Projet et soutien.

Tu allais proposer quelque chose à une personne que tu commences à connaître. Tu as besoin de son savoir faire dans le domaine afin de monter un dossier parfait pour le proposer au bureau du Raikage. Il fallait mettre des choses en œuvres pour l’entièreté de Kumo et ça sortira certain Kumojin qui n’ont d’autre choix que de travailler dans le quartier des plaisirs pour espérer vivre décemment, si on peut nomme ça comme cela. C’est le début d’après-midi, tu savais que Kagero serait sans doute chez elle.

Eisenin le jour, danseuse la nuit. Elle aimait sans doute les 2 mais devenir eisenin à temps plein serait bien plus avantageux pour Kumo. D’ailleurs la création d’un hôpital pourrait inciter des shinobis à se diriger vers cette voie. C’était peut attrayant vu le manque de moyen que l’on y accordait et nous n’avions donc presque pas de médecin, ça pouvait jouer si une guerre éclatait qu’elle soit intérieur ou extérieur. C’était un grand projet et il ne sera pas du tout facile à réaliser mais il fallait mettre la première pierre à l’édifice et cela rendrait sans doute Kagero fidèle à l’empire et elle sera surtout plus facile à surveiller au cas où.

Tu arrivais doucement mai sûrement vers la demeure de Kagero. Même si il y avait des tensions, tu appréciais sa compagnie par son esprit critique. Elle était intelligente mais sans doute encore indécise sur ces choix vu son passif. Elle devait maintenant accepter son destin et avancer en laissant le passé derrière elle. Elle avait aussi des liens avec Soshi, il fallait tout mettre en œuvre pour être dans une bonne entente afin que Soshi soit plus docile pour éviter des problèmes à notre unité. La prochaine lune était demain, l’heure de la création arrivait à grand pas et tu allais enfin savoir ce que nous allons devoir assumer pour l’empire. Ça serait sans doute des missions de haut risque, tu étais prêt à assumer cela, tu pouvais même le faire seul. Tu arrivais enfin face à la demeure et comme à ton habitude, tu te mettais face à la porte et tu frappais fermement.



Tu n’avais plus qu’à attendre et essuyer les regards des passants qui se posaient sur toi comme à chaque fois que tu étais dans les rues du quartier Miwaku.

Voilà plusieurs jours que Kaya, l'enfant disparue était enfin de retour. Contrairement aux attentes suscitées par cette nouvelle, Kagero était tiraillée par de nombreux maux. Tout d'abord, elle et sa fille avaient du mal à s'entendre. Ce n'était pas réellement le règne de la discorde, mais plutôt de la mécompréhension. Les deux femmes avaient passé tant de temps séparées, qu'il était difficile de retrouver un lien mère-fille classique. Ensuite, la visite de l'ombre avait laissé un goût amer dans le cœur de la kunoichi. À cause de cet homme, les deux Miwaku connurent leur première dispute. La mère comprit sur le tard que c'était son désir maternel trop étouffant qui en était la cause. Il était difficile d'arrêter de vouloir protéger sa progéniture. Pourtant, si la brune aux nattes voulait créer une saine relation avec Soshi, il fallait en passer par là. Enfin, l'ultime affliction résidait dans les remords de la quarantenaire. Malgré le vent nouveau qui soufflait sur sa famille, cette dernière n'arrivait pas à avancer. Le poids du passé continuait à la freiner et à la peser. Consciente de ses tourments, la grand-mère avait sa propre hypothèse : sa belle-fille avait trop de temps libre et du coup, ruminait bien trop souvent.

Le quotidien de la Geisha ne donna pas tord à l'aînée. En effet, comme à son habitude, en attendant sa prochaine mission, la belle brune explorait divers arts pour occuper son esprit. C'est alors qu'on vint frapper à sa porte. N'attendant personne, elle se hâta en toute innocence vers l'entrée. Lorsqu'elle découvrit l'identité de son visiteur, son sang ne fit qu'un tour. Partagée entre la colère aveugle et la peur, elle se contenta d'indiquer le salon à Azamuku. Silencieuse, elle suivit ses habitudes et offrit un thé à son hôte. Une fois son service posé sur la table basse, elle s'assit face à son invité.



Scrutant la menace, Kagero tentait de taire tous ses instincts. Heureusement, elle était seule aujourd'hui. Personne n'allait pouvoir troubler cet entretien. D'apparence parfaitement neutre, seul son sourire narquois trahissait ses réflexions et son désir de jouer. Après tout, elle appréciait ses échanges, malgré leur potentiel explosif. Ces instants en sa compagnie débouchait toujours sur quelques choses, ce n'était pas comme ses conversations convenues avec les civils. De plus, elle avait un secret à préserver : sa filiation avec Soshi. Cela rajoutait du piment à la scène.

La porte s’ouvrait et dans pres son regard tu voyais bien que tu n’étais pas spécialement le bienvenue. Ce n’était qu’un petit détail. Tu étais là pour lui parler de quelque chose de très sérieux et d’écouter aussi ces recommandations par rapport à ça. Elle me faisait rentrer en t’indiquant le salon. Tu prend place et à son habitude, presque machinalement, elle apporte le service à thé et le dépose sur la table avant de prendre place face à moi. Tu ne disais mot et elle brisait le silence. Tu prenais ta tasse de thé pour en boire une gorgée et tu la reposais.



Tu restais silencieux un petit moment tout en la regardant.



Tu sortais un papier que tu dépliais.



Elle était une denrée rare à Kumo ce qui fait que l’on pourrait passer au dessus de certaines chose.



Tu reprenais ta tasse pour y boire à nouveau. Attendant un peu pour la laisser s’imprégner des informations que tu lâchais au fur et à mesure.

Ainsi, cette visite inopinée était destinée à l'Eisenin. Soulagée par cette vérité, le corps de la belle perdit en tension. Même son visage gagna en sérénité. Une fois remise de ses émotions, elle écouta avec attention son invité. Très vite, il annonça la couleur : Kumo la réquisitionnait pour un projet d'ampleur. À cette annonce, son esprit fécond imagina mille choses. Était-ce la refonte du clan Miwaku ? Ou bien, devait-elle s'engager dans une longue et importante mission ? Non, ce que lui proposait l'Empire, c'était de participer à l'édification d'un immense bâtiment à vertu médicale. Comme pour faire passer cette nouvelle, Kagero prit sa tasse et se délecta d'une grande gorgée de thé rouge. Azamuku, pensait-il que la Geisha était à la hauteur de la tâche ? Depuis toujours, la Kunoichi se montrait très humble concernant ses dons en Iroujutsu. Alors cette proposition la fit violemment douter : avait-elle seulement la légitimité et le savoir pour participer à un tel chantier ?



À nouveau, elle but un peu de thé amer, tout en fixant son interlocuteur. Puis, elle reprit son discours froid et lucide.



Elle se montrait particulièrement tatillonne et avide de précision. Bien entendu, ce vif intérêt était lié au prestige qu'un tel emploi pouvait apporter. Grâce à cette occasion, Kagero pensait enfin pouvoir faire connaître son nom et défendre ses idéaux si particuliers. De plus, un emploi à temps plein lui permettrait de subvenir à la famille réunie.

Tu pensais que sa faisait beaucoup de responsabilités. Ce n’était pas ton domaine, si elle pouvait gérer un tel projet, tu la soutiendrais. Tu lui devais bien ça après tout, tu lui avais créé quelques ennuis avec Soshi. Les premiers interrogations arrivaient et elles étaient totalement légitime. Tu constateras si elle a les épaules pour assumer une tel chose car elle va devoir être le pilier centrale de cette hôpital et à tout les niveaux. Tu allais lui en demander beaucoup, mais c’était pour le bien du clan et de tous, une occasion pareil ne pouvait être un échec et Kagero était la seule médecin d’expérience de Kumo.



Tu faisais comme elle et tu buvais ton thé en l’écoutant. Elle posait énormément de question que tu te devais de décortiquais pour être le plus compréhensif et le plus précis possible.



Tu avais déjà répondu a ces 3 premières question brièvement mais c’était clair, tu passais aux autres.



Tu avais envie de lui donner un soupçon de ta confiance.



Il faudra une réponse rapide.

À l'annonce du poste, des sueurs froides perlèrent immédiatement sur le front de la kunoichi. Elle ne s'attendait pas à une telle demande, cela dépassait toutes ses attentes. Bien sûr, elle en fut extrêmement flattée, mais son humilité ne tarda pas à revenir. Tiraillée par ses propres contradictions, elle garda ses lèvres closes et tenta de peser le pour et le contre. Dans son cœur, une lutte acharnée débuta entre les grandes aspirations de Kagero et sa peur de l'échec. Pourtant, peu à peu, une part d'elle prit le dessus, portée par l'espoir. Et si, après tous ses drames, la balance s'inversait enfin ? Dame Fortune venait-elle de chasser le mauvais œil qui pesait sur la veuve ?

Au fil des propos d'Azamuku, la quarantenaire se faisait à l'idée de devenir la gérante de cet édifice. Elle imaginait déjà les différents aménagements, les divers besoins humains et matériels, ou encore les missions incombant au personnel. C'est alors que l'ombre fit une confidence intéressante : le projet prenait racine sur un hôpital civil désaffecté. Cela fera gagner énormément de temps, c'était une certitude. Motivée et optimiste, l'Eisenin se leva derechef, tout en finissant sa tasse. Elle attrapa alors un carnet et des crayons qui traînaient par là et se retourna avec entrain vers son confrère.



Kagero se dirigea alors vers l'entrée et invita son hôte à franchir la porte. Et lorsqu'il fut de nouveau à portée de conversation, la pragmatique reprit le court de sa pensée.

Ce que tu demandais la lui donner des sueurs et c’était normal. Il n’y avait personne d’autre d’envisageable pour gérer un hôpital. Elle allait devoir se débrouiller beaucoup seul et créer elle même son cercle pour qu’elle se fasse aider au niveau de la logistique. Tu avais énormément de chose à gérer pour tirer vers le haut le clan Miwaku qu’il était clairement impossible de tout faire de À à Z. Tu devais alors te résigner à déléguer à d’autres personnes qui voudront travailler pour le bien du clan avant leur propre intérêt personnel. Mais si tu savais offrir les 2, comme ici, tu le fais pour assurer une belle fidélité.

Des louanges ? Tu ne fais qu’énumérer des faits, grand bien lui fasse si elle prend cela pour des compliments. Nous sortons tout les 2, elle était pressé ou exciter aussi à l’idée de voir le futur hôpital. Son organisation se voulait minutieuse et elle voulait la marche à suivre. Tu allais lui répondre dans les grandes lignes, mais elle sera seule à décider au final.



La prudence, un mot que tu connaissais que trop bien.



On arrivait sur le site. Les bâtiments étaient conséquents et énorme. Dans un bon état général mais il sera tout de même préférable de le rénover très rapidement pour des questions sanitaires.

Au fil de l'échange, Kagero noircissait son carnet. Aucun détail, aucune interrogation, aucune donnée n'échappaient à sa prise de note contentieuse. Avant même d'avoir accepté formellement l'offre, la kunoichi agissait comme une directrice digne de ce nom, avec pragmatisme et professionnalisme. Ce défi d'envergure l'intéressait, c'était un fait avéré. Seul le manque de personnel freinait son entrain. En effet, même si elle faisait confiance à Azamuku et à l'Empire pour palier aux besoins matériels, les ninjas médecins n'étaient pas légion à Kumo. Or, à ses yeux, il était difficile d'envisager un tel enseignement de masse en aussi peu de temps. Pourtant, malgré cette ombre au tableau, la Geisha ne perdit pas espoir. Tout était possible si elle trouvait le bon entourage. Sur la marge de la troisième feuille, elle inscrivit la nécessité de contacter tous les Eisenin de la région, ainsi que quelques spécialistes en tâche administrative.

Soudain, sans même s'en rendre compte, la quarantenaire se trouvait au pied du vieux bâtiment. Tout en écoutant son guide, elle inspecta avec rigueur l'extérieur de la grande bâtisse. Certes, cela semblait assez vétuste au premier regard, mais quelques travaux suffiraient pour redonner de la grandeur à cet hôpital déchu. L'espoir était toujours permis. Néanmoins, avant de se prononcer définitivement, elle avait une requête à présenter.




Avec ruse, elle mit sous silence son intérêt personnel et sa quête de reconnaissance. Il était encore trop tôt pour affirmer sa volonté politique. Même si l'homme la connaissait, ce n'était pas judicieux de l'évoquer à n'importe qu'elle occasion. Non, pour le moment, Kagero préférait jouer son rôle de fidèle de l'Empire et de grande altruiste.

Tu lui laissais de prendre tout les notes qu’elle voulait. Tu n’étais pas pressé pour une fois, tu pouvais consacré toute ta journée pour l’analyse de cette offre et répondre à toutes ces questions. Tu regardais ce bâtiment m, un vestige que l’empire a abandonné. Tu ne comprenais pas pourquoi il n’avait pas investir plus tôt pour refaire un hôpital digne de ce nom. Il y avait beaucoup de travaux à faire pour rendre à Kumo sa grandeur d’antan. La majorité des bâtiments étaient à restaurer. Les fonds qui devaient servir à cela ce sont perdus dans le néant de certain haut dignitaires qui voulaient s’engraisser encore plus ou alors qui est injecté dans le quartier des plaisirs. Il était plus que temps de changer la donne maintenant. Tu te souviens des histoires que l’on te racontait étant enfant ne fut ce que sur le quartier Miwaku qui rayonnait de pr sa splendeur, ce temps était révolu et il n’en restait que trop peu de vestige. Tu comptais aussi t’en occuper et faire changer la doctrine et le système de hiérarchie. Les autres quartiers rayonnait aussi, le quartier des plaisirs était bien plus respectueux et moins mal famé. Ç était la belle époque de Kumo. Kagero avait finit sa prise de note et elle te parlait de son ressentit sur l’état du bâtiment. Il fallait principalement le rafraîchir et réparer les quelques traces d’usités du temps pour lui redonner ces étoiles. Bref, elle voulait voir l’intérieur et les plans détaillés. Tu commençais par sortir sortir quelques feuilles que tu avais pris avec toi.



Tu te dirigeais vers l’entrée de l’hôpital.



Tu pénétrais dans le bâtiment, le hall d’entrée était encore majestueux, reflétant l’art des Kumojin qui était aussi totalement délaissé. Il y avait encore beaucoup de talent que l’on exploite pas encore assez ou plus du tout, nous confortant de nos acquis.

Sourire narquois aux lèvres, la Geisha ne tarda pas à se saisir des divers documents. Plan et liste en main, elle commençait à croire de plus en plus à ce projet. Finalement, avec du temps et beaucoup de travail, ce lieu médicalisé pourrait bien voir le jour. Évidemment, le point de bascule de ce projet était le recrutement de Kumojins compétents et motivés. Si cette condition était rapidement remplie, alors il était certain que l'hôpital deviendrait réalité en quelques mois. Toutefois, avant de se projeter avec autant de hâte, Kagero devait se pencher sur les contraintes matérielles. Bien entendu, la lecture minutieuse et approfondie des données attendra, il faudra se contenter d'un vif coup d'œil. Ainsi, sur le papier, tout semblait prêt à une rénovation de grande envergure. Pourtant, pour chasser ses derniers doute, la kunoichi désirait observer la bâtisse de l'intérieur : il fallait se méfier des fameux vices cachés.

Son guide du jour l'amena alors dans le grand hall du bâtiment. Les décorations et la structure étaient impressionnantes, c'était un véritable hommage à l'ère classique de Kumo. Comme beaucoup d'infrastructure de l'époque, sobriété et démesure se jumelaient avec perfection. Écrasés par la hauteur sous plafond, tous les visiteurs se sentaient humbles et reconnaissants. Un véritable travail d'orfèvrerie, ces colonnes et ces moulures. Néanmoins, l'Eisenin n'avait pas le temps de laisser son cœur d'artiste la distraire. Après un ultime regard admiratif, elle commença à prendre des mesures et à imaginer l'optimisation de l'espace. Si cette grande salle pouvait servir d'accueil dans la version finale de l'édifice, elle devra dans un premier temps servir de dispensaire, voir d'urgence. En créant quelques zones stériles et organisant un circuit de soin, cette vaste entrée allait être le point de départ de cette longue aventure.



Elle fit alors quelques pas et se retrouva au centre de la salle. Elle prit alors une grande respiration et prit un air satisfait.

Tu lui laissais le temps d’examiner les documents et d’observer ce hall. Tu étais amateur de la beauté des arts de ce monde. Que la pièce soit parfaite ou non, on pouvait s’y retrouver, l’expression de l’art était pour tout le monde. Ce bâtiment redeviendra grandiose et il sera un point essentiel pour tout Kumo et même le pays. Il est bien d’avoir des plaisirs et tu savais que certains te mettront des bâtons dans les rues car cet argent était destinée à autre chose que pour un quartier de vice. Tu vas t’en assurer personnellement qu’il n’y aura pas d’embauche, quitte à faire disparaître quelques personnes dans de malencontreux accidents.

Kagero en avait finit et elle revenait vers toi. Elle parlait du temps qu’elle avait pour ouvrir dans un premier temps un dispensaire dans ce hall. L’endroit était déjà suffisamment grand pour créer un endroit de soin de première nécessité.



Tu avais déjà tout préparé le côté ennuyeux que beaucoup considéré comme cela. Elle se dirigeait vers le centre de la salle.



Tu prenais les devants et on empruntais le chemin pour monter au première étage. Ce n’était pas des plus propres mais c’était un long couloir remplis de chambre et de pièce dédié au soin. L’état des lieux était encore plus que correct.



Tu allais aussi devoir lui montrer une chose par après essentielle car c’est lieu n’était pas dédié qu’au soin.

Cette annonce soulagea la kunoichi. Pour être sûre de ne pas oublier, cette dernière prit rapidement son carnet et y nota une idée : échelonner les futurs travaux. En effet, dans son esprit, le plus urgent était de réhabiliter le hall principal. Une fois ce gros chantier terminé, il fallait sécuriser le périmètre. Hors de question de gérer des problèmes dus à une mauvaise gestion de l'espace, ou de se faire voler du matériel. Ensuite, la rénovation de l'extérieur du bâtiment devrait permettre d'apporter un peu de prestige et de publicités au projet. Les transformations des étages ne seront que secondaires, elles étaient parfaitement inutiles au stade où en était le projet. Le regard curieux, Kagero finissait d'inspecter le moindre recoin de l'entrée. Finalement, ce hall était assez bien entretenu, plus que ce qu'elle imaginait, tout du moins. C'était plutôt rassurant, pensa-t-elle.



Une fois la question posée, un léger rire s'échappa des lèvres de la Geisha. C'était rare que la Miwaku se permettait un tel instant de légereté.



Azamuku amorça alors une nouvelle avancée. Avec hâte et entrain, l'Eisenin le suivit à l'étage. Comme elle s'y attendait, ce vieil hôpital comportait des bases solides : tout semblait fonctionnel au premier regard. Il n'y avait donc pas besoin d'intense réaménagement, pas besoin de détruire des cloisons ou d'en construire, ou bien de faire un quelconque raccordement d'eau potable. Si tout le reste était dans un tel état, les travaux n'allaient pas être si coûteux que cela. C'était une très bonne nouvelle.