HRP : une semaine avant le départ de Goroko en mission.
Un matin... encore un... je restais dans mon lit à regarder mon plafond dénué de décoration. C’était pour les gamins, je prenais alors Shinji, oui c’est la seule chose d’enfantin que j’avais encore mais il ne l’était pas totalement. Je finissais par entendre le cieux me crier dessus pour que je me lève... il me faisait vraiment chier celui-là, qu’il aille bosser dans son miserable job dans sa misérable vie... pauvre type. Je m’habillais à mon aise, histoire de l’enragé encore plus. Je descendais au bout d’une trentaines de minutes. Mon père et ma mère m’attendait en bas, d’un air très sérieux. Je les regardais avec mon air innocent. Ils allaient clairement peser leurs mots.
J’écoutais ces deux là, ils parlaient de mon comportement, j’entendais des mots que je n’écoutais absolument pas. Après une dizaine de minutes m, ils avaient enfin finit le sermonnage et en y passant beaucoup de pommade car ils savaient bien que j’étais dangereux pour mon âge et que je n’hésiterai pas à user de la force. Venait le moment le plus intéressant, enfin un peu plus, je devais aller voir Goroko le Sannin légendaire oulalala. Bref, je devais aller le voir dans un petit restaurant de notre quartier. Et quoi? J’allais prendre le thé avec lui? Enfin, ça pimentera peut être un peu ma journée. Seconde punition sans doute pour avoir tabasser un Chikara.
Je décidais donc d’y aller directement, je n’avais rien répondu à mes vieux. Ils ne comprenaient rien. Je marchais lentement à travers les rues de ce quartier, je n’étais pas du tout apprécié et certains faisaient genre d’être menaçant alors que je n’avais en rien peur d’eux. J’arrivais enfin à se restaurant, j’y entrais et j’entendais une grosse voix et il n’y avait pas que des paroles qui sortaient de la, sans compter ce qui sortait par l’autre trou... ce type était la légende des porcs...
J’allais à sa rencontre et sans rien demander, je m’installais face à lui et je déposais Shinji à ma droite. Je le regardais un instant, il avait une carrure imposante et il puait... on ne savait pas quoi faire pour m’ennuyer. Je retirais ma capuche et je lâchais un simple mot...