Cela faisait maintenant quelques jours, que la belle Hattori Reika était venu dans le bordel pour sa demande particulière. Ce jour là, sans le vouloir, pour garder sa réputation, Lazuna avait du s'abaisser à donner satisfaction à cette jeune femme. Les nuits suivante, la vipère ne ferma plus l'oeil, elle ne faisait que penser au passé, à ce qu'elle avait été, et ce qu'elle était aujourd'hui. Il avait été rigolo pendant un temps de tenir une maison close, de ne plus se soucier de la trace pure, du pouvoir à Kumo. Mais maintenant toute ces pensées revenait la hanter...
Une nuit de forte activité, alors que toute les prostituées étaient occupées, Kazuna verouilla toute les portes de chambres, puis toute les portes de couloirs, elle sorti, et ordonna aux masques rouges présents, de mettre le feu au bordel, de le réduire à l'état de cendre. Tout ceux qui avait vu Kazuna s'humilier face à Reika était dedans, et ils allaient disparaître en fumée en même temps que la maison close. Ma vipère savait que cela allait sans doute lui créer des problèmes avec Hidemi, mais elle l'attendait... Depuis longtemps, la vipère voulait définitivement fermer la gueule de cette salope à lunette.
Les flammes commençait à prendre, et rapidement, le crépitement du bois dans les flammes se fit entendre, suivit par les hurlements des personnes faisant brûler vivent. Il était dangereux de travailler pour Kazuna, sur un coup de tête elle était capable d'agir de la sorte.
Dans le plus grand calme, elle marcha jusqu'à sa maison dans le quartier clanique, elle en avait terminé avec les bas-fonds. Elle avait déstabilisé le pouvoir en place là-bas, et maintenant les rats allait s'entretuer pour récupérer un tout petit bout du pouvoir. Cette pensée fit sourire Kazuna. Ce qu'elle aimait le plus, c'était de semer la zizanie dans les pouvoirs en place. Peu importe le niveau de pouvoir. Elle venait dépasser le porche de sa maison, c'était poussiéreux et sa sentait le renfermé, mais enfin elle aurait un peu de calme.
« Surveillez le périmètre, personne ne s'approche de chez moi ! »
« À vos ordres maîtresse ! »
Enfin, une nuit sans entendre couiner prostituée et clients.