Responsable de Kiri

Soudainement, la voix de Shizuka se fit alors entendre.




Masashi soupira alors.


Vivre sur cette archipel maudite n'était pourtant pas similaire à une récompense. Au fond de l'énorme salle des décisions, la prêtresse continuait à observer dans le plus grand des calmes.

J'avais reçu une convocation de la part de l'empereur, et j'avais compris que cela n'allait pas forcément être une bonne nouvelle, même si nous étions en bon terme, il était relativement rare que l'empereur et l'impératrice ne me convoque simplement pour me demander si tout allait bien, et il fallait le dire, depuis que le plan Shinayaka était accompli, je n'avais que très peu d'utilité pour l'empire.

J'étais silencieux, j'attendais de savoir ce que le Raikage avait à me dire et je ne mis pas longtemps à le savoir, avec la disparition de Shinishi, c'était à moi de reprendre le contrôle de l'archipel, cela n'était pas une punition envers ma personne, mais cela n'avait effectivement rien d'une récompense, par chance j'avais perdu mes yeux, et je n'aurais pas à subir la vue de ce pathétique village de la brume.



J'avais passé l'âge de discuter les ordres, même ceux qui ne me convenaient pas, je me rendrais donc à Kiri...

Bien évidemment, le rapport était déjà prêt. L'homme fixa alors une énorme pile posée à plusieurs mètres de lui.




Soudainement, Hattori Shizuka reprit alors la parole :

Le gros avantage d'être l'ancien entraîneur, que dis je, l'homme qui avait contribué à modeler et à asservir ce clan pour l'empire, je connaissais l'effectif, je savais qui utiliser, en qui avoir confiance ou non.



Quelques minutes de discussion plus ou moins stérile en découlait, et je n'avais finalement plus grand chose à faire ici.



Je savais que cette façon d'être était ce qui plaisais à l'empire, et ce qui faisait que j'avais une telle place en son sein, je ne rechignais pas devant les missions peu importe à quel point elle pouvait être ingrate, et je savais que Masashi était strict mais juste, j'aurais sans doute une promotion si je menais celle-ci à bien...

Inutile de faire durer cette discussion, Masashi décida de conclure :


Une fois l'homme dehors, Shizuka reprit alors :