Dîner en forêt

Kimino avait proposé il y a quelque heure à sa nouvelle égale de dîner avec lui, mais cela n'avait rien de diplomatique, il s'agissait plus d'une grande attirance que ressentait le rouquin. Une attirance physique et mentale, rien chez la belle Risako ne l'attirait pas. Il ne comprenait pas bien ce qu'il ressentait pour elle, mais il tenterait de répondre à ses question ce soir. Kimino avait passé toute la fin de journée à préparer le repas en forêt parfait pour la jeune femme. Il avait placé quelques torches, dans une clairière à côté d'un lac. L'endroit était magnifique et sauvage, exactement comme Risako. De plus la luminosité était tamisée pour que son œil ne se fatigue pas.

Après avoir terminé les préparatifs de repas et de lieu, le Hokage se mit sur son trente et un, puis il alla chercher la belle Kirishitan là où elle logeait. Ce soir pas de village, pas de peuple, pas de chefs. Juste deux jeunes gens éprouvant une attirance que Kimino espérait secrètement réciproque.



Dit il avant de la guider pour qu'elle saisissent son bras. Il aimait quand elle avait son bandeau, c'était une excuse pour la garder au bout de son bras.



Puis Kimino commença la route, enivré par le parfum de la jeune femme, les deux mirent quelques minutes à arriver à cet endroit qui était devenu encore plus beau avec la tombé de la nuit, et le reflet des torches. Le Hokage déposa le panier de pique-nique sur une couverture qu'il avait placé sur la berge du lac. Puis avec tendresse, il vint attraper le bandeau de la jeune femme.



Voyant qu'elle se laissait faire, Kimino retira le bandeau de Risako avec une grande douceur, laissant apparaître son magnifique œil bleu. Il s'écarta un peu pour lui laisser le loisir d'observer le lac où reflète les lumière des torches, ainsi que cette clairière entouré d'arbres en fleur. Il espérait que cela ne soit pas trop banale pour une adoratrice de la nature.

Après avoir acté et signé le document officiel qui concrétisait l'Alliance des deux villages, Risako avait été convié à un repas par le Hokage. Elle avait donc eux quelques heures pour s’apprêter. Pour l'occasion, Risako avait enduit sa paupière supérieure d'un mélange de charbon et d'huile qui lui servirait de maquillage afin d'approfondir la profondeur de ses yeux. Afin de donner vie à ses lèvres pulpeuses, elle s'était concocté un mélange de baies qu'elle avait appliqué délicatement, animant d'une couleur profonde sa bouche. Elle avait également usé avec parcimonie d'un absolu de jasmin et essence de roses en guise de parfum. Sa tenue pouvait se montrer aguicheuse. Effectivement, son haut mettait en valeur sa poitrine et son ventre plat puisqu'il ne s'agissait que d'une simple brassiere blanche tresse. Pour contre carré, elle avait opté pour une longue et ample jupe de couleur rouge sang, avec des sandales qui arborait diverses perles exotiques. Certes, Risako était marié et était une femme fidèle, mais son homme l'avait délaissé, et celle-ci ne voyait pas le mal que de se sentir désiré dans le regard d'un homme, d'autant plus que Kimino était un homme véritablement charmant.

C'est donc ainsi apprêté qu'elle accueillit Kimino chez elle lorsque celui-ci vint la récupéré.



Tous deux se retrouvait à quitter le village, bras dessus, bras dessous. Les multiples villageois devaient certainement admirer la beauté des deux individus arpentant les rues. Doucement, minutes après minutes, le flot de bavardage et les divers bruits de l'animation de la ville diminuèrent jusqu'à totalement disparaitre. Ainsi, l'homme avait écouté sa demande et lui offrait la nature... Lorsque tous deux s'arrêtèrent, elle sentit que l'atmosphère avait changé. Le lieu était chargé en humidité, une chaleur émanait de part et d'autres, certainement des torches pensa-t-elle. Puis, avec délicatesse, Kimino vint ôter le bandeau qui couvrait l'oeil valide de Risako, la lumière était tamisée, un lac se trouvait devant eux, le reflet des torches se perdait dans l'immensité de l'eau. Une nappe posée sur le sol. Ceci était magnifique... Risako respira de tous ses poumons et s'exclama:



Doucement, Risako vint s'asseoir sur la nappe entreposé a meme le sol avant de demander, curieuse et avec gourmandise:

Quelle beauté, cette jeune femme était une véritable beauté. Ce visage, ce corps de rêve, elle avait de quoi se damner pour elle. Kimino c'était perdu à la fois dans son doux visage que dans son corps sexy. D'après sa tenue, la jeune femme avait bien prit le dîner comme un rencard et Kimino en était très heureux. Une fois sur les lieux la jeune femme le remercia avant de s'assoir demandant à Kimino ce qu'il avait concocté.



Il sorti deux verre et une bouteille de vin rouge sucré. Pas question d'alcool fort ce soir, l'ivresse devait monter petit à petit pour qu'ils prennent le temps de bavarder. Puis il sorti un assortiment de fruit de la régions. Raisins, nectarines, cerises, pommes, poires. Et des salades composait uniquement de légumes.



Il sourit et déboucha la bouteille, avant de servir deux verres, et d'en tendre un à Risako.



Puis Kimino trinqua avant de boire une gorgée de vin. Il s'était installé à côté de Risako l'épaule collé contre le siens, ils avaient entre leurs visage une distance d'une quinzaine de centimètre. L'odeur de la jeune femme l'enivrait plus que le vin. N'importe qui aurait vu un couple qui flirte en les apercevant.

Risako ne put s’empêcher de remarquer dans le regard de Kimino qu'elle avait convenablement réussi à mettre sa beauté en valeur et que cet homme savait l'apprécier à sa juste valeur. Il fallait dire que le Chef des Uzumaki faisait force d'un certain charme, sa longue crinière rouge lui donnait un style sauvage appréciable et son regard perferant en aurait déstabilisé plus d'une...
L'homme déboucha une bouteille d'un alcool doux à l'odorat, une légère note fruitée pouvait s'extraire du culot de la bouteille. Du vin, expliqua son compagnon, de l'alcool de raisin. Il entreposa par la suite divers fruits qu'il entreposa sur la nappe ainsi qu'un accompagnement de salade composée, le tout sans le moindre signe de viande. Cette attention rechauffa le coeur déjà bouillant de la Kirishitan.



Puis l'homme se mit à remplir deux coupelles du fameux alcool de vin avant de venir célébrer la fusion des peuples, de l'amitié et ... de la beauté qu'elle représentait. Elle rougit quelques instants avant de lancer:



Risako venait de tutoyer l'homme, c'était officiel, elle venait d'oublier le vouvoiement pour cet individu. Signe non trompeur qu'elle se sentait totalement à l'aise en sa présence. Trempant ses lèvres rougies par son assortiment de baie, elle vint délicatement les apposer contre le bord du verre et trempa avec sensualité ses lèvres dans le vin. Laissant ce délicieux liquide couler dans sa gorge, elle apprécia la note boisée qui était cachée dans cet alcool. Un véritable délice !

La soirée se passait plus que bien, la jeune femme se laissait tellement aller qu'elle s'était même mise à tutoyer le Hokage. Quelque chose était en train de naître entre eux, et c'était plutôt de bonne augure pour la fusion des deux peuples. La jeune femme se livra sur son monde qui semblait merveilleux, et sur ce cataclysme qui les a poussé à l'exode. Et elle confirma la rumeur, les Kirishitan avait bien commis le génocide Mitsuna sur son ordre. Kimino n'était pas dans le jugement, il posa avec une grande tendresse sa mains sur le visage de la jeune femme.



Kimino lui caressa la joue quelques secondes avant de s'arrêter pour servir les salade dans des assiettes de bambous, il tendit l'assiette à Risako.



Kimino était plus avenant envers la belle Kirishitan maintenant. Elle ne semblait pas contre, et elle lui laissait comprendre que Kimino lui plaisait. Les deux étaient de plus en plus proche, comme un couple prêt à s'embrasser.

Risako fut ébloui par le non-jugement de Kimino. Compréhensif, il vint apposer sa main sur la joue de la femme. Elle ne s'en détacha pas, elle appréciait ce contact. Durant quelques instants son esprit s'évada en direction de Salomon, bien qu'elle l'aimât, bien qu'ils étaient mariés, ce pasteur avait détruit leur couple et de cela Risako en avait conscience. Ses absences à répétition, son manque de discussion concernant les lieux qu'il arpentait, cet homme était un cheval sauvage avec un besoin de liberté tel que toute relation de couple était voué à l'échec... D'ailleurs, son rôle même de Pasteur lui était désormais illégitime. Un pasteur absent ne peut servir son peuple... Affichant à sourire, elle revint à ses esprits et entendit confirmation d'une rumeur que Moji lui avait rapportée concernant une tentative de génocide au sein de Konoha... Ainsi, Kimino avait également les mains salies par le sang...



Risako venait de dire "notre" village, c'était officiel, elle se considérait comme une Konohajin. Kimino lui tendit une assiette garnie de salade. Leurs visages étaient si proches que tous deux pouvaient sentir le souffle de l'autre sur leurs visages. Puis Risako recula doucement avec un sourire au coin des lèvres. Non, bien que l'envie était là, elle ne pouvait embrasser cet homme, du moins, pas tant qu'elle n'aurait pas mis les choses aux claires avec Salomon....



Puis, Risako trempa à nouveau ses lèvres dans l'élixir délicieux qu'était ce vin. Doucement, elle Senta la gaieté due à l'alcool s'emparer d'elle....

Les deux chefs du village était tellement proche maintenant, comme si l'amour était en train de s'en mêler. La jeune femme acceptait tous les contact physique que Kimino lui offrait, mais il n'essayerai pas d'avoir un baiser ou un rapport charnelle avec elle. Elle avait dit être mariée, et il ne voulait pas lui faire sentir un sentiment de culpabilité avec l'adultère.



Kimino bu une gorgée et regarda la jeune femme avec amour et envie, elle avait du le comprendre maintenant, Kimino était un implacable guerrier, une personne capable de la protéger. L'alcool commençait à légèrement rendre l'Uzumaki heureux. Et sans doute à cause de cela, il allait dire la prochaine phrase.



Sur ces mots, le Hokage commença à manger. Il ne voulait pas la pousser à l'embrasser où à rompre son serment de mariage. Mais il voulait qu'elle se dise "j'ai le choix, cet homme pourrait partager ma vie". Elle lui faisait oublier Kazami, elle lui faisait même oublié Tsubasa. Kimino n'avait jamais ressenti pareil sentiments, et il ne voulait pas laisser passer cela. Le repas continua les bouteilles étaient vide à présent. Et bien éméché Kimino dit.

Kimino prononça une phrase qui était composée d'un léger sous-entendu. et il y a bien d'autres choses qui m'emplirait de fierté et de bonheur si je les partageais avec toi Risako. Oui, il venait bel et bien de dire cela. Risako eut pour seule réaction un léger rougissement. Elle savait qu'elle ne pourrait s'adonner à aucune rencontre autre qu'amical tant que son Mari ne serait pas revenu et qu'ils n'auraient pas mis les choses aux claires. Mais tout de même, cela réchauffait le coeur de la femme de savoir qu'un homme tel qu'un hokage s'intéressait à elle... À moins qu'il ne s'agît que de l'alcool se mit elle a pensé quelques instants. Puis rapidement, elle se rassura en se remémorant les différents contacts physiques qu'il y avait eu entre eux lorsque tous deux étaient totalement sobres....
Alors que la boisson divine avait coulé à flots à tel point qu'il n'en restait plus aucune goutte à déguster. L'Uzumaki osa aller encore plus loin et proposa que tous deux aillent se baigner dans l'eau pure du lac avec pour seul observateur, l'aste lumineuse nocturne... Elle sourit lentement, intéressé par l'idée... Mere Nature avait offert des corps a chaque homme et femme dont ils ne devaient pas avoir honte puisqu'elle en était la créatrice. Alors, sans même répondre, Risako se redressa et fit un léger pas en arrière mal assuré, un des effets néfastes de l'alcool. Plongeant son oeil unique dans les regards vitreux de Kimino, elle fit glisser doucement sa jupe et se retrouva en culotte devant l'homme. Sourire au levre et sans la moindre gene, elle ota par le haut sa brassiere tressé et se retrouva ainsi sein nu devant un homme que ne connaissait finalement pas tant que ca et avec qui par la suite elle partagerait les commandes du village. Ses tétons fut durcie par l'air ambiant, et alors, elle dit :



Certes, elle exhibait fièrement sa poitrine, ses longues jambes interminable et son corps glabre, mais elle se refusait tout de me à enlever le dernier vêtement qu'elle possédait, sa culotte.

Et alors, en offrant une vue sur son fabuleux déhanché, Risako se dirigea d'un pas légèrement moins souple qu'a l'habitude, dû aux effets de l'alcool, se dirigea en direction de l'eau.



Puis un deuxième rire se fit entendre en même temps qu'elle glissa son pied dans l'eau fraiche.



Un troisième rire raisonna dans la nuit.

Kimino était loin de penser que le bain qu'il avait proposé à la jeune femme se déroule dans ces conditions. Il pensait que les deux resteraient habillé, au moins au niveau de leurs intimité mais la jeune femme décida de retirer le haut sous le regard de Kimino. Bien qu'il semblait toujours très assuré en temps normal, le jeune homme de tout de même sept ans de moins rougit en la regardant marcher jusqu'au lac.



Un léger rire, et le jeune homme se mis en sous-vêtement, dévoilant son corps musclé à la perfection et recouvert de cicatrice. Chaque combat, chaque mission et cette folle de Nagisa, tout ce qui avait marqué le corps du jeune homme était visible à l'œil de Risako. Alors que la jeune femme entré dans l'eau, Kimino arriva derrière elle, la prit par les hanches et colla son buste musclé contre son dos en lui murmurant.



C'est l'alcool qui parlait certe, mais elle ne faisait que dévoiler les sentiments du jeune homme qui se calina contre la jeune femme, l'entraînant dans l'eau leurs deux corps toujours en contact. L'amour était né et avait fait sa place entre les deux, et le seul obstacle était ce mariage qui ne semblait plus exister. Kimino se décolla, venant faire face à la jeune femme. Elle avait une vue imprenable sur son corps et sur toute ces blessures de guerres. Elle pouvait voir que malgré son jeune âge, il avait vu plus de combat et de bataille que son mari. S'approchant de son visage, posant son front contre celui de la jeune femme Kimino lui dit.

Risako avait pénétré dans l'eau fraiche du lac sous la lumière froide de la lune. Elle entendit a quelques mètres d'elle, dans son dos les paroles de Kimino qui précisait que le fait de sa nudité ne tenait qu'à son propre choix. Alors, elle rigola avant de lancer par-dessus son épaule:



Alors que l'eau lui arrivait au niveau des reins, que sa peau se hérissait due à la fraicheur de l'eau, elle entendit Kimino venir lentement dans son dos. Le souffle court, elle put sentir les mains de l'homme venant s'agripper à ses hanches, et son corps chaud se collant contre le sien avant que celui-ci vint lui souffler un murmure à l'oreille qui évoquait la désolation que Kimino ressentait face au mariage de Risako.
Gardant le silence, profitant d'un instant charnel qu'elle n'avait pas vécu depuis bien trop longtemps, puisque son mari l'avait tout bonnement délaissée. Elle s'étonna à se laisser couver par cet homme, aimant ce qu'elle ressentait. C'était probablement ce qui pouvait s'apparenter au commencement d'un sentiment d'amour. Une graine plantée dans l'âme de la nouvelle Hokage qui ne demandait qu'à être arrosée pour grandir et s'épanouir....
Se retournant, Risako vint faire face au corps musclé et parsemé de cicatrice de l'homme. Son regard courait sur son corps, s'attardant peut-être un peu trop sur celui-ci... Elle se rendit compte qu'elle le désirait....





Venant déposer ses mains sur le torse de Kimino, elle reprit:

Kimino et Risako était là ensemble sous les étoiles. Leur amour naissant les faisait à la fois nager dans le bonheur, et connaître une intense souffrance. Les deux se faisait maintenant face à moitié nu. Et la jeune femme dit quelque chose qui donna un grand sourire à Kimino. Le Hokage avait perdu la fois il y a de ça bien des années maintenant, il n'avait donc pas de problème avec la déesse de la nature.



Kimino posa avec tendresse sa main sur la joue de la belle Risako, il avait envie de venir prendre possession de ses lèvres, mais il savait qu'elle n'apprécierait pas, qu'elle devait d'abord mettre les choses au clair avec son mari.



Kimino sourit et vint la prendre dans ses bras collant leurs deux corps, avant de se laisser tomber en arrière sur la plage du lac, ainsi la jeune femme était au dessus de lui, et il vint tendrement l'embrasser sur la joue en disant.



C'était un amour vrai et sincère qui était en train de naître. Pas besoin de sexe, mais juste de la présence de la jeune femme à ses côtés.

Je me retrouvais mon corps nu entièrement collé à celui de Kimino... Je ne serai vous dire l'effet que cela me procurait, un sentiment de bien-être, un sentiment d'amour que je n'avais pas ressenti depuis si longtemps. Salomon s'effaçait de mon esprit. Ça serait vous mentir que de dire que je ne ressentais plus rien pour le Pasteur. Non, je l'ai connu au début de ma vingtaine et partagé des histoires si forte que je ne saurai l'oublier. Une traversée de deux ans en bateau est un génocide, forcément, sa créée des liens. Mais, je ne vous mentirai pas non plus sur le fait que ses absences à répétition on détruit notre couple, cet homme et un mustang sauvage incapable a dompté... Loin de moi l'idée de mettre en cage quiconque, mais j'ai besoin d'une personne forte à mes côtés. Salomon avait la puissance, mais il avait également le titre non honorable de "celui qui est toujours absent". Alors, je me suis laissé aller dans les bras de Kimino, sans retenue. Buvant ses douces paroles qui rechaufferaient le coeur de n'importe quelle femme ! Et lorsque celui-ci m'emmena dans sa chute arrière, je me retrouvais alors tout mon corps au-dessus de lui. Ma poitrine, qui je dois l'admettre est relativement imposante sans pour autant etre trop massive, pendais au-dessus de son corps, mes tétons venant effleurer sa peau. Sans la moindre gene, totalement alaise dans la nudité. Je souriais en lui répondant:



Je me mis à califourchon sur lui, mes fesses posées sur son sexe. Puis me redressa et lui tendit la main afin de l'aider à se relever. Je perdis quelques secondes l'équilibre, probablement dû aux effets de l'alcool.



Alors, je me rapprochai dans pas lent de la nappe posée sur le sol a la recherche de mes habits que je renfilai avec une certaine sensualité. Me dandinant légèrement pour renfiler ma jupe. Et levant les bras hauts dans le ciel afin de remettre ma brassiere...