HRP : Suite du RP: http://shinobi-rpg.ovh/sujet-146-1#msg1355
Konoha était calme en ce début de matinée. Cependant, ce calme était le prélude d'une tempête. Je pouvais le sentir. Après tout, depuis le départ -caché- de Yasuo pour Kiri, rien ne c'était déroulé avec calme dans le village. En effet, la nuit dernière Nakatsu avait fait entrer -intentionnellement- des vampires dans le village sans en parler à personne, trahissant de ce fait le village. Puis, alors le cadavre du traître fumait encore, le démon qui avait été scellé en moi c'était éveillé me traitant de lâche. Quelques temps plus tard, ce même démon s'empara de mon corps alors que Kazami, une medic-nin, essayait de me sauver. Et, à présent, le Chef du Clan Hattari -accessoirement Kage du Village de Kumo- souhaitait s'entretenir avec moi et en l'absence de Yasuo, Chef du Clan Chikara. Bref. Pour une nuit, cela faisait vraiment trop d'événement bouleversant d'un coup. Et, bien que j'assumais pleinement mes actes et mes responsabilité, je sentais que je devais en parler à celle qui -autrefois- nous avais rassemblé afin de fondé l'actuel village de Konoha.
J'espère qu'elle sera de bon conseil, pensais-je.
Ainsi, j'avais délaissé les Portes du Village de Konoha afin de me rendre au Temple des prières. J'espérais y trouver la jeune prêtresse afin qu'elle m'aide à faire le point sur la situation et, surtout, me dire si il était de bon ton d'accepter la proposition du Chef Hattori. Je ne connais rien d'eux, hormis qu'ils sont à la tête de Kumo et qu'ils sont puissant.
Peut être que la prêtresse pourra éclairer ma lanterne sur ces gens, pensais-je.
Arrivé au temple, je ne savais comment procéder. Après tout, je n'étais venu ici qu'à de rare occasion et, le plus souvent, la prêtresse m'attendait devant les portes du Temple. Cependant, aujourd'hui, ce n'était pas le cas. Elle n'était pas là, à m'attendre comme les fois précédente. C'était à moi de la trouver. Alors, par instinct, je me mis à chercher au alentour du Temple et plus précisément dans les jardin qui le bordaient. Et, à ma plus grande surprise, elle était là, aux milieux des fleurs. Fixant le temple. Elle semblait perdu dans ses pensées. A quoi pouvait-elle penser ?
« Prêtresse. Pardonnez-moi d'interrompre ainsi vos pensées mais j'aimerais, si vous le permettez, vous entretenir d'une question qui me taraude. Avez-vous du temps à m'accorder ? »