Blue eyes. Red hair.

Les faibles lueurs de deux chandelles à moitié consumés éclairaient la pièce la pièce dans laquelle se trouvait Ike. Il était allongé à l'envers dans un lit, ne pouvant accueillir qu'une seule personne. Ses pieds touchants ce qui ressemblait à un traversin, se trouvait à un bout du lit tendit que sa tête, pendante dans le vide, se trouvait à l'autre extrémité. Malgré cette position étrange, il se sentait bien, notamment physiquement. Pour une fois, il ne pensait plus à à l'absence de sa main droite, coupé par un ninja du Village de Konoha -nommé Uzumaki Taram- lors qu'une étrange nuit ni à la disparition de la Prêtresse de Konoha -qui avait laissé un trou béant dans son cœur. Cependant, ses pensées était toutes dirigés vers un duo de traite qu'il avait connu. Il c'était remis à penser à Uzumaki Gekido et à Uzumaki Kazami depuis que certains ninja du village avait eu vent de l'arrestation de Kazami et c'était mis à en parler, un peu trop librement.

Le Kitto avait un passé commun avec Kazami et Gekido. Un passé sombre et sanglant. Pensant.

Tandis que son moignon le picotait légèrement, le jeune homme se leva, bien décidé à pouvoir avoir une conversation avec la femme responsable de son état actuel. Il ouvrit alors sa penderie ou de nombreuses tenues étaient soigneusement rangé. Il passa ses doigts sur le costume de Grenouille. Cela faisait de long mois qu'il n'avait plus enfilé le fameux costume vert de Grenouille et pour cause, cela faisait de long mois qu'il n'avait plus ressenti l'euphorie qu'il ressentait auparavant lorsqu'il le portait. Et, depuis le départ de la Prêtresse, cela ne c'était guère arrangé. Cette tenue n'avait connu que de bon moment et n'avait jamais été taché par le sang. Et cela devait resté ainsi. Ike pris donc une autre tenue, moins voyante. Il s'agissait d'une tenue qu'il avait déjà porté, qui lui donnait plus un air de civil que de ninja. Il enfila alors une côte-de-maille directement sur peau nu qu'il cacha ensuite sous un haut blanc au col et manche noir. Il enfila ensuite son pantalon noir, sans porter de sous-vêtement, et plaça délicatement son moignon dans la poche de celui-ci, dans un système d'accroche qu'il avait mis au poing. Il s'agissait, en réalité, d'un simple système de lacet de cuir bloquant sa main. Puis, une fois habillé, Ike sorti de chez lui.

A l'extérieur de la maison familial du Kitto, la nuit été tombé. Les rues du Village étaient plongés dans le noir et certaines d'entre elle étaient encore animé et éclairé. Comme à son habitude depuis la perte de sa main, le shinobi se déplaça au sol, dans les rues désertes et peu éclairé du village. Lorsqu'il arriva, enfin, au niveau des portes de la prison, un garde s'interposa. Il ne pouvait passer.

***

Ike avançait dans le couloir, éclairé par de nombreuses torches, menant à la cellule de Uzumaki Kazami. Depuis sa dernière visite en ce lieu, peu de chose avait changé. L'air y était toujours aussi étouffant et l'atmosphère toujours aussi inhospitalière. Ike avait la désagréable sensation d'être observé, détaillé, par toute les pierres du couloir. Soudain, il arriva face à une cellule. Selon les informations obtenus un peu plus tôt, il s'agissait de la cellule que le Kitto cherchait. Celle de Kazami. Ike s'avança alors et frappa à la porte. Il n'était ni énervé, ni stressé en frappant à la porte. Il ne ressentait qu'un sentiment étrange, celui d'être à l'endroit exacte où il devait être. Et, tandis qu'il entendit que l'on s'agitait à l'intérieur de la cellule, il ouvrit la petite fenêtre situé sur la porte et dit clairement et calmement:

Depuis qu'elle était revenue, elle ne cessait de voir des visages familiers. Cependant, au lieu de sourire, ces visages étaient fermés, voir grimaçant. Elle connaissait bien sa part de responsabilité dans ce changement de faciès. Elle s'était retrouvé de jônin, à bras droit du Hokage, à déserteur, à prisonnière ... bien des statuts ... Mais une fin pas très réjouissante.
Kazami essayait de ne penser à rien dans sa cellule. Elle était assise sur son lit, ses genoux remonté contre sa poitrine. Sa tête reposait en semi-extension contre le mur froid et humide. Cette position lui permettait de pouvoir regarder par un petit trou dans le mur (en vérité il s'agissait normalement d'une fenêtre, mais Kazami refusait de l'appeler ainsi). Elle voyait de clair de lune illuminer la forêt de Konoha. Elle aimait tellement cette forêt. Son air, pur, qui entrait dans ses poumons ...
Des bruits de pas la décrochèrent de son attention. Quelqu'un toqua même à la porte de sa cellule. Kazami fronça les sourcils. Depuis quand on lui demandait son autorisation pour entrer ? Une tête apparue par la petite fenêtre.



Elle reconnaissait pas vraiment son visage mais sa voix. Il s'agissait là encore d'une personne qu'elle avait probablement déçue. Ils défilaient devant sa porte comme des visiteurs de zoo.



Kazami s'était levée sans s'en rendre compte.

Ike arqua un sourcil lorsque la jeune femme posa sa -première question. Kazami semblait hésitante quant à son identité. Elle semblait ne pas le reconnaître. N'avait-elle jamais vu l'ancienne Grenouille sans son masque. Ils avaient pourtant réalisé quelques missions ensemble pour le compte du Hokage. Ils avaient même été convié, avec d'autres, cette fameuse nuit. Était-il venu masqué cette nuit là, Ike n'arrivait plus à s'en souvenir. Après tout, à l'époque, il ne sortait jamais sans sa combinaison verte. Alors que maintenant il ne la sortait plus... Avait-il tant changé que cela depuis le départ du duo ? Après tout ses cheveux avaient perdu de leur luminosité et c'était teinté, seul, d'une couleur plus sombre et bien que ses traits et son regardent se soient durcit avec le temps, ils étaient resté les même. Ses yeux étaient toujours illuminé du même bleu...

Néanmoins, Ike comprenait le questionnement de l'amante -maudite- de Gekido. Elle devait surement s'assurer qu'il s'agisse bien de lui et non d'une autre personne. Et, comme le sous entendait sa dernière question, elle semblait surprise de le voir en ce lieux.


Ike marqua un léger temps d'arrêt dans sa phrase. En effet, alors qu'il avait commencé à parler avec la Kunoichi, il avait commencé à délasser les bandelettes de cuir qui lui servait à maintenir son moignon dans sa poche. Maintenant que ce dernier était libre de ses mouvements, il le sorti de sa poche et le posa contre l'ouverture de la porte. Il reprit alors:


Ike n'avait jamais su masquer avec habilité ses désirs, ses sentiments ou ses buts. Il n'avait jamais pu tourner autour du pot. Il n'avait que rarement menti ou réussi à dissimuler ses intensions. Et, aujourd'hui encore, il en était bien incapable de réussir facilement ce genre de chose. Ike avait toujours été un être simple. Et malgré sa souffrance actuel, il ne désirait rien d'autre que récupérer ce qui lui avait été arraché. Sa haine n'était plus que de la colère et son désir de vengeance qu'un ressentiment ...

De l'aide ? Mais quelle aide pouvait-elle fournir alors qu'elle était en prison ? Elle n'avait plus aucune liberté, que venait-il donc chercher ? La kunoichi compris rapidement en voyant le moignon du konohajin. Elle ne pu retenir un sursaut de surprise. Depuis quand Ike était amoché de la sorte?



Elle s'approcha doucement, regarda le moignon de plus près. Au vu de la cicatrisation, cela ne datait pas d'hier. Le seul moyen, c'était une greffe. Bien que Kazami en avait les capacités, elle doutait que cela serait le bienvenu de réaliser une greffe de la sorte. De plus, il fallait un donneur ..



Pour une raison qu'elle n'expliquait pas, elle se sentait coupable. Même si elle n'avait pas coupé elle-même la main d'Ike, elle avait probablement créer les circonstances pour que cela arrive.

Tandis que Kazami semblait regarder d'un air stupéfait et incrédule la blessure réalisé par Uzumaki Taram dans cette même prison quelques années plus tôt à un homme qui n'avait réellement rien demandé, Ike patientait. Il n'avait pas seulement posé son moignon sur un porte froide, laissant à son ancienne allié le loisir de l'observer, de l'étudier. Il s'était également dévoilé, exposé. Il avait pris le risque de se montrer tel qu'il était à présent: Vulnérable. Il avait mis à nu sa faiblesse et ainsi ouvert une partie de son cœur à la kunoichi. Cependant, cette mise à nu était nécessaire. Après tout, si Ike voulait redevenir la ninja qu'il était, il était nécessaire que Kazami observe, sans détour, l'imperfection qui était né sur Ike cette nuit-là.


Une réponse froide et énigmatique. Mais le Kitto n'avait guère envie de parler de cela avec la Uzumaki. Après tout, elle était en partie responsable de l'état lamentable et déplorable de sa main. Mais, un jour, il lui expliquerait tout. Lorsque l'amertume, la colère et la tristesse ne le consumerait plus.

Tandis qu'elle observait, d'un œil d'expert médical, l'infirmité de Ike, ce dernier se mit à examiner à son tour les traits, apparent, du visage de Kazami. Elle semblait avoir maigrit, et ce récemment. Son teint de peau était moins brillant et pétillant qu'autrefois et ses cheveux semblaient sales, ternes et cassants. Ses pointes étaient même clairement fendu à la pointe. S'ils n'avaient pas été rouge, ses cheveux auraient pu être comparé à la paille laissé au soleil pour en faire du foin. Par ailleurs, d'aspect plus génral, Kazami semblait fatigué. Ses traits étaient tiré et des poches noiratres c'étaient formé sous les paupières de l'ancienne Konohajin. Continuant sa propre inspection, Ike regarda les yeux de Kazami. Son regard, qui scrutait encore le moignon d'Ike, semblait éteint. Presque vide. A son tour, Ike se posa une question: Que fait-elle ici, à Konoha, loin de Gekido ?

Lorsque Kazami eut fini son examen, Ike fut soulagé d'apprendre qu'il pourrait retrouver l'usage de sa main. Enfin, d'une main droite.

Ike resta évasif sur les origines de ses malheurs. Kazami n'insista pas plus. Il parlera quand il sera prêt.
Elle s'éloigna à nouveau, elle avait les informations nécessaires pour savoir ce qui était possible de faire. Elle pris un ton très sérieux :



Elle marqua une pause, pour qu'il puisse bien mesurer l'ampleur de ses paroles. Kazami voulait qu'il comprenne bien les risques d'une telle procédure. Parfois, le bénéfice est trop petit par rapport aux risques encouru.



Il était hors de question qu'elle pratique une médecine avec une déontologie douteuse alors qu'elle était en plein examen de conscience. Même si Ike méritait cette greffe, elle ne la ferait pas au risque de se couler elle-même. Surtout que la vie du kitto n'était pas en jeu.
Kazami laissa un peu de temps à Ike pour digérer ces informations. Elle en profita pour faire les cents pas dans sa cellule comme elle avait l'habitude de faire. La kunoichi avait fait beaucoup de chemin dans ses compétences médicales pendant ces années en dehors de Konoha. Elle avait pu aller au-delà de la médecine traditionnelle que l'on apprenait dans un village. Mais pour l'instant, elle se contenterait de faire ce qu'on lui demande. Nul n'avait à voir ses côtés obscures.

Sans risque. Ike n'avait que faire des risques pour le moment. Il ne voyait qu'une seule chose: la récupération de sa main et, par la même occasion, la récupération de son plein potentiel ninja. Cela faisait trop longtemps qu'il avait l'impression d'avoir des fournis dans des doigts qui avaient disparut et qu'il lui semblait avoir mal à une main qui n'existait pas. La douleur du membre fantôme était une torture pour lui. Peu lui importait les risques du moment qu'il puisse, de nouveau, saisir une lame dans sa main aujourd'hui absente.

Néanmoins, il devait faire bonne figure devant Kazami. Il n'était guère prudent de montrer à cette femme une autre faille ou une détermination trop grande. Après tout, elle pourrait se servir de cela dans son intérêt pour se faire bien voir des autorités actuelles de Konoha. Après tout quoi de mieux que de livrer un potentiel traitre pour se faire pardonner. Même si je n'ai l'intension de trahir personne, pensa-t-il.


Il était à présent acquis pour Ike qu'il devait se trouver une nouvelle main. Avec ou sans le consentement de son ancien propriétaire. Allait-il devoir profaner un cercueil pour obtenir ce dont il avait besoin ?


Cette question trottait dans la tête d'Ike depuis qu'il avait appris qu'elle était revenu. Quelle avait-été la raison pour laquelle la partenaire de Gekido était venu à Konoha, abandonnant ce monstre ?

Ike ne semblait découragés par les avertissements de Kazami. Etait-ce une bonne chose ? Le temps le dira. Ike, demanda, avec son innocence habituel, pourquoi elle était revenue. C'était la première fois qu'on lui posait simplement la question, sans sous-entendu. Elle apprécia ce geste.



Kazami fit un sourire. Un sourire franc. Ce sourire à chaque fois qu'elle imaginait sa fille dans ses bras.



Elle disait sa pour elle, mais aussi pour lui. Son chemin qui menait à la récupération de sa main allait prendre du temps, était risqué. Un peu à l'image du projet de Kazami. La rouquine était plutôt têtue. Quand elle avait une idée en tête, difficile de l'en écarter.

Ce n'était nullement la peur qui faisait chevroter la voix d'Ike mais bien la surprise. Une surprise pure, sans détour ni faux-semblant. Et tandis qu'il essayait de faire disparaitre cette voix étrange qui s'échappais du fond de sa gorge et qu'il ne reconnaissait pas lui-même, il se retrouva à imaginer, bien malgré, Kazami et Gekido, ensemble. Cette vision érotique le mit quelques secondes mal à l'aise et ne pu regarder plus longtemps la rouquine dans les yeux. Après tout, il avait connu les amants maudit mais ne les avaient jamais vu comme tel. Et lui-même n'avait jamais penser à cela. Il était encore pur.

Une fois passé le choc de cette révélation, il regarda de nouveau Kazami et prononça des paroles que jamais il n'aurait pensé cru prononcer un jour:


Mais, bien vite, il compris que cette phrase était également la raison de la présence de Kazami en ce lieux, de son état plutôt déplorable. Si elle avait préféré les geôles de Konoha aux bras de Gekido c'est que celui-ci avait du vraiment mal tourné. Peut-être avait-il été violent. Voir cruel. Après tout, préféré la sécurité des murs d'une prison adversaire plutôt que confort des bras d'une personne aimé semblait être choix bien étrange si tel n'était pas le cas. Et puis, les murs d'une prison pouvaient-ils avoir raison d'une Uzumaki tel que Kazami... Ike en doutait vraiment.


Avant d'ajouter :

Lorsqu'il la félicita, Kazami eu un large sourire. De tout ses accomplissements, c'était le plus beau.



C'était la seule chose qu'elle avait toujours demandé depuis son arrivée. Voir sa fille. Elle avait tellement grandit .. Elle appréciait la voir, même si sa propre fille ne savait pas qu'elle était sa mère. Ike lui parla du village. La prêtresse était partie ? Kazami avait entendu des rumeurs étranges sur son compte au cours de ses voyage. Elle pensait justement profiter de son retour à Konoha pour voir cette bonne femme. Malheureusement elle était partie.



Ike ne semblait pas avoir trouvé sa place dans ce village réorganisé. Cela lui fit un peu de peine.



Kazami connaissait très bien sa part des responsabilités dans l'affaire. Ce pourquoi elle ne pouvait exiger quoi que ce soit du village.

Il n'y avait aucune colère dans ces paroles, aucun ressentiment. Ike avait simplement dit ce qu'il pensait, comme avant l'incident. Cependant, il n'oubliait pas que la rouquine était l'une des raisons de sa faiblesse physique actuelle, mais n'oubliait pas non plus qu'elle pouvait en être la solution. Et, tandis qu'il l'écoutait attentivement, son cœur se brisa lorsque la eisei-nin demanda les raisons du départ de la Prêtresse.


Finit-il par dire. Répondre à cette question semblait lui avoir vidé ses forces. Le Kitto était comme épuisé psychologiquement. Il s'était contrôlé pour ne pas verser de larme en parlant de cette femme qui n'était toujours pas réapparut. Cette femme qui avait tant fait pour lui et qu'il avait juré de protéger. Cette femme qui l'avait néanmoins abandonnée sans la moindre hésitation.

Tranquillement assise pour organiser le devenir de la très jeune ANBU, Uzumaki Taram, la vice-capitaine de la Police fit irruption dans son bureau. Le rapport de la situation semblait clair, et pourtant emplis d’obscurité. Un certain Kitto Ike, chûnin de Konoha, était entré dans la prison pour s’entretenir avec une prisonnière.

Jusqu’alors, rien n’interdisait un Chûnin de voir un prisonnier lambda. Mais l’identité dudit prisonnier changeait radicalement la donne : Uzumaki Kazami. Une visite non-autorisé à une prisonnière sous haute surveillance. Il n’en fallait pas plus pour convoquer tous les membres de l’ANBU disponibles.



Quelques instants plus tard, l’Uzumaki se tenait prêt à intervenir avec sa troupe d’intervention. Douze membres de l’escouade de l’Ombre, divisé en 4 groupes de 3. L’Uzumaki avait pris la peine de piéger les différentes issues, avec des mécanismes de sceaux et de fils. Des pièges. « Au cas où … » Si Ike avait la tête trop dure pour gentiment se rendre.

Usant de son don de sensorialité, elle ne pouvait ressentir le chakra de l’intru. Mais celui de ce qui devait être Kazami lui apparaissait très clair.



Une fois les unités en position et le message passé, elle entra dans la pièce avec ses deux autres comparses. Masquée et camouflée, elle fixa Ike et Kazami. Il était là, et calmement, elle annonça.



L’ordre avait pourtant circulé. Les visites de la prisonnière devaient être fait avec une autorisation spéciale. L’enquête de comment cette faille de sécurité avait été possible allait devoir être menée d’une main de fer. Et ce serait une des premières de la nouvelle unité spéciale.



Mako, sous sa cape et son masque modifiant sa voix, était méconnaissable. Elle sortit des menottes et s’approcha lentement de Ike. Au fond, le Shinobi ne risquait pas grand-chose s’il coopérer. Un rappel à l’ordre, tout au plus. Mais s’il opposait une résistance, elle n’aurait d’autre choix que de le considérer comme une réelle menace.

La dame de fer observait également la Kunoichi. Allait-elle tenter quelque chose de fou, ou se ranger de son côté ? Tel était la question.