Le visage du mal

Le diable Uzumaki

Akuma, le fou, le malhonnête, le démoniaque, me génie déchu. Voici les quelques surnoms que le clan Uzumaki m'avait donné au furent et à mesure des années. Obligé de m'exiler loin de ses chiens, alors qu'ils forniquer maintenant avec le Chikara. Moi qui avait tellement œuvrer pour la paix entre nos clan, qui avait était humilié et traîné dans la boue pour cela. Moi à qui ma famille avait été arraché par ses monstres de Chikara, pour ensuite être rejeté par ses chiens de Uzumaki. Moi obligé de me réfugié dans le froid dans ce village de montagnards puants et à ma limite de la consanguinité. Fort heureusement, j'avais les moyens et les ressources pour avoir la belle vie dans ses lieux. Les Uzumaki limité sciemment leur pouvoir clanique. Et pourquoi ? Par respect de l'être humain ? QUI MA RESPECTÉ MOI ?! Je me fou de leurs règles, de leurs lois, je suis le maître du Fuinjutsu, et je ne me laisserais jamais dicter ce que j'ai le droit de faire ou non.

Grâce à ça, je suis mon propre maître, et je peu contraindre les civiles à m'obéir à me servir, à combler mes désirs ! Et c'est exactement ce que je faisais dans la cité des neige. Aisu était devenu mon royaume, aucun Shinobi ne venait jamais ici ! Aucun n'était assez fou pour venir sans être appelé. Et c'est moi qui décidait qui appeler. Les villageois obéissait, il ne voulait pas que je les contraigne par la force. Il m'était déjà arrivé de paralysé un mari et le forcé à regarder, pendant que je manipuler sa femme, et qu'elle m'offrait son intimité totalement, même ce qu'elle n'aurait jamais offert à son mari. Où de pousser la main d'une mère à tuer son enfant. J'avais pouvoir sur les corps et sur les humains. Maintenant, personne n'osait plus me défier, je pouvais mener mes expériences sur ses humains tranquillement. Personne ne voulait plus subir ma colère. J'essayais au maximum de rester à l'écart. Mais les humains sont tellement curieux... J'étais parfois obligé de leur faire comprendre que Aisu était à moi... Même si personne n'avait officiellement étaient mis au courant.

Cela faisait bien longtemps, que je n'avais plus vu mes élèves. Je les avais semé au quatre coins du continents. Ils étaient les graines de la discorde, les graines du conflit. Et quand les graines aurait enfin germé, je reaparaittrait au monde, victorieux, et rempli de cette volonté vengeresse qui m'avait tenu en vie aussi longtemps. Les choses était en ordre, mon plan se passait à la perfection... Bientôt les astres serait aligné, et mes graines germerons. Le monde devrais trembler, mais bien heureux sont les ignorants, car nul ne pourrait trouver le sommeil en sachant ce qui l'attendait. Nul ne pourrait trouver le sommeil en sachant que Akuma Uzumaki était de retour... Mon nom avait disparu des bouches et des pensées, seul les plus anciens se souvenaient de moi et de ma puissance. Les jeunes apprendraient rapidement à me craindre. Le grand Akuma Uzumaki allait détruire le monde. Cela ne servent à rien que vous aillez peur... Vous devriez plutôt être terrifié... Ma venue est prochaine... Et à ce moment là, la mort viendra frapper à la porte de tout les puissants. Les faibles, les rejetés, les bannis n'ont rien à craindre de moi. Je comprend leur douleur et l'injustice dans laquelle ils ont étaient noyés. La société est corrompu, le monde est un château de carte, et je serais celui qui retirera la carte qui sert de fondation au monde...

Publié le 26 Septembre 2020 vers 17h

Le diable Uzumaki

Je me suis amusé un moment dans cet endroit loin de tout. J'avais facilement pris le contrôle sans que personne n'ait l'occasion de s'en apercevoir. J'étais devenu le maître des lieux en contrôlant les bonnes personnes. Mais ce n'était rien d'autre qu'une cité dans la neige, rien de bien ne pouvait sortir de cette endroit. De base, j'étais simplement venu me reposer, et me faire oublier après toutes mes années de services à la citadelle. Je n'avais pas gardé un mauvais contact, mais le contact n'était jamais réellement bon dans un endroit comme Tsuyo. Je me demandais souvent si le petit Kyû avait commencé les massacres. Il était mon arme, pas l'arme ultime que j'aurais espéré qu'il soit. Mais une arme suffisante pour mettre à mal l'équilibre dans les contré adjacente de la citadelle. Les plaines de Kusa était le lieu de séparation entre Konoha et Kumo, et s'il pouvait y semer la zizanie ce ne serait que bon pour mes affaires.

Il faisait froid, même pour un été, c'était ça Aisu, mais les blizzards était moins courant en cette saison, c'était l'occasion de partir de cet endroit loin de tout. Je préparais mes affaires, je n'avais que le strict minimum pour voyager. Une quantité astronomique de parchemins pour mes divers sceau, quelques armes et des provisions. Je regardais une dernière fois la jeune femme nue dans mon lit. Je ne savais même pas son prénom, juste qu'elle était à mes ordres. Les civils était tellement facile à contrôler, dire que les Uzumaki refusait que l'on utilise ce genre de pouvoir. C'était ce priver de tellement de chose. De tellement de puissance. Si le clan a la tête rousse n'était pas si couards, ils auraient utilisé leurs pleine capacité depuis longtemps, et il n'y aurait plus aucun Chikara sur la surface du globe !

Je sortais de chez moi, chaudement vêtu, les villageois me craignait, la plupart ignorait pourquoi. Il y avait principalement des rumeurs à mon sujet. Les routes du villages était déneiger, signe que l'été était là. La neige ne fondait pas, mais elle le tombait que très peu, ce qui permettait de dégager les allées. Rapidement je sortais du village, et personne ne m'en empêchait, ils étaient même plutôt heureux de me voir partir. Mes pieds firent craquer la neige, j'avais quitté le village.

Je retournais au monde, à la civilisation. Sans doute à la citadelle. Mon œuvre n'était pas terminé, mes pions était en place, les choses allaient maintenant sa s'accélérer. Le château de carte allait tomber !

Publié le 04 Décembre 2020 vers 15h