Traque dans le désert

La traversé de la forêt se passant sans gros problème à signaler. Bien que dangereuse, même pour des Konoha-jin aguerri. Le groupe avait avancée à une cadence soutenue avec très peu de communication. Ce qui devait surprendre l'Uzumaki qui les accompagnait. Lorsque les shinobi de la feuille arborait les masque caractéristique de l'ANBU. C'était une autre facette des shinobi de la feuille qui s'exprimait. Il n'y avait pas de place pour les actes superflu et chacun savait quand usait de ces capacité pour le bien de groupe. La plus part des communication s'effectuant par de simple geste. Sauf lorsque l'on souhaitait s'adresser à la jeune Uzumaki. Le rythme d'avancement était soutenue et les pause était coure. juste ce qu'il fallait pour ne pas s'épuiser avant la seconde partie du voyage. La forêt était dangereuse, le désert de Kaze, lui, est bien plus redoutable.

Après avoir traverser le fleuve Kagirinai. On pouvait déjà apercevoir le désert au loin. L'homme au masque de Kame fît quelque signe afin d'annoncé le rassemblement du groupe autour. Faisant également signe à Tetsuko de s'arrêter. Il attendit que tout les membres se regroupe avant de s'exprimer.


Si Tetsuko n'était pas au courant pour la traque des nukenin, elle n'avait certainement pas besoin d'en savoir plus. Tout ce qui la concernait était ça route jusqu'au point de rendez-vous avec l'Uzumaki-dôno. Le Kitto regarda succinctement la femme au masque de Kitsune et l'homme au masque de Ryû.


Le désert était un milieu hostile. Les vers géant était une menace à ne pas négliger en plus des rodeur et de l'environnement. Il ne serait pas trop de deux pour escorter la jeune rouquine. Silencieux, il attendait une éventuelle réaction ou la simple séparation du groupe. Le trio d'ANBU entamerais alors la seconde partie de la mission confiait par la Hokage. La traque des nukenin.

Le voyage se fit dans le silence le plus strict. On n'entendait que quelques bruissements de feuilles discrets, et des cris d'oiseau de temps à autre. Tetsuko comprit vite que les forces spéciales communiquaient par signe, et que la conversation n'était pas de mise maintenant. Elle en fut quelque peu étonnée, voire impressionnée, mais finalement, cela lui allait très bien.
Elle tâchait de rester concentrée sur sa destination et sa mission, tournant dans sa tête les mots qu'elle prévoyait de dire. Même si elle savait déjà que les évènements ne suivraient pas son petit script mental.

Ils arrivèrent finalement à la bordure de ce qui semblait être un désert, et Tetsuko devina qu'il devait s'agir du désert de Kaze, qu'elle avait vu sur des cartes. Elle contempla un peu le paysage - elle n'avait que ça à faire de toute manière - puis celui qui paraissait être le leader les arrêta. Il annonça que la petite équipe allait se séparer. Elle se dit que si on ne l'avait pas mise au courant, ça ne devait pas la regarder, et elle ne dit rien, se contentant d'adresser un signe de tête à ceux qui partaient.

Tetsuko en avait lu assez sur ce fameux désert pour savoir qu'il ne valait mieux pas s'y attarder. Elle aurait aimé poser des questions sur les environs, car après tout, elle n'avait jamais mis les pieds à plus de quelques kilomètres du village. Mais elle n'osa pas ouvrir la bouche, tant le silence de ceux qui l'accompagnaient pesait.

Et en pensant à ses contrées qu'elle explorait, elle ne put s'empêcher de penser à Kyoko. Était-elle passée par cette route ?

"Te reverrais-je un jour..."

Nous y voilà. La frontière délimitant la forêt au désert ardent. D'un côté la verdure qui y poussait et de l'autre de la poussière accumulée sur des siècles et des siècles. Nous n'aimions pas cet endroit. Nous le haïssons et pourtant lui aussi était proche de notre ancienne maison. Comment était-ce là-bas depuis ? Nous nous le demandions et l'observions du mieux que nous puissions à l'aide de notre fleur ornant nos cheveux.

Nous pouvions alors percevoir deux endroits différents à la fois. Norte rêve perdu et notre prochaine destination. Nous restions monotone et ceux même cachées derrière un simple masque. Nous étions Kitsune et nous nous apprêtions à écouter les ordres du chef de la troupe.


Puis, nous nous positionnions à une distance convenable de notre protégée. Il ne devait rien lui arriver. Mortes d'apparence, mortes de tous sentiments, nous voulions tout de même respecter notre objectif d'escorter et protéger la demoiselle.

Le désert de Kaze n’offrait rien de bénéfique. Ces terres arides n'offrait que désolation et complication. La chaleur intense épuisait nos corps et c’est grâce à notre préparation permanente que nous sommes capables de survivre. Sans compter la présence de ces bêtes que j’espérais ne jamais rencontrer.

A peine avons-nous foulé ces terres sableuses que l’ordre avait été donné de nous séparer. Nous le savions, mais rien n’est plus déchirant que de devoir abandonner une partie de ses frères d’armes. Il fallait leur faire confiance et garder l’espoir de les revoir indemnes. Après tout, ma survie était aussi importante. D’un simple signe de tête, j'acquiesçais aux ordres de notre chef d’équipe. Tout le monde connaissait son rôle, tout le monde connaissait les risques.



Dis-je simplement, la voix pleine de détermination.

J’étais effrayé, mais préparé à affronter les pires ennemis. Pourtant, ce qui m’effrayait le plus, c’était bien de ne pas réussir à protéger cette jeune fille lâchée dans une telle mission. Très vite, j’éloigne ces mauvaises pensées loin de mon esprit, gardant la tête haute et ce courage qui m’animé chaque jour.

Sans un geste de plus, je restais là, immobile, fixant ces hommes et ces femmes qui s’apprêtaient à nous quitter. Il ne suffisait plus que d’un mot, d’un geste de Kotaro pour que nos recherches débutent. Qu’allions-nous trouver ?

La traversée de la forêt n’avait été qu’une étape. Kenshin en tant que forestier était habitué à ce lieux. Cela se passa sans encombres fort heureusement. La deuxième étape, fut le désert de Kaze… un endroit qui pouvait se montrer bien plus dangereux que la forêt. S’arrêtant sur ordre de Kame, il écouta les consignes avant d’acquiescer.



Il regarda ses compagnons d’armes qui partiraient en chasse brièvement un à un. A chaque mission où ils devraient se séparer, il n’étaient pas sûrs de se revoir. Mais tel était le lot quotidien des ses combattants d’Elite. On ne les envoyait jamais dans des missions simples. Il se positionna à côté de la jeune Uzumaki regardant les autres partir. Après qu’ils eurent quitter le champ de vision de celui qui se faisait appeler Ryu, il dit comme pour motiver ceux restant.



Cela ne laissait que peu de répit à la jeune fille et il le savait. Mais ils devaient aussi éviter de trop rester immobiles. Ils feraient des cibles faciles sinon.Il utilisa de quelques mudras afin de sélectionner son arme pour ce voyage. Un Yari, avant de se mettre en route…

Elle était prête, elle s’était entraînée et avait revu son protocole comme à son habitude d’une manière devenue automatique et presque robotique. La forêt n’était même pas un problème à ses yeux, elle qui l’a connue, l’a cherchée et s’est finalement familiarisée avec, la transformant en véritable terrain de jeu mortel.
Elle savait que la traversée allait être longue et pourtant, c’était sûrement la première fois qu’elle se demandait si elle allait revenir en bon état. Le long trajet se passait en silence, l’occasion pour elle de se faire des schémas dans son esprit, des calculs pour plus tard, au cas où comme elle aime si bien le dire.

À l’arrêt, la division du groupe fut rapide. Tout le monde savait déjà ce qu’ils avaient à faire alors pourquoi perdre du temps si futilement. Pour son plus grand plaisir, elle ne poursuivrait pas l’escorte mais elle allait du côté du danger. Pas qu’elle n’appréciait pas protéger les siens mais elle préférait les traques, le grabuge et presque le sang dirait-elle. Elle ne fit qu’un signe de tête, partant avec son groupe de leur côté.

Une chose l’effrayait presque : le désert. Elle n’y avait pas remis les pieds depuis bien des années et son expérience n’en était pas toute rose. Elle l’appréhendait pas mal et pourtant, elle avait presque hâte de prendre sa revanche personnelle sur lui. Le danger était proche mais elle ne le craignait pas, le monde sauvage ne l’impressionnait pas.
Elle était prête à tout affronter, une excitation presque montante.