Ainsi, vous alliez faire route jusque dans le désert. L'idée te déplaisait qu'à moitié. Effectivement, se déplacer, les pieds dans le sables étaient réellement pénible. Mais malgré cela, tu connaissais la réputation de son soleil cuisant. Et de là, tu ne pouvais pas t'imaginer t'exposer un peu trop longuement au soleil et apprécier la douleurs qui t'offrirait le contact de tes vêtements sur des coups de soleil. C'était étrange, oui, tu en avais conscience, cependant, il te fallait bien trouver un moyen de rendre ce trajet moins désagréable.
« Après l'odeur de la poiscaille, nous connaîtrons celle de la friture ! »
En réalité, outre le fait que le chemin se montrerait plus pénible, tu n'en avais pas grand-chose à foutre que d'aller de frotter à des Konohajin ou bien à des hommes du désert. L'essentiel, pour toi, c'était que tu reviennes à Kumo avec le maximum de sang sur les mains.
« Ceci dit, je serai bien tenté de combattre une centaine d'adversaires ! Je suis certain que le défi peu se relever, tu ne crois pas Raika ?! »
« Mais pour te dire vrai, Hidemi... Je te laisse le plaisir de réfléchir à notre destination... Tu connais chacune de nos cibles mieux que nous deux ! »
Alors, que tu lançais cela à Hidemi, ta jumelle te faisais part de sa frustration. Du moins, de manières indirectes. Mais tu savais pertinemment que sa manière de refréner ses émotions négatives passait pas faire de toi son souffre-douleur. Vous aviez toutes les deux trouvé un moyen de faire coexister vos particularités. Elle, aimait faire souffrir, toi, tu jouissais de la douleurs que tu recevais. Vous étiez, à vous deux, des bénis des Dieux.
« Raika... J'évacuerai ta colère lorsque nous saurons où nous passerons la nuit ! »