Triste vie

Je suis maintenant un jeune ado, je vis seul dans la rue depuis les 4 ans. Autant dire que pour survivre, j’ai dû faire des choses horribles, voler et tuer malgré mon si jeune âge. C’était le seul moyen de rester en vie et, en faisant peur, d’éloigner le plus possible les personnes malsaines de mon entourage. Alors par quoi commencer? J’ai été abandonné par ce qui ressemblait le plus à des parents dans une maison de dépravation. De la, ne sachant que faire de moi, on le dépose à l’orphelinat de Koya. Brièvement, un passa des plus remarques lorsque quand j’avais trois ans, jnai fracasse la tête contre le sol jusqu’à lui broyer car il m’avait volé un chocolat. Voyant cela, j’ai été jeté comme une ordure hors de ce lieu.

Je suis devenu un vagabond sans toit, sans amis, sans famille. Personne à qui rendre des comptes et c’était magnifique. Je commence alors par voler, beaucoup voler, des arnaques et j’en passe. Vu mon jeune âge, ils n’y prêtaient pas attention et je passais pour un pauvre petit enfin totalement malheureux et délaissé à qui la vie n’a pas fait de cadeaux. Alors que pendant ce temps là, je les dépouille et je n’hésite même pas à les ruer pour quelques bouchées de pain. C’est sûrement dû au fait que j’ai découvert assez tôt que je pouvais utiliser le chakra et faire des choses étranges avec les cheveux notamment. Après ça, il y a juste eu un homme qui me remarqua. Il était comme moi et il l’enseigna à maîtriser mon chakra et il m’apprît des techniques qui me sont forts utiles aujourd’hui.

Hélas, ce break dans une vie de misère ne dura que quelques années. Le vieux maître s’étant fait assassiner par de Abura… ils étaient répugnants et ils puaient. Je ne voulais qu’une chose, les tuer pour venger celui que j’ai pu considérer comme un père même si ce fut peu de temps. Je continuais moi-même mon apprentissage en menant de nouveau une vie de miséreux…

Cette vie de débauche que je mène, ce n’était pas celle que je souhaitais. Les années qui ont suivie, j’ai vécu de racket, de chantage, de meurtres et j’en passe. Ça ne m’empêche pas pour autant de rester dormir à la rue même où des fois de même faire totalement rabaisser et dépouiller pour ensuite le jeter comme pour mort dans les caniveaux. Je me réveillais souvent avec des morsures de rats ou que sais-je d’autres qui voulaient faire de moi leurs repas et qui devaient sans doute dépiter que ce n’était pas encore la bonne. Ne vous inquiétez pas, un jour les rats pourront me manger et me faire disparaître dans le néant habituel dans lequel je vis depuis plus ç une décennies.

C’est ainsi que je crée un ami, imaginaire bien sûr pour aider à supporter cette vie de déroute, de solitude qui me pourchasse indéfiniment. J’ai pourtant essayé de trouver un travail décent, de mener une vie décente, d’avoir des amis, une famille mais je n’avais nullement le droit à tout cela. Je décide alors d’entraîner mon corps et mon esprit pour ne plus avoir besoin de quelqu’un dans ces deux branches. Ainsi, je ne serais absolument plus triste de mon sort car cela sera naturels. Mélancolie… elle le retient par dessus l’au-delà, que faire de mon désarroi, une force bien sûr qui m’aidera et me guidera.



D’abord, sortir de la rue et ensuite faire une ascension sociale en changeant de comportement et de look… je dois paraître pour plaire… c’est comme ça que ça fonctionne aujourd’hui.