Bien Kuma était descendu, avec style certes, et avec plus de chakra utilisé. Seth voyait que ce jeune homme avait du potentiel. Mais il semblait avoir de mauvaise idée à propos de la nature, peu être vivait il en ville depuis trop longtemps... Avant de commencer l'entraînement, Seth allait lui expliquer deux ou trois petit me chose. Et suivant les réponse que l'utilisateur du Kafungan lui donnerait... Il pourrait changer de sensei.
« Vous les jeunes, vous êtes tous plus ou moins doué avec le Mokuton, simplement car vous ne comprenez plus notre mère. Vous jugez ses actes d'un regard humain... Elle est tellement plus... »
Seth déglutit, et s'approcha d'un arbre, il lui caressa l'écorce de sa main rugueuse, pendant quelques instant il se remémora les souvenir qu'il avait avec sa nièce. Penser qu'elle était morte à cause de son mariage... Une pensée humaine pleine de xénophobie...
« Mère nature, elle nous a tous créé, les plantes, les arbres, les insectes, les animaux, les Kirishitan... Les Uzumaki, les Chikara, les Mitsuna etc... »
Seth allait maintenant en venir au point qu'il souhaitait aborder pour que Kuma comprenne l'entraînement.
« Je ne juge pas la valeur de ma vie plus importante parce que je me nomme Kirishitan ! Je respect autant les arbres et les fourmis que je ne respect un Kirishitan. Pour notre mère, nous sommes tous ses enfants. Pourquoi punir deux de ses créations qui avait trouvé le bonheur ? Pense tu notre mère aussi mauvaise ? Bien sûr il lui arrive de détruire... Le loup mange le cerf, le cerf mange l'herbe. Mais tout cela fait partie d'un équilibre, qui permet à tous de survivre... Explique moi en quoi la mort d'une femme et de son bébé, est un équilibre pour la nature ? »
Seth avait le regard plus perçant, un peu plus froid. Ces rumeur le révoltait après tout ce que Risako avait fait pour le peuple, la juger simplement à propos d'un mariage, alors que mère nature ne s'y serait pas opposé...
« Pour le Mokuton, c'est la même chose... Tu aimes la nature, mais tu ne la considère pas au même niveau que les hommes. Tu penses le faire, mais tu n'as pas encore compris la subtilité du bois ! »