Visite de courtoisie.

Il maintenait le silence. Dans un sens, c’était assez reposant, ne plus s’entendre permettait d’écouter les autres. On ne prend plus le temps de s’écouter d’ailleurs. On parle encore et toujours avec égoïsme pour se faire entendre et quand on nous répond, on se moque éperdument de l’avis de l’autre. La majorité des personnes agissent ainsi, un langage de sourd où l’on fait semblant de se comprendre. L’humanité était en pleine décadence et les acteurs principaux de ce monde ne faisait rien pour que cela change. Ça devait les arranger. Vivant dans le luxe, créer la terreur ou un semblant de démocratie en laissant un choix ou non à son peuple. Un monde basé sur des mensonges, un monde qui s’écroule de lui-meme. Est-il encore permis de garder un espoir que tout cela change ? Les détenteurs du chakra deviennent des pestiférés par les hommes ordinaire car nous nous faisons passer comme supérieur à eux, ils disaient la vérité. Au lieu de collaborer, on se déchire entre nous. Tu tentais de revenir à toi sans aller trop loin dans tes réflexions.

Hotaru te parlait de ce petit couple comme quoi ils étaient libre de partir quand il voulait. Il prenait cela plus comme de la folie. Dans tout les cas, tu voyais encore là un Hattori qui avait évolué vers un chemin moins obscure que certains, même si il avait quelques problèmes psychologique. Il finissait par baisser sa main et tu récupères la parole m. Il venait à te parler d’une qui allait arriver pour lui être plus utile, intéressant.

Il se montre encore bien curieux, mais le jeune Hattori ne préfère pas donner plus de détails et se contente d’un léger sourire vers le Miwaku. S’il jouait ses cartes, il allait en faire de même. Rien de tel qu’une enfant dans le besoin pour mener à bien ce travail de garde-fou. Il met le doigt sur la bouche pour préciser qu’il n’en dira pas plus et commence à partir vers le vieux couple.

!

La jeune Iwata cherchait un maître non ? Il était pour elle d’en trouver un. Il se fichait pas mal de savoir ce qu’il allait lui arriver durant ses aventures avec l’espion. Elle n’était qu’une Miwaku croisée dans la rue, si elle se montre suffisamment puissante et forte pour résister au choc qui l’attend, elle méritera un minimum de reconnaissance. Il se retourne et fait de nouveau face à Azamuku à qui il fait signe de le suivre.


Il se retourne vers le couple qui se montre mécontent.



Le ton était léger, il riait. Il savait qu’il ne risquait pas grand-chose, mais il n’avait pas envie de s’attirer les foudres de sa mère qui devait aussi avoir entendu le concerto. Mieux valait se montrer compréhensif.