L’eau était chaude, brûlante même. On disait que cela permettait de reposer les muscles et pourtant, Oiwaka avait juste l’impression de bouillir sur place. Ses doigts de pied et ses mains commençaient à se friper comme la peau d’une pêche, mais la perspective de sortir pour affronter le froid extérieur était bien pire.

Petit à petit, le bain public commença à se remplir. Femme, homme, enfant sautait tour à tour dans l’immense bouilloire. Il essayait quant à lui de rester à l’écart de cette agitation pour ne pas mouiller ses beaux cheveux bruns. Cela ne l’empêchait pas de sentir le regard pesant de plusieurs fille se poser sur lui. Il faisait semblant de ne pas les remarquer, mais ça en devenait pénible.
Il mit sa bouche dans l’eau et s’amusa à faire des bulles pour passer le temps.
Quel ennui. Il aurait pu sortir et partir, mais pour quoi faire ? Il s’était déjà entraîné ce matin et faisait maintenant sa pause repos ici. Trop d’entraînements tué le corps, il le savait. Mais il ne progressait plus, stagner même. Aucune amélioration, que de la fatigue venait de ses venues. Morose, aigri voilà ce qu’il en résultait. Pour lui, cela ne faisait aucun doute, il fallait qu’il en fasse plus. Quitte à passer jour et nuit dans le froid, il ne demandait qu’une chose : devenir meilleur.

Un petit-enfant sautant en bombe manqua de justesse d’éclabousser ses cheveux. Il décida de sortir avant que malheur n'arrive. Il ramassa sa serviette présente sur le bord du bain et sorti par les escaliers en l’enroulant autour de sa taille.
Il s’enferma dans une cabine pour homme, entreprit de prendre ses affaires dans son casier et se changea. Alors qu’il était préoccupé à mettre ses chaussettes, un papier fut glissé par le dessous de la porte. Des bruits de pas audible se firent alors entendre accompagnés de par des gloussements féminins.
Une demande de rendez-vous.
Oiwaka la rangea dans sa poche. Il ne voulait pas poser de lapin, mais comment retrouver la personne pour lui dire qu’il ne viendrait pas ?
L’idée de demander à chaque fille lui passa à l’esprit, mais cela pouvait paraître bizarre. Et il ne voulait pas paraître « bizarre ». Il soupira et sorti des thermes.
Ses affaires dans un sac qu’il portait à la main, il entreprit d’aller faire un tour à la bibliothèque. Sur la chemin, il se fit la réflexion qu'il ne pouvait pas passer ses journées à attendre de recevoir une mission. Il fallait qu’il se trouve une occupation. L’entraînement lui prenant la matinée, il lui restait donc les 5h00~6h00 de l'après midi à remplir. Un métier devrait faire l’affaire, pensait-il en passant une main dans ses cheveux. C’était en même temps l’occasion de mettre un peu d’argent de côté. Restait à savoir quel type de métier. La police pouvait être un choix intéressant et les opportunités d’évoluer étaient présentes. Serveur aussi ne l’aurait pas dérangé. Bref… N’importe quel job aurait fait l’affaire.

Il entra dans la bibliothèque, adressa un bonjour poli aux gens qui y travaillaient et parcouru les rayons. Son doigt longea la tranche de plusieurs bouquins avant qu’il ne décide de s’emparer d’un à la couverture abîmée et aux pages jaunies par le temps. Il s’assit par terre, le posa sur ses genoux et commenca à le feuilleter. Ce n’était pas un adepte de la lecture, mais cela lui arrivait de dévorer certains livres qu’il jugeait intéressant.
Celui-là traitait des différentes affinités, de leurs histoires et des liens qui les unissaient. Ce dernier point intéressa particulièrement Oiwaka. Il connaissait la hiérarchie qui régnait entre les Cinq éléments, fondement de tout Ninjutsu élémentaire, mais savoir qu’en utilisant simultanément deux ou trois natures fondamentales, on pouvait créer une toute nouvelle nature avec des propriétés uniques qui ne saurait exister par elle-même, cela le faisait saliver….

Publié le 17 Décembre 2021 vers 17h


Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »


Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »


Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »


Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »

Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.

A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.


Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.

Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.

Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.

Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.

L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.

L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.

Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.

Dialogue de personnage
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »




Publié le 18 Décembre 2021 vers 19h