L’obscurité enveloppait cette étrange pièce ou seule la lueur d’une bougie, déposé dans un crane briser, semblait se débattre inutilement. Alors que la flamme crépitait, révélant de nombreux écrit posait en vrac sur une table. Le nom de Kamiyonanayo revenait souvent sur bon nombre d’entre eux. Certaine des œuvres était d’un noir profond, l’encre ayant parfaitement imbiber le papier, d’autre était écris dans des langues que le singe ne pouvait traduire. Cependant, il arriver qu’une image, un mot ou une phrase ressortait vivement. Aussi limpide que la lune brillant au firmament. Le singe disposait d’un savoir aberrant auxquelles il n’avait pas accès.
« KitaÏ ? Kitaï !? Tu vas bien ? »
Clignant des yeux, le singe contemplait fixement le petit feu qu’ils avaient allumé en installant leur campement. Depuis qu’il avait quitté Taki, il faisait souvent ce genre d’absence, ce qui ne rassurait pas son acolyte. Dramatisant à peu trop la situation.
« On devrait trouver un médecin. T’es bizarre depuis que on a croiser l’autre folle. »
Kitaï n’était pas rentrer dans les détaille au pré de Yôgi. Les histoires du Prince était bien trop compliquer à expliquer. La mort de Rei l’attristait encore malgré l’étonnante distance que son esprit avait prit par rapport au fait. Depuis qu’il avait planter ce poignard en lui. Il était… différent, et l’Abura l’avait bien remarqué.
Fixant son propre masque couleur rubis, que la lumière mouvante rendait d’autant plus sinistre, il décida de laisser parler le jeune homme. Il était libre maintenant et, pourtant, manquer cruellement de temps. La seule chose qui n’avait guère changeait finalement. Quelque chose se préparait et il avait le choix dans devenir un acteur de son propre chef. Une chose à laquelle il n’était clairement pas habitué. Depuis Kumo, il n’avait jamais vraiment été libre de ces choix. Entrainer par le courant dans l’histoire des Kenketsu et Gaikotsu.
« On manque toujours de temps finalement... »
Il regrettait évidement que Makoto ne l’ai pas suivie. La vampire lui aurait été d’une grande aide afin de rallié des sangsues à sa cause. Après tout, il était à la fois leur sauveur et leur bourreau.
L’Abura lui restait perplexe face au propos de Kitaï. Ce genre de phrase n’était clairement pas habituelle et il avait l’impression d’avoir manquer quelque chose d’important. Surtout qu’il n’avait était qu’un fardeau...