Curieuse rencontre.

Imawara venait de rentrer de mission , une quête périlleuse au sein du désert qui avait pour but d'en apprendre plus sur la disparition des parents du rouquin , et qui c'était soldé par la découverte d'un vieux collier menant à une salle scellée , dont l'emplacement est toujours inconnu par ailleurs .
Le rouquin ce réveilla chez lui avec encore des courbatures de la précédente mission , cependant il ne fallait pas trainer puisqu'il devait allez voir kimino pour lui parler d'une chose importante ; ainsi l'Uzumaki ce dirigea vers la grande place , la ou kimino passait régulièrement et Imawara scrutait les environs tout en marchant près des nombreuses boutiques décorant la rue . Il y avait tellement de bonnes choses à manger que le jeune ninja ne savait où donner de la tête , quand soudain en tournant le visage à droite il apperçu une femme seul dans une ruelle , elle portait un habit de la couleur de la nuit , on ne puis même pas en voir le visage . Une telle femme n'avait jamais été apperçu ici à Konoha , ainsi le talentueux sabreur décida de la suivre pour en apprendre un peu plus sur cette personne .
Le rouquin ce dirigea discrètement vers la ruelle et décida de monter sur les toits des maisons pour ne pas ce faire repérer ou du moins être avantage discret , Imawara ce devait de rester sur ses gardes car il ne connaissait rien des capacités de cette femme drôlement habillée.
Que faisait-elle à Konoha dans une tenue pareil et qu'elle était son rôle ?

Seule chez elle, personne ne venant troublé son intimité, Nagisa arpentait les couloirs de sa demeure, sa voûte plantaire venant effleurer la froideur du sol. Passant d'une pièce à l'autre, dans son plus simple appareil, totalement dénudée, elle profitait de la chaleur des quelques rayons de soleil qui passait via les rideaux entre-ouvert. Il était encore tôt le matin et la jeune adulte venait de se réveiller quelques minutes plus tôt. Elle agrippa sa ceinture où pendait sa poche à dés faites de soie et vint la passer autour de ses hanches nues. Jamais, au grand jamais, elle ne se séparait de ses cinq dés qui était précieusement enfermé dans ce tissu. Nagisa vint s'asseoir quelques instants dans un large fauteuil, quelques rayons de soleil venant réchauffer ses courbe généreuse qui était caché la plus part de son temps sous sa large tunique noire. S'étirant de tout son long, elle savourait chaque instant passé à se ressourcer des astres lumineux. Quelques minutes seulement, pas plus, la jeune femme avait à faire en cette matinée. Alors, elle qui se pavanait dans une nudité intégrale quelques minutes plus tôt, enfila sa tenu habituelle, tunique noir qui ne laissait apparaître aucun morceau de chair, autre que le contour de ses yeux. Sous celle-ci, bien évidemment, était caché sa poche, où résidait ses cinq artefacts...

Nagisa se faufilait dans les ruelles des quartiers claniques, empruntant uniquement celle qui était les moins utilisées par les villageois, préférant rester discrète... En ce matin, elle devait rencontrer un artisan auprès du quel elle avait passé commande. Cette homme était réputé pour donner forme à la cire d'abeille et confectionnait ainsi des bougies de toutes formes, et de toutes tailles, certaine pouvait même être mélanger à des arômes afin de diffuser une odeur spécifique lorsque celle-ci se consumait. Nagisa raffolait de son travail, ainsi, elle passait commande environs une fois par mois afin de se constituer son stock mensuel. Chaque soir, Nagisa réchauffait l'atmosphère de sa demeure en allumant diverse bougie et chassait ainsi les ténèbres, vivant exclusivement dans la lumière. Certes, son don inné pour manipuler la lumière aurait très bien pu remplacer l'éclairage à la bougie, mais, rien n'était plus réconfortant qu'une flamme...

Une fois sa commande récupéré et chargé dans un lourd sac en tissu, la jeune femme faisait chemin inverse, ou presque, la destination était la même que le départ mais le chemin utilisé était tout autre, elle passa dans une rue parallèle à la place centrale . Elle pouvait entendre le tumulte créer par les divers stands et leurs vendeurs à la crié, elle entendait les bruits, mais ne les écoutait pas, perdu dans ses nombreuse pensées, elle arpentait le sol poussiéreux qui venait salir le bas de sa tunique sombre. C'est après avoir marché environs cinq cents mètre dans une longue ligne droite qu'elle bifurqua dans une ruelle étroite, elle était désormais toute proche de chez elle...

Le paisible petit village semblait secoué par un évènement qui venait en troublé la tranquilité , en effet même Konoha a sa part d'ombre et les ruelles en faisaient partie , toute sortes de choses et de désagréments pouvaient arrivés lorsque l'on ce promenait seul dans ce genre d'endroits , cependant une femme voilée de la tête au pieds semblait passer outre cette généralité , elle transcendait ces lois . Le jeune ninja avait aussi pour but en la suivant de la protéger d'un éventuel malheur qui arrive si souvent dans ces recoins obscures . Sautant de toits en toits , Imawara poursuivis la femme entièrement vêtu de noir , elle semblait chargée et savoir où elle allait ... Rentrait-elle chez elle ? Était elle une kunoichi ? Tant de questions pouvaient être posées à propos de cette individu . Lorsqu'Imawara s'apprêtait à descendre pour engager la conversation , la femme ce fit encercler par plusieurs bandits qui semblaient armés de vulgaires couteaux et autres armes en tout genre , néanmoins ils demeuraient des bandits de bas étages , rien de bien dangereux , cependant les mains prises , la femme au manteau de minuit ne pourrait pas ce défendre . Ces hommes semblaient ne pas aimer les vêtements et l'apparence de la femme , ainsi ils lui demandèrent de se déshabiller et de leur donner toutes ses marchandises .
Le jeune rouquin qui était en hauteur pouvait entendre la scène se derouler mais il ne pu rester là sans rien faire pendant que cette personne se faisait agresser , par conséquent le sabreur sauta du toit pour atterrir devant la femme et la protéger . Il se retourna et regarda la femme en affichant une face amicale.

Le rouquin faisait face aux hommes malhonnêtes et tenta de les dissuader d'attaqué .

La jeune femme pénétra dans une ruelle plus sombre et plus étroite que les précédentes, une ruelle où les ténèbres régnaient, privé de la lumière de jour, cet axe avait de grande chance d'être mal fréquenté. Pourquoi est-ce que la religieuse l'empruntait donc t-elle ? Car c'est dans de tel endroit que nous trouvons les serviteurs du mal, ceux qui ont besoin de rencontrer la lumière et de se convertir à la flamme purgatrice... Nagisa n'eu le temps de faire que quelques pas lorsque quatre individus équipé d'arme blanche l'encercla et lui ordonna de se déshabiller et d'offrir chaque bien qu'elle possédait. Non effrayée, la femme voilé leur fit face, transperçant chaque hommes de son regard, regard qui ne transmettait aucun émotion de crainte ou de peur, rien, mise à part de la pitié... Oui, la pitié que le mal gangrène leurs coeurs et les poussent à agir ainsi. Alors qu'elle allait ouvrir la bouche afin d'exposer sa sagesse, un homme vint atterrir à seulement quelque pas d'elle, la vitesse de la chute fit vire-volté sa longue tunique, sans pour autant dévoiler la moindre parcelle de son corps. Le visage retourné, il lui demanda si celui-ci pouvait avoir l'honneur de faire déguerpir les voyous. Sans lui offrir la moindre réponse, autre qu'un simple regard curieux, le jeune homme continua son discours, mais cette fois-ci à l'intention des brigands, leur stipulant qu'il serait plus judicieux de leurs parts que de fuir tant qu'il était encore possible... Non fous, les quatre individus, conscient qu'il ne pourrait faire le poids face à ce qui semblait être un ninja de Konoha prirent leurs jambes à leurs cou et fuirent les lieux aussi vite que possible.
Nagisa, fit deux pas en arrière, afin de s'éloigner quelque peu de l'homme qui venait de la "sauver" -bien que réellement, elle n'était nullement en danger face à de piètres brigands de bas étage- afin d'éviter tout contact physique non désirée. Suite à cela, la femme inclina très légèrement sa tête en signe de reconnaissance. Bien que celle-ci aurait largement préféré qu'aucune intervention n'ai lieu, ainsi elle aurait peut-être pu ramener quatre âme assombrie dans la lumière du jour... Alors, la religieuse plongea son regard dans celui de l'homme et enfin, elle se décida à faire entendre le son de sa voix:



Effectivement, les personnes réputés à emprunter ces chemins n'était rien d'autre que les petites frappes de Konoha, des malfrats à la recherche de victime ou de certains trafics. Alors, pourquoi celui-ci échapperait donc à cette possibilité sous prétexte qu'il venait de faire fuir quatres petits brigands ? Peut-être cela n'était-il qu'un coup monté afin que la jeune femme en détresse se jette volontairement dans les bras du sauveur qui n'est rien d'autre qu'un agresseur de plus ? Ou bien, peut-être que cet homme ne souhaitait pas partager un probable butin ou le corps de la femme et avait donc faire fuir de potentiel concurrent... Tout étais envisageable... Mais la femme ne laissait paraître aucune peur dans son regard, uniquement une confiance, non pas en l'homme qui lui faisait face, mais en quelques choses de bien plus grand...
Alors, Nagisa, tout en rattachant son voile, reprit:

Suite aux paroles plutôt convaincante d'Imawara , les quatres brigands prirent la poudre d'escampette à toute allure , il faut avouer qu'ils n'avaient pas l'air assez fort pour vaincre un ninja de Konoha même si ils étaient plus nombreux . Le rouquin fier de lui se retourna en regardant la jeune femme mais celle-ci recula un instant avant de prononcer quelques interrogations à propos de la venue du jeune homme mais aussi qu'elles intentions l'habitait . Le ninja s'empressa de répondre poliment à cette femme .


Le rouquin était réellement intrigué par cette femme qui ne laissait absolument rien paraître dans son regard , elle semblait être au dessus des Hommes et semblait les jugés comme le ferait un juge qui rend sa sentence .

L'homme s'exprimait et tentait de convaincre l'inconnue qu'il avait agis qu'avec de bonne intention et que celui-ci ne lui voulait aucun mal. Il disait probablement vrai. Il en profita également pour se présenter, Imawara, la couleur de ses cheveux ne trompait pas quand à ses origines clanique, un Uzumaki. La politesse aurait voulu que la jeune dame se présente également, mais la Chikara était bien au-dessus de tout ça. Non pas qu'elle se considérait supérieur à l'individu, mais uniquement car son rôle était au-delà de sa propre personne. Tapis dans le silence, au milieu de la noirceur d'une ruelle sans passage, la femme contempla le jeune homme tout en écoutant son discours et ces questionnements.
Alors que Imawara vint de finir de poser ça question, Nagisa laissa quelques instants le silence peser, puis enfin, elle considéra l'individu et lui répondit:



Nagisa parlait avec métaphore et tentait de faire comprendre à son interlocuteur que déplacer le problème n'était pas la solution... Certes, les malfrats n'agiraient plus ainsi dans cette ruelle -et cela pour combien de temps ? - mais bientôt ils prendraient possession d'un nouvelle axe tout aussi obscure. La véritable solution aurait été de les amener vers la voix de l’honnêteté via le dialogue, avec patiente, écoute et discussion, peut-être que ces quatre brigands auraient pu devenir d'honnête gens qui à leurs tours auraient propagé le principe de l'honnêteté dans leurs cercles de connaissance...



Pour illustrer ses dires, la jeune femme, plongé dans un silence religieux, fit apparaître de sa longue manche sa main aux doigts fins et délicats et vint l'apposer contre les parois sombre du mur qui se trouvait juste à côté d'elle, et doucement, une lumière commença à émaner du mur qui au préalable était plongé dans la noirceur et enfin, la ruelle se trouvait éclairé de mille lumière. Puis alors, Nagisa claqua des doigts et la lumière disparut et laissa de nouveau place aux ténèbres. Scrutant du regard Imarawa, sans une once d'expression, tout en récupérant son sac remplit de bougie qu'elle avait préalablement déposé au sol, elle reprit:



Suite à cela, la religieuse reprit d'un pas lent sa route, en direction de sa maison. Est-ce que le jeune shinobi allait la suivre, curieux d'en savoir plus, ou allait-il continuer son chemin et ainsi retrouver son ami ?

Dans l'une des sombres ruelles de Konoha , Imawara venait de protéger une jeune femme de quatres bandits , ceci aurait pu paraitre glorieux si la femme en question était reconnaissante ou si elle ne semblait pas avoir été déçu par les agissements de l'homme à la chevelure flamboyante . Suite à la question posée par Imawara précédemment , nagisa répondit avec une sagesse gigantesque et informa des diverses solutions qui s'offrent aux gens pour chasser les ténèbres , afin d'illustrer ses propos l'individu au manteau crépusculaire posa sa main contre une des parois de cette ruelle , quand soudain la ruelle s'illumina et de magnifiques couleurs vinrent baignées le lieux qui pu être comparé aux couleurs des vitraux d'une église .
Un claquement de doigts stoppa net cette magie visuelle .

La femme reprit ses affaires et commença à déguerpir , le rouquin resta quelques moments sur place puis suivit son interlocutrice qui lui apparaissait trop étonnante pour être dénué d'un quelconque intérêt . C'est ainsi que Imawara rattrapa la femme et continua de lui parler et de l'interroger .

Le jeune homme venait de réagir comme l'espérait Nagisa, curieux, il se mit à la suivre et à la questionner, premièrement sur une possible appartenance à une quelconque religion et deuxièmement sur la raison d'un tel accoutrement, bien évidemment entre ces deux questionnement, il avait pu formuler de brève excuse. Bien que celle-ci n'était pas nécessaire. Imawara avait agit de la façon qu'il jugeait la plus approprié au circonstance, et par dessus tout avait agit avec son coeur, il avait tenté, à sa façon, de propager un semblant de lumière en repoussant durant quelques instants la pénombre envahissante. Désormais que la religieuse lui avait fait entendre une nouvelle façon de procéder, il était probable que celui-ci réagisse autrement à une même situation... auquel cas, des excuses seront désormais envisageable pour n'avoir retenu aucune leçon...
La jeune femme bifurqua dans une ruelle sur la droite, légèrement plus large que la précédente, il y avait suffisamment de place pour que les deux protagonistes tienne côte-à-côte. Alors, tout en continuant à marcher, sans altérer sa lente allure et sans jeter le moindre regard à Imawara, elle prit la parole:



Nagisa se stoppa net sur cette dernière phrase et fit un quart de tour afin de se retrouver face à son jeune interlocuteur. Elle plongea son regard de marbre dans le sien. Et reprit:



Suite à cela, la femme voilée reprit sa route, elle n'était plus qu'a quelques mètres de sa demeure. Elle traversa une rue bondé, se retrouvant ainsi sur un des axes principaux du village. Nombreux regards se posaient sur elle, imperturbable, elle avança d'un pas sûr afin de traverser en large cette rue. Puis, emprunta un petit chemin de terre qui quelques mètres plus loin menait à une maison sans la moindre luxure extérieur, isolée, au milieu de quelques arbres qui ne gênait en rien la pénétration du soleil sur la plus part des vitres. Alors, en foulant le chemin poussiéreux, elle considéra de nouveau le jeune shinobi:



Effectivement, la dame n'avait pas abordé le sujet de sa tenue avec ce jeune interlocuteur. Non pas que celle-ci tenait à garder de nombreux secrets, mais uniquement car elle considérait cette question inadéquate pour une discussion rurale...

Imawara et la religieuse était désormais dans une ruelle ou les deux individus discutaient de la femme et de ses ambitions ainsi que de son rôle , en réalité la femme était la seule à parler et le rouquin se contentait d'ecouter ses sages paroles . Le sabreur avait vu juste , cette femme était bel et bien une religieuse avec pour but celui de propager la lumière et d'éradiquer les ténèbres , cependant ses méthodes étaient plutôt peu commune . Les deux protagonistes se dirigèrent vers une étrange demeure qui semblait appartenir à l'etrangere.

Le jeune homme suivit la femme et pénétra dans sa demeure , c'était un univers très sobre et monotone , cependant il emanait quelque chose de spirituel de cet endroit , une sorte de pouvoir mystique pouvait habiter l'endroit .
Imawara resta debout par politesse et n'osa point s'assoir tant que la propriétaire ne lui en aurait donner la permission , ainsi il observa les alentours puis fixa du regard la femme .

Le jeune individu accepta l'invitation de la religieuse, alors tout deux pénétrèrent dans sa demeure. Une fois la porte d'entré passé, ils atterrirent dans un petit hall dénudé de toute décoration. Nagisa ôta donc ses chaussure poussiéreuse et invita Imawara à faire de même. Suite à cela, les deux protagonistes se dirigèrent dans un petit salon, relativement rustre, seul un canapé était entreposé au milieu de la pièce avec une table basse faites en bois juste devant celui-ci. Diverse bougie étaient également entreposé sur plusieurs bougeoir au qutra coin de la pièce. L'homme restait debout au milieu de la salle, fixant du regard la femme. Alors, se penchant légèrement en avant, la jeune femme lui dit:



Suite à cela, elle disparu durant quelques minutes avant de revenir avec une théière bouillante et deux tasse posées sur un plateau qu'elle déposa sur la table basse. Sans même demander si le jeune homme avait envie d'une quelconque boisson, elle se mit à remplir les deux tasses avec une grande élégance, pas la moindre goutte du jus ne tomba en dehors du réceptacle. Nagisa, vint s’agenouiller sur un coussin posé au sol et fit face au rouquin. Plongeant son regards dans le sien, elle lui fit un vaste signe de la main afin de l'inviter à boire...



Nagisa marqua une pause et feinta de regardé son thé qui refroidissait, puis reprit:

Dans la demeure de nagisa , une croyante , se trouvait cette dernière ainsi qu'Imawara ,un jeune homme qui en pensant la secourir avait commis une erreur : Celle d'intervenir avant que la croyante puisse leurs montrer le chemin de la lumière . Les deux personnages était dans le salon , nagisa au sol sur une coussin qui ne paraissait pas vraiment confortable , et le ninja dans le rustre canapé qui lui aussi n'était pas très agréable cependant il se fondait bien à la décoration qui était neutre , on ne ressentait ni peine ni joie au sein de cette propriété , les seuls objets qui sortaient un peu du lot étaient les bougies qui servaient sûrement à éclairer les pièces , il faut dire que l'occupante de cette maison en avait beaucoup et encore aujourd'hui elle avait été en acheter . Les deux personnages prirent le thé sans que Imawara n'ai rien demandé et enfin la religieuse continua sa leçon même si Imawara ne pourrait et ne ferais sûrement pas appliquer ces conseils .

Cette femme avait décidément un avis et un point de vu bien tranché à propos de la violence , cependant Imawara sait que parfois et bien souvent la force est nécessaire pour ce faire entendre en ce monde ou bien pour y instaurer une paix . Écouter ce genre de point de vue ne changera pas les habitudes d'Imawara cependant la conception du monde et de la lumière selon nagisa est intéressante , et si elle veux diffuser la lumière alors pourquoi ne pas voyager ? Imawara allait lui poser cette question .

La tasse de thé qui faisait face à Nagisa ne laissait échapper plus aucune condensation, elle devait certainement être froide désormais. Elle n'avait pas bue la moindre goutte de ce nectars, pour le faire, elle aurait dû dévoiler une partie de son visage à cet homme, et cela n'était pas envisageable pour elle. Les genoux posé sur un fin coussin commençait à devenir endoloris, une telle position tenu durant un certain temps pouvait se montrer douloureuse, mais qu'importait pour la religieuse, la douleur: elle l'avait dépassé depuis bien longtemps...

Le gamin qui lui faisait face ne semblait pas comprendre la théorie que la femme tenait, bien que celui-ci prétendait le contraire. Alors, elle devait continuer à lui expliquer un tel concept, si difficilement assimilable pour des ninjas...





Nagisa continua de fixer Imawara dans la profondeur de ses yeux, ses deux mains posées sur ses genoux, le dos droit, aucun signe de douleur -pourtant existante- pouvait se lire dans sa posture. Bien au contraire, la religieuse semblait sereine...