Masashi se mit à retrousser ses manches et se débarrassa de ses deux gants. Il se fichait de dévoiler son identité, il ne comptait pas laisser une chance à son adversaire de survivre. Possesseur du sang Hattori, l'homme était particulièrement toxique. Son contrôle du poison était tout simplement parfait. Caché sous son masque, il ajouta :
« Voyons qui sera le plus toxique. »
Masashi Hattori fixa son adversaire avec un regard imperturbable, un sourire dissimulé derrière son masque. Les manches retroussées, il exposa ses avant-bras, révélant la détermination sculptée dans ses muscles. Les deux gants jetés de côté, Masashi était prêt à plonger dans ce duel de toxines.
Un rire sardonique s'échappa du masque de Masashi, résonnant dans l'atmosphère tendue. Sa réputation de manipulateur de poison le précédait, mais il n'avait jamais rencontré quelqu'un prêt à relever un défi aussi direct.
Sans préavis, Masashi se lança dans l'attaque, sa main droite dévoilant une fine lame imprégnée d'une substance incolore. Il avança avec une agilité déconcertante, dansant avec une grâce presque hypnotique. Sa stratégie était claire : tester la résistance de son adversaire et trouver la faille dans sa défense.
Le poison Hattori n'était pas seulement un outil, c'était une œuvre d'art mortelle. Masashi était prêt à déployer toute l'étendue de ses compétences pour remporter ce duel empoisonné.
La plaine s'étendait à perte de vue, une toile infinie de verdure et de ciel dégagé. L'herbe, d'un vert éclatant, ondulait doucement sous la caresse d'une brise légère. Çà et là, des fleurs colorées égayaient le paysage, ajoutant des touches vives à la palette de verts. Le sol, d'une texture douce sous les pieds, témoignait de la fertilité de cette terre généreuse.
Au loin, une chaîne de montagnes majestueuses dessinait une silhouette imposante contre l'horizon. Leurs sommets enneigés brillaient sous la lumière du soleil, créant un contraste saisissant avec la douceur de la plaine. Les collines douces, recouvertes d'arbres et de bosquets, ajoutaient de la texture à cette étendue d'une beauté simple et naturelle.
Le ciel au-dessus était d'un bleu profond, parsemé de nuages blancs qui dérivaient lentement. Le soleil, un disque d'or étincelant, baignait la plaine d'une lumière chaude et apaisante. L'atmosphère était empreinte de calme, seulement perturbée par le doux murmure du vent et le chant lointain des oiseaux.
C'était un paysage qui respirait la tranquillité, invitant à la contemplation et à la connexion avec la nature. La plaine, vaste et libre, offrait un refuge paisible loin de l'agitation du monde.