Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
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Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »
Il l’avait dévoré : le livre. Chaque mot, chaque phrase, chaque page. Tout. Mais de cette longue lecture, ce n’était pas son ventre qui en souffrait, mais ses yeux. L’un commençait à voir flou, l’autre lui jouait des tours comme les débuts d’un magicien. Les mots semblaient danser sur ses rétines et se levant, il manqua de trébucher et de s’affaler sur l’étagère. La prochaine fois, il se jura de porter des lunettes. Du moins s’il avait les moyens de s’en procurer.
A force de rester dans la même position, il avait des fourmillements dans les jambes. Bref… Rien n’allait. Si chaque lecture était aussi éprouvante que cela, il s’abstiendrait de revenir ici la prochaine fois. Toutefois, à toute douleur, récompense. Il avait appris tant de choses à travers les 800 pages qu’il avait l’impression que pour une fois depuis des mois, il n’avait pas fait quelque chose d’inutile de sa journée. Non, de cela n’était pas ressortie une coquille vide, mais une perle. Petite soit-elle, elle étincelait l’espoir. En une après-midi, il avait appris plus de choses qu’en une journée d’entraînement. Son corps avait décidé de refuser de progresser alors son cerveau prenait le relais. Il en était presque ému.
Les fourmis toujours dans les jambes, il rentra chez lui d’un pas incertain. Il avait encore mal aux yeux, mais il était content. Il aurait bien sautillé comme une biche dans la rue si ses jambes ne lui paraissaient pas aussi lourdes. Et puis de toute manière, c’était bizarre d’agir ainsi.
Ses parents de garde, il se retrouva alors seul dans la maison. Il s’empressa de monter dans sa chambre, y alluma sa lampe de chevet, s’assit sur son petit bureau en bois, s’empara d’une feuille vierge et commença à écrire.
Il devait être 20h00 quand il arrêta les mouvements de son pinceau sur la feuille. Sa lettre de motivation était prête. Ce simple carré blanc serait peut-être l’un des tournants de sa vie après l’obtention de son bandeau. Mais cela n’était possible que par le oui du destinataire. Et encore, il devrait à la suite passer un entretien… Mais de là, une deuxième réponse affirmative lui suffirait pour obtenir ce poste : celui de bibliothécaire.
Ce ne serait qu’un poste à temps partiel qui l’occuperait quand il ne serait pas de mission. Il pourrait alors y cultiver son esprit tout en gagnant un peu d’argent. Pour lui, c’était le boulot parfait.
L’esprit tranquille, il descendit alors en bas, pris une enveloppe dans l’étagère de la salle à manger, y mis sa feuille et la cacheta avec son nom et son adresse. Il la déposerait sans faute à l’accueil demain à 8h00.
L’heure du dîner arriva. Il se fit un bol de riz accompagné d’un œuf. Ce n’était pas un grand chef, mais il essayait toujours de cuisiner simplement et sainement. Son repas dans la main, il souhaita un bon appétit à ses parents absents et monta manger sur son lit.
Le bol vide, il s’allongea sur le dos et s’amusa à lancer une balle en l’air comme il avait l’habitude de faire. Au fil des minutes, l’anxiété commença à grimper. Allait-il avoir ce job ? C'était un enfant sérieux et avait fait ses preuves en tant que Genin. Il n’y avait aucune raison valable pour qu’on le refuse. En plus, il était beau, si par bonheur c'était une femme à la tête de l'établissement, ses chances ne pourrait qu'en être augmentées.
« Pitié faîtes que ce soit une femme... »