Genichi apprit sur le tas que Kokujo avait perdu ses parents il a maintenant de nombreuse année. Genichi ne ressentait aucune tristesse en apprenant cela. La vie et la mort sont infiniment liés pour le masqué, d'ailleurs, il appréciait la mort, ou du moins, la sensation qu'il ressentait lorsqu'il l'a donnait...
« J'ai donc confiance en tes qualités de cuisinier... »
Attendant, assis le fessier sur le sol, que l'homme alluma un feu digne de ce nom et prépara le repas, il scrutait les horizons. Peu de chance que des ennemies puisse arriver à un tel endroit du monde, mais il valait mieux rester sur ces gardes. Une dizaine de minute après, Kokujo signala que le repas était prêt. Les deux lapins étaient dépecé et cuit sur le feu. Genichi prit l'un d'eux et croqua dans la chaire chaude, se délectant de la douce saveur...
« C'est parfait ! Très bon ! »
Alors la bouche remplit de nourriture Genichi reprit:
« Je sais que je ne suis pas une des meilleurs compagnies.... »
Il avala et reprit:
« Pas le plus bavard... »
Il croqua à nouveau dans le lapin et tout en mâchant, il continua:
« Mais, je pense que nous pouvons bien nous entendre, toi et moi ! »