Un grand voyage - Partie 2

J'étais alors à Konoha lorsque je reçus une lettre me convoquant dans le bureau de notre Hokage, prit de ma fougue usuelle j'étais convoqué pour une mission diplomatique avec l'Hokage Chikara. Pourquoi m'avait-il choisi moi était la première question qui me venait à l'esprit, mais bizarrement cette question fut très rapidement remplacée par de la joie, j'allais enfin sortir de l'enceinte de Konoha et de ses forêts à la découverte d'un nouveau pays et d'une nouvelle culture.

En arrivant là-bas il ne perdit pas de temps, il m'empêcha de poser des question en me proposant de les poser en chemin et commença de suite à s'en aller en direction de Kiri. Je haïssais cet Hokage mais pourtant il semblait avoir de l'intérêt envers ma personne qui était bien sûr camouflée sous des tonnes et des tonnes d'Hokagaiseries ! En tout cas je partais et la seule chose que j'espérais en partant c'est qu'il y ait de quoi m'amuser à Kiri, peut-être de l'action.

Ellipse.

Nous arrivions enfin à un endroit lorsque tout à coup on me proposa de lever le camp ici, c'était un bon choix, la zone était très bonne afin d'y lever un camp, les arbres couveraient la fumée et c'était sûrement assez loin de la ville pour ne pas être repéré et peut-être malencontreusement prit pour des agresseurs, mais aussi assez proche pour s'y réfugier en cas d'attaque surprise ingérable.

En tout cas alors que nous posions nos petit fesses sur le sol je ne pouvais m'empêcher de penser, que va-t-il nous arriver dans ce pays, quelles aventures nous attendent. Mais au fur et à mesure où j'imaginais des centaines et centaines de scénario plus le doute s'instaurait en moi, pourquoi ce Kage m'avait-il choisi en dépit de Chikara Nakatsu qui lui était Chunin, et surtout pourquoi pour une telle mission ? Était-ce un test ? Un piège ? Ou était-ce une promotion ? Pleins de question se bousculèrent en moi et la seule chose que je pensa à dire est :

        Nous étions arrivé, le pays de l'eau, enfin, l'avenir nous tendait les bras, plus qu'un pas, et nous pourrions le saisir. Le lieu était propice à un bivouaque, la foret encore présente nous protégeais des regards indiscrets. La cote n'était qu'a deux pas, et pourtant si loin, ici, personne ne pourrait nous voir. Parfait.



        La patience est une vertu, je comprends qu'à son âge, on est pressé, on a hâte de croquer la vie. Mais il faut attendre, savoir grandir, développer son esprit et son corps. Je l'avais vu combattre, il m'avait impressionné, une aisance et une hargne sans pareilles. Même s'il était un Uzumaki, ce gamin avait de l'avenir et je me devais de le pousser, jusqu'au bout, pour le renouveau de la feuille.



        Je jetais un œil sur le ciel, il était de bonne augure, espérons que demain sois de même.