièce.

L'annonce de la promotion semblait rendre la Chikara heureuse, selon ton observation. Elle accepta sans hésité le nouveau post proposer, voulant honorer le blason de la police de Konoha. Il était vrai que, depuis un temps, beaucoup semblait ne pas respecter les forces de l'ordre et certains employés semblaient lassés de leur travail. Un léger renouveau sera mieux pour les employés, car tu savais pertinemment que Shirona sera peut-être moins pédagogue que son prédécesseur, mais elle mettra toujours son cent pour cent pour faire respecter la loi et l'ordre du village. Elle aussi, elle semblait approuvé ton rêve d'un rêve uni et tu étais certaine que cette dernière serait une alliée de marque pour réaliser ce rêve d'enfant. Sous ses paroles, tu lui souriais et hochais la tête.



Tes paroles étaient sincères. Elle avait les capacités et les nerfs suffisants pour avoir un tel rôle au sein du village. Sous le commentaire de la Sirène, tu laissais un léger rire, un peu embarrassée. Il est vrai que certains papiers, certaines demandes étaient plutôt annexe et pouvaient clairement être oubliée, mais, étant Hokage nouvellement, tu voulais répondre à toutes les demandes. Ton peuple avait besoin d'être écouter même si la réponse était parfois négative. Sans compter que certains projets et certaines enquêtes sur les disparitions du village depuis le putsch politique te rajoutaient du travail.



Quand cette dernière quitta la pièce, tu repris dans tes travaux, soupirant doucement.

Enfin une nouvelle vie s'annonçait devant moi, j'allais pouvoir laisser tomber se bureau lugubre dans les sous sol de la prison, je ne m'y rendrait que si reelement on avait besoin de moi, en attendant j'allais pouvoir prendre le bureau du chef au commissariat, c'est sur que la police allait être mené d'une main beaucoup, beaucoup plus ferme avec moi mais c'était mieux pour le village.



C'était de la drague ? Une phrase très professionnelle ? Je ne préférais pas m'étaler sur cette réponse, disons que j'étais tout simplement du genre a aimer laisser une trace quand je passais quelque part.

Je quittais alors le bureau du ministère pour me rendre au commissariat, je devais faire mes présentations à mes nouveaux shinobi et mes nouvelles Kunoichi !