Aller, du nerf !

Cela faisait une semaine que Daiki et son sensei s'entrainait tous les jours en foret. Il lui avait fait une sorte de petit parcours physique où il devait courir, sauter, esquiver, encaisser les coups, nager brûler des structures et tout ça jusqu'à vomissements. Il avait les muscles en feu - et c'était le cas de le dire - ses courbatures n'avait jamais été aussi intense. Son sensei se permettait de faire cet entrainement avec lui car il était médecin et en plus Chikara, car Daiki risquait à tout moment d'être à court de chakra.

Le temps de se faire cette réflexion, il avait bruler une palissade ériger par Takumi qui lui avait bloqué l'accès. Il retomba sur ses jambes et se remis à courir, il devait sauter pour éviter les kunais que lui envoyer son prof, il le soupçonnait de faire exprès de ne pas bien les lancer à vrai dire. Il prenait tout de même un malin plaisir à le torturer vu l'expression qu'il avait. Il continuait de courir sur l'eau tout en évitant les boules de chewing-gum qu'il s'était mis à lancer. Maintenant il devait prendre un mannequin de 80 kilos, le porter sur une centaine de mètre et le soigner. Il couru du mieux qu'il pu avant que ses jambes ne le lâche derrière un arbre, il commença à effectuer ses jutsus de soins - dans le vide du coup - avant que Takumi vienne ne lui mettre un coup de pied dans le dos, qu'il encaissa et esquiva le coup suivant avant de s'enfuir avec le mannequin.

Il continua à courir sur une centaine de mètres avant que Takumi ne le rattrape afin de lui mettre des coups de poing boostés par la médecine. Ils infligeaient de grosses blessures, il essaya de les esquiver tout en protégeant le mannequin, ce qui ne marchait pas du tout. Il était obligé d'activer son œil de Kitto afin de ne pas se prendre de coup du clone comme il l'avait déjà fait. Il finit par se prendre un coup de pied qui le coucha complétement avant de s'évanouir.

A son réveil, il y'avait Takumi à côté de lui, toujours en pleine nature, c'était un coin de la foret proche du village. Il lui faisait des réflexions sur tout ce qu'il avait mal fait. Ca commençait à le fatiguer mais il voyait le positif, il s'endurcirait et puis tout le monde était passé par là un jour.