Tu ne voyais plus clairement ce qui t'entourer tant tes sens était perturber, mais tu savais que tu étais au niveau d'Azamuku, tu put même sentir la force du souffle de l'explosion de chakra quand ta main toucha ta cible. Tout devenait sombre et tu perdais peut a peu pied alors que ta rage, elle ne se calmer en aucun cas. Tes lames de chakras lacérèrent le mur, le détruisant en partit, mais ça tu l'ignorais encore. Tout autour de toi tournait, tremblé, tu n'avais plus de notions du nord ou du sud, de l'avant et de l'arrière et tu sentais bien que ta conscience était altérée. Tu étais dans un genjutsu et tu en prenais doucement conscience, mais tu n'avais aucun moyen de t'en défaire à l'heure actuelle, tu n'étais ni prêt pour cela, ni préparer à te battre contre un invité sous ton propre toit. Ce Azamuku était bien zélé, un véritable danger pour l'empereur et Kumo elle-même et cela n'était en rien pardonnable. Le bruit du mur qui avait explosé ne manquerait pas d'attirer les gardes de la résidence et par effet boule de neige, les gardes impérieux du a la proximité des demeures avec celle du Raikage.
Mais alors que tu perdais un peu plus conscience dans ce tournis, tu sentis quelques choses te toucher, mais ce n'était clairement pas mauvais en soit. Tu avais pris conscience du Genjutsu maintenant et bien que ton esprit n'était ni vraiment absent ni vraiment là, tu ne devais pas l'oublier. Mais une voix te parvenait, une voix familière, une voix que tu connaissais très bien, celle de Nobuhisa. Tu l'entendais prononcer ton prénom, tu ne comprenais pas ce qu'il disait vraiment mise a part ton prénom, tu le sentais au fond de toi, mais tu ne pouvais pas répondre, tu avais l'impression étrange d'avoir oublié comment parler, comment communiquer, mais tes sens te revenais étrangement petit à petit et tu avais l'étrange et désagréable impression que quelqu'un te regardait. Tu détestais ça, supporter le regard des gens, tu étais devenu un véritable champion dans l'art de ne pas regarder les gens dans les yeux, par tous les moyens détourner possible et inimaginable. Tu avais l'impression à chaque fois que les gens tentaient de lire dans ton esprit, de te voler tes pensées, c'était une sensation étrange et par réflexe, tu tentais de détourner le regard, mais ta tête était bloqué par quelques choses. Voyant que tu ne te calmais pas, Nobuhisa usant d'une technique raiton, court-circuitant le chakra d'azamuku et te sortant du genjutsu.
Tu reprenais conscience, mais ton explosion de chakra t'avait définitivement épuisé. Tu n'étais pas prêt à te battre, pas sur tes gardes et c'était une situation inédite pour toi. Tu avais perdu pied, c'était un fait, tu avais foncé sans réfléchir. Tu respirais difficilement, oxygénant tes muscles qui venaient de faire un effort sans le moindre échauffement au préalable. Tu étais englué dans de l'argile que ton frère tentait de retirer et ta conscience était encore embrumée malheureusement. Tu écoutais Nobuhisa parler, et il semblait plus qu'en colère, comme emplie de haine, mais tu étais soulagé qu'il soit en vie. Mais de ce que tu comprenais, Azamuku avait certainement était plus que dépréciatif a ton sujet. Tu ne pouvais pas lui en vouloir, en effet, tu étais tombé dans son illusion, tu n'étais pas préparé à te battre et ta garde était baisser. Tu voyais le mur de ton bureau complétement détruit et tu entendais les gardes arriver.
« Tu devrais fuir Azamuku. »
Tu parlais faiblement et difficilement, mais tu tentais tout de même de lui laisser une chance de ne pas se faire arrêter par la garde de Kumo, ce qui ferait de lui un fugitif. Le simple fait de t'avoir attaqué faisait dorénavant de lui un Criminel de kumo, du moins si tu décidais de reporter son action aux autorités.
« S'ils t'attrapent ici dans cette situation, tu deviendras un ennemi de l'empire pour avoir attaqué un Hattori noble. Ce n'est pas ce que tu souhaites, et moi non plus. »