Nouvelle maison

Cela faisait déjà plus d'une année que les Kuromoku retrouvaient refuge non loin des sources de Yu. Cette année était rude et seul la moitié de petit groupe de départ survivait. C'était triste, mais leur sacrifice n'était pas vain. Et efin l'hiver se finissait, laissant place au début de printemps. La neige fondait à vu d'oeil et bientôt le petit bout de femme sortait de sa cabane après avoir reçu un nouvel ordre des "Dieux".


La jeune Gadendiraito se sentait enfin prête à utiliser son don à une plus grande échelle encore ! Si elle sauvait ses frères et soeurs lors de leur arrivée l'année dernière en faisant pousser des champignons, cette fois-ci elle se dévouait pour les siens en voulant construire un nouvel habitat. Mais avant cela, elle se devait de trouver le lieu idéal pour commencer le processus de plantation. Elle tenait à être accompagner pour le faire et choisissait sa première soeur qui la soutenait depuis le début. Un lien fraternel se dévoleppait à travers toutes les aventures qu'elles vivaient ensemble depuis leur renaissance.


Disait-elle d'un ton des plus calmes avant de prendre la main de sa comparse pour l'amener un peu plus à l'extérieur. Il faisait un peu frais, mais avec le temps le clan s'y habituerait.

Les épreuves avait était rude pour le peuple aux champignons, mais je savais que nous allions nous en sortir, j'avais une fois sans limite en ma sœur, et nous nous étions imposé comme les leaders de ce peuple, nous pouvions maintenant réfléchir à notre nouvel habita pour que les nôtres prospèrent, tenant la main de ma soeur avec douceur et fermeté, je l'accompagnait.



Je me noyais dans des yeux rouges, peut être que je ressentais un peu plus qu'une simple relation fraternelle, mais je ne voulais pas le montrer car cela aurait été une honte.

La petite Kuromoku ne disait plus rien ne répondant même pas à la question de sa soeur. Elle trainait cette dernière en la tirant par la main pour lui montrer ce qu'elle comptait faire. Plusieurs minutes s'écoulaient dans cette scène silencieuse ou seul le contacte de la main en disait plus. Bientôt, la jeune femme s'arrêtait nette relachant assez brutalement la main de sa consoeur pour effectuer quelques mudras. Avant de poser ses mains au sol, elle ajoutait:


Elle usait d'une quantité phéoménal de chakra pour créer une forêt entière d'un diamètre de deux kilomètres ! Poussant des cris des douleurs tant la technique lui demandait un effort colossal. C'était comme ci elle mettait une partie d'elle-même dans cette immense construcion.


Puisant dans ses forces, des arbres, des champignons... Enfin, tout une faune et flore venait de pousser et continue de pousser progressivement. Gadendiraito maintenait sa position durant une bonne dizaine, voir même vingtaine de minutes et encore, son travail n'était pas terminé. Elle continuait à influer de son chakra pour ressentir chaque parcelle de terre qui venait de naître de la force de son chakra. Sa respiration devenait plus difficile à gérer et elle sentait un grand poids dans ses bras. Si elle emmenait sa soeur favorite avec elle, ce n'était pas un hasard, mais plutôt une manière d'être épauler en as d'attaque, car la mimi-pousse n'était plus en mesure après un tel effort de se défendre.

C'était impressionnant de la voir agir debla sorte, avec plus d'efficacité que les Kirishita eux même, cette petite et frêle jeune femme venait de faire pousser une forêt, c'était totalement dingue si on sepenchait une seconde sur la question, bien sur elle était totalement exténué, et je lui pretais mon épaule pour la soulager.



Un véritable écosystème venait de se former, et ma soeur était très faibles, je la soutenais encore une fois dans sa faiblesse, je venais avec délicatesse et amour lui caresser la joue de ma main douce, j'étais en admiration et en émerveillement devant elle.



Mes caresses était toujours présente et de plus en plus douce, je l'aimais comme une deese, elle allait changer le monde.

Epuisée, essoufflée et partiellement vidée des trois quart de son chakra, cela était un coup difficile pour la Kuromoku d'user d'une telle technique. Affaiblie par cet effort de colosse au vu de sa petite taille, sentant ses forces s'amenuiser, elle s'effondrait sur sa camarade. Elle sentait cette dernière la soutenir pour qu'elle ne tombait plus à terre.


Gadendiraito sentait cette chaleur sur sa joue. Une caresse appréciable emplit d'empathie et de tendresse. Mais pour l'heure, il fallait au moins pénétrer au cœur de cette forêt pour que leurs semblables puissent y être en sécurité.


La respiration saccadée la petite kuromoku peinait à prononcer de simples phrases. Mais son objectif était le plus clair possible: mettre tout le monde à l'abri des regards indiscrets et des curieux qui pouvaient venir décimés le clan en une nuit. Ses derniers temps le danger rôder beaucoup trop selon la mini-pousse. Avec grande peine, elle pointait du bout de son doigt le campement datant déjà d'il y avait d'une année.

Comment autant de puissance pouvait tenir dans un aussi petit corps, je le sentai je devais la soutenir, je devais être son roc alors qu'elle serait le roc de tout un peuple, alors comme durant notre exode, je la mettais sur mon dos avec une grande délicatesse et je me mis à marcher en direction de notre campement pour mener les nôtres vers ce qui serait enfin notre terre promise, l'endroit où nous serions en sécurité avant de détruire le monde tel que nous le connaissons afin de le remodeler à notre image.



Je savais qu'elle ne pourrait pas faire de grand discours, alors une fois devant le peuple je la laissais debout à côté de moi et je pris la parole.



Petit à petit tous se tournais en ma direction.



Puis je reprenais la marche en soulevant ma sœur de clan et en lui murmurant.

Encore une fois Gâdendiraito se faisait porter comme un sac par sa camarade. Elle la mettait sur son dos pour pouvoir l'emmener jusqu'aux autres membres du clan. La marche n'était pas plus longue au retour qu'à l'aller et dans son élan de guide ma sœur attirait l'attention du peu de survivants qu'ils étaient. Puis, après avoir déposer le petit bout de femme survint son petit discours évoquant la réussite de leur survit et bientôt de leur véritable renaissance. Elle faisait donc signe aux sept autres Kuromoku de la suivre, ainsi que de suivre la mini-pousse que la femme prenait dans ses bras. Dans un murmure d'une douceur sans nom, Sana félicitait Gadendiraito pour avoir créer un endroit pour tous. D'une voix assez faible, la jeune femme tentait de prononcer les phrases mots suivants:


Elle finissait par ne plus dire un mot se tenant du restant de ses forces à sa sœur favorite pour ne pas chuter bêtement. Parcourant à nouveau le chemin de tout à l'heure, tous se trouvaient face à l'immense forêt et les poussent qui continuaient de grandir. Sana en tête, les autres la suivaient pour pénétrer au sein de la nouvelle forêt artificielle.