Kimino était loin de s'attendre à ce qui allait arriver ce soir. Depuis presque un an, lui et Risako etait distant, mais il ne lui en voulait pas. Il la comprenait la mort de son mari avait été une épreuve, et le Hokage n'avait pas le défaut d'être jaloux des fantômes. Il laissait simplement le temps à la jeune femme de faire son deuil. Il avait ses propres démons à combattre de toute façon.
Le Hokage était obsédé par la mort de Sawakovet la disparition de Kara. Il allait souvent rendre visite à Hinae, et était devenu très ami avec elle et sa fille. Cela lui permettait également de jeter un œil sur la jeune Gaikotsu. Le village avait beaucoup changé, le Hokage Uzumaki avait grandement renforcé la garde du village, et réduit les libertés individuelles. Il devait protéger le village peut importe le prix.
Alors qu'il pensait à un moyen de protéger la forêt autour du village, afin que rien ne s'y cache trop proche du village, il fut sorti de ses pensées par la visite de quelqu'un. Au milieu de la nuit ? Pourvu que ce ne soit rien de grave... Il ne pu cacher sa surprise en voyant Risako.
Le Hokage l'écoutait avec attention, puis alors qu'elle lui fit ce qui semblait être la plus belle déclaration d'amour de sa vie, le jeune homme ne perdit plus de temps. Il embrassa la jeune femme passionnément, et la réponse qu'elle lui donnait se semblait les menaient à une seule chose. C'est ainsi que les deux se retrouvèrent rapidement en tenue d'Eve et d'Adam dans ce qui allait devenir leur chambre.
« Je t'aime aussi Risako... Plus que je n'ai jamais aimé personne ! »
S'en suivit une nuit de nombreuses étreintes torride et passionné où les deux comprirent qu'ils étaient fait l'un pour l'autre. Le goût de sa peau son odeur sucré, la sensation au touché Kimino n'avait aucun doute... Il venait de trouver la femme de sa vie. Et cela semblait faire le même effet à la belle Risako. Les deux s'endormir enlacés tendrement alors que dehors le soleil pointait le bout de son nez.
La régence de Konoha venait de changer, il allait passer de la république à la monarchie sans que personne ne le remarque.