L'intrépide stupidité de la jeunesse...

Tu courrais dans tous les coins de ruelles que tu pouvais pour ne pas te faire attraper par le groupe d'homme qui te poursuivait ! Ils semblaient bien furax et voulaient ta mort apparemment...


Heureusement pour toi tu connaissais maintenant les quartier du plaisir comme ta poche grâce à ton ami Tomi-chan. Cela s'avérait bien pratique pour toi et tant mieux dans un sens. Tu remerciais toutes les personnes qui t'enseignaient pas mal de choses autant dans les pires que bons moment. Pour l'heure tu continuer ta course folle pour ne pas te faire tuer, découper, broyer et bien d'autres types de barbarie encore... Les insultes derrière fusaient de plus belle et tes assaillants ne semblaient pas vouloir te lâcher d'une semelle !


Et tu continuais toujours et encore... Mais comment un jeune homme comme toi pouvait se trouvait dans une situation comme celle-ci ? Pour le savoir, il fallait remonter quelques heures plus tôt.

Quelques heures plus tôt

Alors que la journée s'annonçait plutôt tranquille par ce magnifique soleil en saison hivernale tu ne t'attendais pas à ce que tu allais vivre par la suite. Pour l'instant tout se dérulait comme convenu et tu t'occupais des courses qu Tomi-chan t'envoyai faire à sa place...


Ouais, l'homme se trouvait un nouveau larbin de service pour les tâches ingrates et c'était toi. En plus de te "donner" une nouvelle éducation il se reposait pas mal sur tes épaules maintenant que tu avais un bon niveau de bartender ! Pour l'heure, tu te hatais dans les cartels de commerce pour y récéptionner les nouveautés. Tu savais que la liste était longue, trop longue même et que toutes les importations n'arriveraient pas en même temps ou à l'heure.


Pour le coup, c'était vraiment pas de bol pour toi, mais tu n'avais pas le choix le temps de trouver de quoi montrer ton véritable potentiel ! Tu commençais réellement à te poser des questions sur l'attente et décidais de marcher un peu plus loin pour voir si tu voyais quelques convois arrivés.

Le convoi était bloqué par d'autres individus et ces derniers étaient determinés à ne pas laisser la marhandise arriver à destination.


Marmonais-tu das ton duvet pour ne pas trop ébruiter tes pensées jusqu'à ces messieurs colériques. Tu patientais au loin pour savoir ce qu'il allait se passer, mais tu ne pouvais pas rester ici éternellement non plus. Pendant une bonne dizaine de minutes les "brutes" cherchaient les ennuis aux marchands avant que d'autres hommes n'intervenaient. La bagarre éclatait entre les "sauveurs" et les abrutis permettant aux livreurs de continuer leur chemin. Ah... Les affaires allaient donc pouvoir commencer. Tu interpellais les hommes qui venaient de se faire injurer en essayant d'être le plus poli possible.


L'échange se déroulait plutôt bien et sans embrouille. La transaction était elle aussi correct et tu pouvais donc allez au prochain lieu l'esprit tranquille. Le reste de la matinée défilait plutôt calmement et les afffaires se déroulait bien, trop bien même... Mais quelque chose clochait et tu n'aimais cette impression ou ce sentiment d'insécurité grandissant. Avant de continuer ton chemin pour rentrer tu faisais un détour avec toutes les marchandises pour les cacher en lieu sûr...

Ton intuition était juste... Les hommes qui harcelaient les pauvres marchands plus tôt te faisaient face. Tu t'en doutais un peu, car ils n'étaient pas vraiment discret à te suivre depuis le début de la transaction des premiers achats que tu effectuais. Bientôt le chef de la troupe; ils étaient quatre, s'avançait vers toi te demandant si tu passais une bonne journée... Alors ton visage s'assombrissait et tu te méfiais encore plus.


Il essayait de faire le gentil bonhomme avec toi, mais ça ne fonctionnait pas. Tu savais que trop bien comment agissait ce genre de personne. Faire genre d'être ami-ami avant de te planter le poignard ni vu, ni connu. Heureusement pour toi tu avais l'avantage de prévoir bien en avance et de réfléchir à un plan d'attaque en cas de problèmes.


Tu le voyais bien que l'homme s'impatientait fortement et que son air devenait de plus en plus menaçant. Pathétique, tu en connaissais des mésaventures et ce n'était pas un air méchant qui te ferait peur pour autant. L'homme tentait la sympathie une dernière fois.




Oups. Tu n'étais pas certain, mais le visage du voyou devenait rouge colère. Et ces copains ne semblaient pas apprécier la remarque non plus. Cette fois-ci, c'était couteau en main que les hommes te menaçaient te laissant une dernière chance de t'en sortir sans dédommagement.

De ton air de petit péteux hautain en plissant légèrement les yeux et déposant ta main sur ton torse de manière gentleman, tu surjouais la situation en ajoutant dune voix prétensieuse.


Par réflexe tu esquivais le coup que le chef de la bande voulait te porter, tu t'y attendais tellement... Pré-vi-si-ble ce genre de phénomènes, de véritable macaques ! En contre coup pour cette attaque tu jetais de la "poussière" dans les yeux de ton agresseur avant de commencer à décamper au plus vite de là où tu étais ! La chasse était grande ouverte et connaissant les lieux les plus refoulés, ton excitation de pouvoir te défouler sur des connards te donnait un avant goût de satifaction. De toute manière que pouvait-il t'arriver de si dramatique avec quatre à tes trousses meuglant dans ton dos pour t'attraper de te faire la peau ?


C'était vraiment marrant, mais il valait mieux ne pas prendre goût à ce genre de choses trop rapidement le karma n'était jamais loin. Il pouvait se trouver à la ruelle suivante, comme par exemple un cinquième homme du groupe qui voulait ta barrer la route ! Heureusement que tu étais doué pour la fuite. Depuis le temps que tu passais ton temps à fuir les mauvaises fréquentations ton cardio s'améliorait énormément !

Présent


Et voilà comment tu faisais pour te retrouver avec cinq bandits sur le dos au final ! Tu possèdes une vitalité féroce et courir le danger ne t'inquiétais pas plus que ça ! Enfin, pour le coup, c'était plutôt le danger qui te courrait après... Tu ne t'arrêtais pas et tu pouvais voir que seul trois hommes continuaient à te poursuivre, tu pouvais passer au plan B. Emmenez ces vauriens dans un coin de ruelle pour ne pas être vue.




De tes poignets tu sortais deux bandes camouflées par les manches de ton manteau et de ton attitude prétencieuse tu n'attendais pas que les affreux venaient à ta rencontre ! Tu usais de tes bandes en y injectant du chakra pour que cces messieurs ressentaient une doueur qu'ils ne devaient pas connaître jusqu'à maintenant !

Après avoir mis la raclée en usant de tes bandelettes envers les trois hommes. Tu t'avançais vers le plus grand, le regard noir.


Mais du bruit se faisait retentir derrière toi et tu n'avais le temps de réagir. Les deux hommes qui n'étaient plus là vous retrouvaient et t'attrapaient par les bras. Tu tentais de te débattre, mais l'un des deux gugus te frappait fortement à l'arrière de la nuque...


Puis survenait le trou noir. Tu venais de t'évanouir pour le moment et ne savais pas ce qui t'attendait.

Le réveil était douloureux. Tu peinais à ouvrir tes yeux, tes paupières se fermant quasiment aussitôt. Tu sentais que ton nez coulait, mais les gouttes qui atteignaient ta bouche baillonée était celle du sang. Les bras et les jambes liés, la dernière chose dont tu te souvenais était la lutte contre les bandits. Bientôt une main masculine venait t'attraper ta tignasse de petit blond. Ca faisait mal, ton corps te faisait mal... Durant ta perte de connaissance, les individus te passaient probablement à tabac. Entre ouvrant légèrement les yeux, tu voyais que tu étais dans un lieu sombre. Tu reconnaissais les voix des cinq lâches riant entre eux, mais surtout te posant à nouveau cette même question de savoir où tu planquais la marchandise ?


Un coup de poing en plus dans ta face. Il ne gobait absolument pas à ton mensonge de livraison et pourtant, même toi à force de le leur répéter tu y croyais dur comme fer. Peu à peu reprenant tes esprits, le décor s'éclaircissait et tu comprenais dans quelle position tu te trouvais: Assis sur une chaise, pieds et poings liés, ballionné lorsque que les mécréants n'étaient pas présent au beau milieu d'une pièce à l'abri des regards trop indiscrets. Tu te demandais comment tu allais te sortir de se pétrin au plus vite, car le temps t'était compté et tôt ou tard, le chef de la bande perdra patience... S'ils étaient capable d'un tel acte juste pour une mauvaise blague, tu ne donnais pas cher de ta peau. Mais au fond, le danger, tu aimais ça et ça te faisait vivre ! En vérité, ce n'était qu'une question de temps pour que tu trouves la solution au problème... Leur temps était comptée.