Alliance possible?

À Kumo, pour avoir de la puissance, il faut des alliés puissant. En l’occurrence, j’ai pensé aux jumelles, en plus d’être fortes, elles étaient trop bonne mais avec des drones de tendances sexuelles. J’avais entendu parler de cette histoire au Palais des Vices. Ce sekutsu a été tue sauvagement alors que Reika était en sang dans les rues. Ce qui s’est passé là-bas était tout simplement horrible et de telle ignominies ne devraient jamais exister. Enfin, depuis ce jour, le quartier semble avoir été purgé très correctement. Je n’ai pas prit la peine de prévenir de mon arrivée. Je sais où elles habitent et je me rends chez elle tout simplement. Je n’y vais que comme un membre de la famille. Nous sommes tous liés de près ou de loin. C’est une chose qui nous sera tout aussi fatale à moyen terme.

Je n’ai pas trop l’habitude de le rendre dans ce genre de quartier. Celui des Hattoris étaient luxueux, beaux, les plus grands magasins de luxe se trouvent ici. Sans compte l’architecture imposante et des plus irréprochables pour montrer la fortune des Hattori et leurs dominations accablantes sur le reste de Kumo. J’arrive devant la demeure et fermement, je donne trois gros coup dans la porte.



Voilà monsieur conscience qui revient.

Cela faisait désormais une semaine que vous étiez rentré de votre longue mission en dehors des murs de Kumo. Une année avait défilé, une année à errer dans le Yuukan pour accomplir les volontés de l'Empire. Bien que ce genre de tâche se montrait fatigant, tu les appréciais. Tu jouissais de pouvoir ôter la vie d'autrui sans devoir de rendre de compte, et cela, était un luxe dont tu ne souhaitais nullement te passer. Une semaine, et tu avais occupé ton temps à fricoter dans des lieux dont rare était ceux qui appréciaient l'art qu'ils offraient. Lorsque tu ne jouissais pas sous les coups violents mais précis d'un artiste, tu enfumais ta chambre d'herbe aux vertus relaxante et bien trop souvent, hallucinogène. C'était médical, disais-tu, mais quiconque s'intéressait à cela, savait pleinement que la rare vertu était l'euphorie qu'elle offrait.

Tu étais habillé d'un simple chemisier qui te tombait juste au-dessous des fesses lorsque tu entendis des coups violents sur la porte d'entré. Tu laissas quelques instants, oubliant que ta jumelle avait quitté l'habitation ce matin même et qu'en conséquence, elle n'irait nullement ouvrir la porte. Il était encore tôt, du moins, pour qui aimait se lever au alentour de midi. Tu n'avais encore rien fait de particulier de ta matinée, dirigeant la fumée que tu avais inhalé la veille, et ce, durant des heures entière. Pied nu, tu te rendis donc jusqu'à la porte et l'ouvris. Tes yeux tombaient face à un buste, tu relevais alors le regard pour finir par y trouver un visage. La première chose que tu remarquas, outre le manque d'harmonie sur son visage, était le jaune de ses yeux. Un Hattori.

On venait enfin ouvrir la porte. Je vois alors un petit bout de femme dont d’un simple geste je peux déshabiller vu le léger chemisier qu’elle porte sur elle. Leur réputation de chaudasse se voit sur chaque aspect de son corps. Ça me fait bien sourire, des mantes religieuses à ce méfier comme de la peste. Mais j’étais là dans un but bien précis . Je les savais dangereuses aussi, il ne fallait pas que je sois brutal avec elle, je tenais à la vie.



J’en oublie la base.



Alors apparaît autour de mon cou mon plus fidèle compagnon.



Il était temps de dire la raison de ta venue.



Si c’est pour rester devant la porte, je ne comptais pas en dire plus, il y a bien trop d’oreille trop d’oreilles indiscrète.

Un serpent. Un serpent était entrain d'étreindre le cou de celui qui venait de se présenter comme étant Ashura. Ainsi, les rumeurs que tu avais entendues était donc vrai, des utilisateurs de l'hebijutsu avait rejoins Kumo durant ton absence. Tu gloussas quelques instants face à cette situation. Kumo était finalement entrain de changer doucement.



L'homme expliquait sa présence comme la volonté de discuter de l'empire. Tu connaissais ce genre d'introduction, qui bien trop souvent, menait à des conversations complotistes ayant pour but de détrôner untel. Mais, tu n'étais jamais fermé d'esprit à ce genre de discussion, qui à de rares occasions pouvait mener à une suite des plus inattendue.



Tu fis un geste de la main pour inviter le "monstre" à rentrer dans votre appartement. Celui-ci possédait une décoration des plus atypique, de nombreuses taches de sang décoraient le sol. Souvenir de tes innombrables séances de torture auquel tu te soumettais. Les murs étaient jonchés de petit trou, créé par les incalculable jet de shuriken de ta sœur. Une odeur de fumée et d'herbe brûlée empestait la pièce principale. Des rayons de soleil pénétrait par les deux fênetres qui était exposé à cette heure-ci. Tu marchas alors de quelques pas pour te laisser tomber dans l'un des fauteuils de la pièce, ne prêtant guère attention à la tenu peu couvrante que tu portais et à la quantité de peau que tu laissais entrevoir. Tu n'avais jamais été gêné par la nudité et tu exposais fièrement les milliers de cicatrices qui jonchaient ton corps. Tu pris un paquet de cigarette sur la table basse qui était devant toi et vint en mettre un à ta bouche avant de l'allumer.



Tu crachais une volupté de fumée, avant de tapoter le bout de ta cigarette au-dessus du cendrier.

La politesse de cette femme ne laissait pas de doute. Je peux enfin entrer dedans l’antre des jumelles, un état de non droit, tout peux s’y passer. Je remarques les innombrables textes de sang un peu partout. Je peux aussi y voir des traces d’armes et cet odeur de drogue qui parfume l’atmosphère. Un lei de dépravation comme il y en a peu à Kumo et celui-ci est totalement privé. Quand à Reika, son corps n’est que cicatrices. Je ne voulais pas savoir le comment du pourquoi, ce n’était pas mes affaires et je ne suis pas là pour courtiser non plus. Ça se voit qu’elle aime la provocation.



Elle a mon attention, je ne compte pas y aller par Quatre Chemins.



Je l’allume une cigarette et j’en tire une grosse bouffée.



Je tapote ma cigarette avant de tirer encore une bouffée.



Je tiens à discours de traître mais qui ne le savait pas à Kumo?



Un sourire sadique s’affiche sur mon visage.

Un nouveau culte aux premières loges du gouvernement, voilà ce semblait penser l'Hattori qui te faisait face. Tu souriais, comme bien trop souvent lorsque la situation ne s'y prêtait pas réellement. Tu ne t'étais que trop rarement intéressé aux différentes croyances de ce monde. Outre Shinigami, mais qui te fut davantage imposé par la petite pute de Gaikotsu que tu avais choisis comme esclave. Les religions n'étaient pour toi que foutaise, qu'une manière d'expliquer les tourments que chacun possédait en eux. Pour ta part, tu te savais masochiste, une partie de ta personnalité bien étrange, mais jamais, ô grand jamais, tu n'avais cherché une explication religieuse dans une telle dérive. Tu étais ainsi, et seul l'acceptation était source de délivrance.



Tu rigolais désormais, tu rigolais ouvertement devant les propos que te tenait Ashura. Du manque de respect ? C'était possible, après tout, le sens du respect était une chose bien arbitraire pour toi. Tu ne respectais que deux choses : la souffrance et la mort. Et à ce jour, la seule que tu savais apte à l'offrir correctement, c'était Raika, ta jumelle. Tu pris une grande bouffée sur ta cigarette avant de laisser la fumée s'échapper de tes narines. Doucement, tu vins écraser la cigarette encore rougeoyante sur ta cuisse. Un frisson parcourut ton corps. Un frisson de plaisir, évidemment. S'ensuivit alors une légère odeur de chair grillée.



Tout sourire avait quitté ton visage désormais. Étais-tu en colère ? Non. Tu n'attendais rien des autres qui puisse te mettre hors de toi. Mais tu te devais d'être clair.







Tu te remis à sourire, comme si chacun des pics que tu venais de prononcer n'avait tout simplement jamais existé.



Était-ce une menace ou bien un rappel de les envoyer en mission ce jour-là ? Seul Reika le savait...

Elle emmerde les cultes, quelqu’un qui n’a pas de conviction est une belle arme m. Croire ne sert à rien, c’est être bloqué dans une vision restreinte de ce monde pour être forgé à écouter un pseudo prophète, un peu comme ce Gareki qui se dit maître des utilisateurs des Hebijutsu par simple prétexte qu’il a battu notre ancien maître et? C’est une chose bien étrange qui te saoule profondément. Pour toi, il n’y aurait que peu de hiérarchie et encore moins avec des purs politiciens.

Je ne dis mot et j’écoute Reika déverser son venin sans pour autant que cela me met en rage. Elle avait raison sur le fond de ce qui se passe à Kumo et sur le fait de savoir qui je suis pour huiler alors que je n’étais pas à Kumo depuis bien longtemps. Mais une idée communautaire ? Tu n’en as rien à faire .



Je lui souris.



Je le sais qu’elle sont dangereuses et assoiffés de sang.



Je me lève et j’observe un peu les alentours. Je m’approche alors de Reika et je fais venir Oshi.



Je lui souris et je vais m’asseoir de nouveau.

Ta cuisse te chauffait à l'endroit même ou tu avais éteint ta propre cigarette. Ta peau était noircie par le sang coagulé et les cendres. De ton pouce, tu venais appuyer délicatement cet endroit sensible. Tu appréciais cette douleur fine, mais surtout, elle te permettait généralement de contrôler tes émotions. Que cherchais-tu à contrôler en particulier ? L'envie de sang qui te montait à la tête. Tu n'avais jamais réellement apprécié ceux qui venaient critiquer le fonctionnement de l'Empire. Certes, des choses déconnaient, mais la trahison n'était pas la solution. Mais surtout, ce qui te tendait plus qu'un RUBAN de bondage, était que l'homme qui te faisait face insinuait connaître tes plaisirs personnels.



Peut-être, Ashura commençait intérieurement à faire ses PRIÈRES. Peut-être devrait-il ? Combien de temps avec que cette légère douleur à la cuisse ne te retienne de lui enfoncer les dents aux plus profondes de sa gorge ? Tu ne savais pas, mais il était envisageable que lui aussi, finisse congelé et aussi sec qu'un PANETTONNE.

Tu ne bougeas pas un seul sourcil lorsque l'homme se mit debout devant toi. Son serpent daignant prendre la parole, te jaugeant comme une personne intéressante. Intéressante, oui, tu l'étais en bien des points. Mais ce qui te caractérisais était plutôt le goût pour le sang et de la violence. Tu ne lui répondis pas de suite, le laissant s'asseoir à nouveau. Et alors, il osa. Il osa te proposer de goûter au plaisir du venin. Tu rigolas, tu pouffas bruyamment, tu fus pris dans un fou rire avant de reprendre ton calme, les larmes aux yeux.



Tu rigolas à nouveau.

J’avais entendu en effet parle de cette histoire avec ce Sekutsu, une espèce de gros dégénéré qui utilisait des méthodes totalement horrible pour soi-disant satisfaire des plaisirs sadique. Il y avait pourtant d’autres salon bdsm dont les visiteurs raffolaient, surtout dans ce petit salon non loi du Ahen, autre bordel qui ne se dit pas en être un.



Une pute? Ces mots me faisaient frémir tel un tintement de clochette continuelle. Je dirais plus une salope qu’elle ne se fait pas payer.



Je prends alors dans ma sacoche une petite fiole entouré d’un ruband’un noir inconvenant. Je dépose celle-ci sur la table en lui souriant.



Je me lève alors et je salue avec beaucoup de respect la belle.



Je ne prends pas la peine d’attendre qu’elle me raccompagne, je connais la sortie.



Il était maintenant tant pour toi d’aller chercher ton péché mignon , la seule chose en ce monde qui te donne un plaisir pupillaire extasiant, je parlais bien sûr de mes succulents panettones que ma soeur faisait à merveille !