Rencontre avec un Uzumaki [Flash Back]

Le soleil était haut dans le ciel, le coup de midi avait sonné et le jeune Kaguya parcourait les ruelles qui ornent le centre-ville. A cette heure-ci, la brume s’était estompée laissant apparaître un village peuplé. Hito se noyait dans le bain de foule et peinait à parcourir la rue principale du village.

Son ventre lui faisait savoir que leur du déjeuner arrivait à grand pas. Le shinobi s’arrêta net au son de grondement que faisait son estomac. La main posée sur son ventre, le jeune Kaguya recherchait des yeux un lieu de restauration. A peine eut-il le temps de s’arrêter qu’il se voyait emporter par le mouvement de la foule. Sa faible corpulence ne lui permettait pas de lutter et nonchalance naturelle l’emportait dans le même sens que la foule.

Quelques minutes après, Hito se retrouvait devant une enseigne en bois. Il avait finalement réussis à trouver un restaurant. On pouvait lire sur le bout de bois accroché devant lui le nom Kunitoraya. Le restaurant avait une certaine notoriété dans le village de Kiri. La plupart des Kirijins se retrouvaient dans cette bâtisse autour d’un délicieux plat préparé par le célèbre cuisinier Amako.

Le jeune Shinobi entra d’un pas nonchalant et la main posé sur le ventre dans le bâtiment. Il se posa au bar sans vraiment faire attention aux nombreuses personnes qui peuplaient la salle. On lui adressa un menu où il plongea immédiatement la tête. Après quelques secondes, le jeune shinobi sortit son porte-monnaie avec un air abattue. Il savait pertinemment qu’il ne pourrait pas se payer le menu de luxe ni même un plat copieux. Il finit par abandonner et se rabattit sur le plat de pattes.




Sa tête blanche tomba presque immédiatement sur la planche de bois qui servait de bar.

Cela faisait maintenant à peine quelques secondes que Bokyoku avait émergé des bras de morphé... Les yeux légèrement collé et encroûté, la soirée de la veille avait été rude, l'alcool avait coulé à foison, il avait passé une soirée plus que bien arrosé au Kunitoraya pour célébré l'anniversaire de Umi, le barman du restaurant qui fêtait fièrement ces vingt-trois ans avec les clients habituels, ces collègues et ces amis... Bokyoku faisait partis des trois catégories, il avait été un client régulier de ce lieux, avant de travailler en temps que comis en cuisine, suite à quoi il c'est tissé des liens d'amitiés avec certaines personnes du personnels... Certes, l'Uzumaki avait finit la soirée ivre mort, mais bizarrement il se souvenait de la soirée au complet et en était relativement fier !

Alors qu'il se décroûtait les yeux en se les frottant activement, et agita ces long cheveux pour tenter de les remettre en ordre avant de s'asseoir le regards vide sur son lit... Alors il tendit son bras en direction de sa table de nuit pour y attraper son Kiseru, une vieille pipe en bois qui se voyait noircit par la fumé qui s'en dégageait habituellement... Et c'est pas aujourd'hui que cela allait changer, il sortit d'une petit sachet en tissus de l'herbe, du Tamia qu'il allait fourré dans le réceptacle avant d'y mettre le feu à l'aide d'une allumette... Suite à quoi il tira quelques bouchées de fumées, Bokyoku profita de cette douce sensation que d'emplir ces poumons de cette herbes aux effets psychotropes... C'était selon lui, LA meilleure façon de se remettre d'une soirée arrosée! Il passa encore une heure affalé sur son lit où draps et couvertures étaient éparpillé à fumé son tamia afin d'atteindre un stade de calme parfait, reposé...

Alors que le soleil était en son point culminant, l'heure de midi était affiché... Il était temps de se rendre au Kunitoraya, qui était maintenant ouvert, afin de régler son dû de la veille... La note allait probablement être salée, bien qu'une bonne parti fut offerte par Umi, le barman... Alors que la brume était sur le point de se levé, il arpenta les rues bondés de Kiri, alors paisiblement, il se laissa entraîner dans cette vague humaine jusqu'à son repère, Kunitoraya!

Une fois pénétré dedans, il aperçut Ameko qui le saluait avec son sourire habituel, dans son regard on pouvait comprendre qu'il compatissait avec le dur réveille qu'il avait dû subir ce matin... Il ne pu que lui répondre d'un geste du visage et d'un petit rire... Alors il s'avança vers le bar et s'assis à côté d'un homme à la chevelure blanche, comme la plus part des villageois de Kiri, Bokyoku était une des exceptions avec sa tignasse rougeâtre... L'homme lui était inconnu, il commanda un plat de patte avec un verre d'eau... Le repas du pauvre pensa l'Uzumaki... Suite à quoi, la tête du jeune homme vint percuter le bar... Bokyoku ne releva pas l'action étrange... La serveuse et amie Ebiko, arriva et l'embrassa sur la joue droite en l'enlaçant... Les deux protagoniste étaient très proche, ils avaient su créer des liens forts lors des divers services ensemble au restaurant... Alors Ebiko prit la parole:





Alors enfin il se retourna en direction de l'homme avachit sur le bar, peut-être était-il mal ? Alors il le regarda avec des grands yeux rond et lui adressa la parole avec une voix basse...

Alors que sa tête s’enfonçait de plus en plus dans le bois terne et alcoolisé, une soudaine secousse le fit sortir de ces songes. Sans vraiment y faire attention le jeune Kaguya revint à ses occupations tout en restreignant les appels de son ventre devenu de plus en plus sourd.
Alors que son voisin commençait à discuter avec une des employés du restaurant, Hito ne put s’empêcher d’épier la discussion qui se tenait à ses côtés. Il jalousait un peu la détente dont faisait part son voisin de siège, mais son ventre le rappela au devoir. Le visage sur le comptoir il retomba aussi facilement qu’il l’en ai sortir dans ses pensées.

Cette pause ne fut que très bref, lorsque le jeune homme a ses cotés lui adressa la parole. Hito retourna son visage vers celui-ci tout en restant avachis sur le bar. Il lui fallut quelques secondes avant de prendre cette décision. N’ayant pas vraiment l’esprit à parler, il ne voyait pas la nécessité de répondre. Faute de retomber dans ses pensées lugubres, il décida de lui adressa un regard vide dont il avait le secret.

Hito n’était pas une personne très éloquente et ne voyait pas l’intérêt de parler qu’en cas de nécessité. Mais en posant son regard sur son interlocuteur, celui-ci fut intéressé par la chevelure qu’il lui faisait face. Très rares sont les Kirijins qui arborent une tel couleur, seuls les esclaves Uzumaki anciennement achetés par le village avait de tels caractéristiques. Et ce point intéressait le jeune shinobi.

Arborant alors son habituel regard il décida d’adresser quelques mots à l’étranger, mais au même moment le serveur déposer le plat de patte devant lui. Sans vraiment faillir à son expression, il continuait à regarder le prétendu Uzumaki la joue collé sur le comptoir.



Hito faisait attention à économiser les mots qui sortait de sa bouche. Il se releva alors pris une bouchée du plat sans âme qui lui faisait face.

Bokyoku regarda l'inconnu avec des grands yeux rond, les sourcils surélevés en attendant une réponse de cet homme à la peau blanchâtre... couleur de peau non choquante pour un kirijin, par le simple fait que le soleil ne traverse que rarement la brume épaisse qui à élu domicile sur l'île. Alors que Amako posait l'assiette de pattes devant la figure de l'homme qui n'avait point jugé bon de se redresser, restant ainsi visage collé contre le bois qui poissait... dû à l'alcool renversé durant les plusieurs années de service... Il prit enfin la parole, seulement quelques mots prononcé sans grande conviction:



Suite à quoi, il daigna décollé sa gueule du bois... On aurait presque pu apercevoir la peau rester coller quelques secondes sur le bois humide du bar avant de s'en détacher tellement que son repose tête était crasseux et collant... Mais, il ne pouvait en aucun cas juger ce jeune homme... Car lors de diverse soirée trop arrosé, il avait fini dans la même position. L'homme à la crinière blanchâtre, apporta une fourchette de patte qu'il emmena dans sa gueule béante qui n'attendait, vraisemblablement, que ça... Sans détacher son regard étonné, Bokyoku tenta de prendre la parole en laissant place à quelques onomatopée...



Suite à ces quelques mots annoncé avec une pointe d'ironie tout en s'étirant de tout son long... Ebiko arriva...





A peine qu'elle posait une assiette fumante avec du poisson en sauce qu'elle repartit droit en cuisine en affichant un large sourire à Bokyoku! Il est vrai que la salle était drôlement remplie et que le service devait tenir un certain débit pour ne pas faire attendre une clientèle qui pouvait se montrer exigeante ! Sans avoir entamer son poisson, il regarda de nouveau l'étrange personnage qui se trouvait à sa gauche entrain de dévorer ces pattes....

Après avoir lancé quelques mots a son voisin, Hito se replongea dans son plat avec une concentration presque religieuse. Son regard était plongé sur le plat, bouché après l’autre les pattes commençaient à manquer. Si ce n’était pour le commentaire lancé par l’Uzumaki, le plat aurait était finis plus rapidement. En effet, les quelques mots balancés par son voisin sur un ton moqueur firent réagir le jeune Kaguya.



Le jeune homme s’arrêta un bref moment, la fourchette a l’air. Il n’était pas très conseillé de mettre une telle idée dans l’esprit d’un Kaguya. Un quelconque membre du sanguinaire clan des Kaguyas se serait déjà rué sur le jeune homme à la chevelure rouge. Il ne suffit à Hito qu’une seconde d’hésitation avant de replonger dans son plat. Ce dernier faisait preuve d’une grande habilité dans le contrôle de sa fourchette, guidé par sa faim il ne lui suffit que quelques minutes pour finir son plat, laissant ce dernier tournait sur lui-même.

Après avoir finis son plat, Hito se retourna vers l’Uzumaki qui commençait à l’intéresser. Ce dernier était tellement concentré sur son plat qu’il n’avait pas remarqué que son voisin fut servi. Avant même qu’il ne put poser les yeux sur son interlocuteur, l’odeur l’attira vers le plat de poisson. La faim recommençait à faire son apparition et le jeune shinobi peinait à le cacher. Bokyoku lui adressa une question se présentant comme une réponse à la faim qui continuait à envahir son estomac.





Le jeune homme essayait de garder une expression passible tout en résistance à la faim. Mais comme une envie de son corps de se rebeller, son estomac répondu à la question de l’Uzumaki avec un grondement gênant. Cette rébellion avait démoli tout espoir de garder une fierté intacte. Afin de se rattraper le jeune shinobi continua sur sa lancé.